Indépendant et A but non lucratif «Think Tank» Europe-Mexique, @MorganeBravo Présidente & Fondatrice, (Association française Loi 1901). Le Mexique, qui a présidé le G20 2012, est un pays important. 3fois la France en superficie, + de 131 millions d’habitants, membre de l’OCDE, c’est le premier pays hispanophone au monde et la première puissance commerciale d’Amérique latine. Ce sera l’une des premières économies du monde dans les années à venir! AVANT LO❗️#DigitalDiplomacy #Diplomatie
martes, 30 de diciembre de 2008
miércoles, 24 de diciembre de 2008
***RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE : La lutte passe aussi par les pays en développement***
***Ce n'est pas l'argent mais la mauvaise foi et les freins administratifs qui bloquent le passage à une économie et des comportements plus responsables, estime un universitaire brésilien, qui dresse le bilan médiocre de son pays.
La 14e réunion des pays signataires de la convention sur le Climat vient de s'achever à Poznan, en Pologne. Ces réunions ont lieu chaque année dans le but de définir les mesures à prendre par les divers pays afin de "protéger le système climatique pour le présent et les générations futures". Dans ce cadre, le Protocole de Kyoto a été adopté en 1997. Il fixait des objectifs obligatoires, pour les pays industrialisés, de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour 2012. Bien que ces objectifs n'aient pas été tenus par plusieurs pays, une énorme pression pousse à en adopter d'autres encore plus rigoureux lors de la prochaine conférence à Copenhague, en décembre 2009.
La conférence de Poznan était préparatoire à celle de Copenhague. Chaque pays émet des quantités différentes de gaz à effet de serre, selon sa population, son niveau de développement économique, du type d'énergie qu'il utilise et de la déforestation à l'œuvre sur son territoire. Les dix plus grands émetteurs sont les Etats-Unis, la Chine, l'Indonésie, la Russie, le Brésil, le Japon, l'Inde, l'Allemagne, le Canada et la Grande-Bretagne. Ils représentent deux tiers de toutes les émissions mondiales. Or le Protocole de Kyoto est allé jusqu'à exempter les pays en développement de réduire leurs émissions. Cette décision prise à Kyoto s'est révélée désastreuse.
Les Etats-Unis (responsables de 25 % des émissions mondiales) en ont pris prétexte pour rester à l'écart du protocole, en arguant du fait qu'ils devraient faire face à des coûts élevés pour le respecter et que cela porterait préjudice à leur compétitivité internationale. En outre, ils ont argumenté qu'ils subventionnaient des développements technologiques pour réduire leurs émissions. Des développements qui se font encore attendre. Les émissions des Etats-Unis ont augmenté de 20 % entre 1990 et 2000. Celles de la Chine ont progressé de 39 % sur la même période et représentent désormais elles aussi 25 % du total mondial. La Chine se justifie en affirmant être un pays sous-développé qui a besoin de croître. Un argument quelque peu ironique de la part de la Chine, qui a construit des bombes atomiques et lance des satellites dans l'espace.
Il est clair que si tous les pays font preuve de la même mauvaise foi que les Etats-Unis ou la Chine, les réductions nécessaires ne seront jamais atteintes. La posture de Washington reflètent l'influence des producteurs de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz) dans ce pays. Pour sa part, la Chine, à l'image des autres pays en développement, doit prendre les mesures les plus appropriées pour réduire ses émissions et abandonner la chimère que les pays riches devront payer pour elle. Il n'y a aucune raison que les pays en développement n'adoptent pas des technologies modernes et moins polluantes en s'industrialisant, ce qui leur évitera les erreurs commises dans le passé par les nations aujourd'hui industrialisées. Attendre que les pays riches les paient pour leur inefficacité est irréaliste, d'autant que souvent le problème n'est pas l'argent, mais l'adoption de politiques correctes.
De ce point de vue, le Brésil est pas mal placé, car son parc industriel est moderne et ses sources d'énergie électrique relativement propres. Notre grand problème est plus de réduire la déforestation de l'Amazonie. Il est difficile de comprendre la résistance du gouvernement fédéral à adopter des objectifs forts en cette matière vu les dégâts que cette politique a causé non seulement aux Brésiliens, mais aussi à la crédibilité du pays à l'extérieur.
Les raisons avancées par le gouvernement pour limiter son action sont de deux types : Le premier est que la préservation de l'Amazonie est désirée par les étrangers comme s'il s'agissait d'un jardin botanique, ce qui empêcherait le développement de la région ; le second consiste à penser que les pays industrialisés devraient payer pour éviter la déforestation, à travers des donations, et non en usant d'un mécanisme de marché. Avec cette vision, si la "déforestation évitée" faisait l'objet de transactions commerciales, les pays riches auraient toute légimité à continuer d'émettre des gaz à effet de serre.
Par ailleurs, ceux qui souffriront le plus de la déforestation ne sont pas les étrangers mais tous les Brésiliens, car le changement climatique produit atteindra les régions du Nordeste et du Sudeste. Les pays industrialisés, surtout en Europe, sont déjà en train d'adopter des objectifs sévères pour réduire leurs émissions et n'attendent pas que la déforestation de l'Amazonie soit réduite pour le faire. Les deux arguments du gouvernement sont donc erronés.
A la veille de la Conférence de Poznan, il avait d'ailleurs modifié sa position dans un sens positif, en fixant notamment des objectifs pour la réduction de la déforestation. Cette nouvelle politique est un pas en avant – bien que reçue avec un certain scepticisme à Poznan –, mais elle s'accompagne malheureusement de conditions relatives à son financement international. Une erreur, car nombre des mesures nécessaires sont de nature administrative, et non financière.
José Goldemberg
O Estado de São Paulo
Courrier International
16 décembre 2008
*Photo : São Paulo, juillet 2008
AFP
****21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle! http://developpementdurablexxis.blogspot.com
La 14e réunion des pays signataires de la convention sur le Climat vient de s'achever à Poznan, en Pologne. Ces réunions ont lieu chaque année dans le but de définir les mesures à prendre par les divers pays afin de "protéger le système climatique pour le présent et les générations futures". Dans ce cadre, le Protocole de Kyoto a été adopté en 1997. Il fixait des objectifs obligatoires, pour les pays industrialisés, de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour 2012. Bien que ces objectifs n'aient pas été tenus par plusieurs pays, une énorme pression pousse à en adopter d'autres encore plus rigoureux lors de la prochaine conférence à Copenhague, en décembre 2009.
La conférence de Poznan était préparatoire à celle de Copenhague. Chaque pays émet des quantités différentes de gaz à effet de serre, selon sa population, son niveau de développement économique, du type d'énergie qu'il utilise et de la déforestation à l'œuvre sur son territoire. Les dix plus grands émetteurs sont les Etats-Unis, la Chine, l'Indonésie, la Russie, le Brésil, le Japon, l'Inde, l'Allemagne, le Canada et la Grande-Bretagne. Ils représentent deux tiers de toutes les émissions mondiales. Or le Protocole de Kyoto est allé jusqu'à exempter les pays en développement de réduire leurs émissions. Cette décision prise à Kyoto s'est révélée désastreuse.
Les Etats-Unis (responsables de 25 % des émissions mondiales) en ont pris prétexte pour rester à l'écart du protocole, en arguant du fait qu'ils devraient faire face à des coûts élevés pour le respecter et que cela porterait préjudice à leur compétitivité internationale. En outre, ils ont argumenté qu'ils subventionnaient des développements technologiques pour réduire leurs émissions. Des développements qui se font encore attendre. Les émissions des Etats-Unis ont augmenté de 20 % entre 1990 et 2000. Celles de la Chine ont progressé de 39 % sur la même période et représentent désormais elles aussi 25 % du total mondial. La Chine se justifie en affirmant être un pays sous-développé qui a besoin de croître. Un argument quelque peu ironique de la part de la Chine, qui a construit des bombes atomiques et lance des satellites dans l'espace.
Il est clair que si tous les pays font preuve de la même mauvaise foi que les Etats-Unis ou la Chine, les réductions nécessaires ne seront jamais atteintes. La posture de Washington reflètent l'influence des producteurs de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz) dans ce pays. Pour sa part, la Chine, à l'image des autres pays en développement, doit prendre les mesures les plus appropriées pour réduire ses émissions et abandonner la chimère que les pays riches devront payer pour elle. Il n'y a aucune raison que les pays en développement n'adoptent pas des technologies modernes et moins polluantes en s'industrialisant, ce qui leur évitera les erreurs commises dans le passé par les nations aujourd'hui industrialisées. Attendre que les pays riches les paient pour leur inefficacité est irréaliste, d'autant que souvent le problème n'est pas l'argent, mais l'adoption de politiques correctes.
De ce point de vue, le Brésil est pas mal placé, car son parc industriel est moderne et ses sources d'énergie électrique relativement propres. Notre grand problème est plus de réduire la déforestation de l'Amazonie. Il est difficile de comprendre la résistance du gouvernement fédéral à adopter des objectifs forts en cette matière vu les dégâts que cette politique a causé non seulement aux Brésiliens, mais aussi à la crédibilité du pays à l'extérieur.
Les raisons avancées par le gouvernement pour limiter son action sont de deux types : Le premier est que la préservation de l'Amazonie est désirée par les étrangers comme s'il s'agissait d'un jardin botanique, ce qui empêcherait le développement de la région ; le second consiste à penser que les pays industrialisés devraient payer pour éviter la déforestation, à travers des donations, et non en usant d'un mécanisme de marché. Avec cette vision, si la "déforestation évitée" faisait l'objet de transactions commerciales, les pays riches auraient toute légimité à continuer d'émettre des gaz à effet de serre.
Par ailleurs, ceux qui souffriront le plus de la déforestation ne sont pas les étrangers mais tous les Brésiliens, car le changement climatique produit atteindra les régions du Nordeste et du Sudeste. Les pays industrialisés, surtout en Europe, sont déjà en train d'adopter des objectifs sévères pour réduire leurs émissions et n'attendent pas que la déforestation de l'Amazonie soit réduite pour le faire. Les deux arguments du gouvernement sont donc erronés.
A la veille de la Conférence de Poznan, il avait d'ailleurs modifié sa position dans un sens positif, en fixant notamment des objectifs pour la réduction de la déforestation. Cette nouvelle politique est un pas en avant – bien que reçue avec un certain scepticisme à Poznan –, mais elle s'accompagne malheureusement de conditions relatives à son financement international. Une erreur, car nombre des mesures nécessaires sont de nature administrative, et non financière.
José Goldemberg
O Estado de São Paulo
Courrier International
16 décembre 2008
*Photo : São Paulo, juillet 2008
AFP
****21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle! http://developpementdurablexxis.blogspot.com
lunes, 22 de diciembre de 2008
***Précieuses pièces aztèques...***
***Le Mexique est parti en guerre contre les ventes de ses objets précolombiens. Pour la deuxième fois en trois mois, la police française a saisi, mercredi 17 décembre, une série de pièces aztèques à quelques heures de leur vente à Drouot par le commissaire-priseur Jean-Claude Binoche. Les enquêteurs de l'office central de lutte contre le trafic des biens culturels agissaient dans le cadre de l'accord d'entraide judiciaire qui lie les deux pays.
Trente et une pièces ont donc été retirées, mercredi matin, de la vente Binoche-Renaud-Giquello, qui devait commencer à 14 h 30. Des objets de taille modeste : personnages, masques, figurines, haches, vases ou coupes. "Des pièces modestes, de la broutille", indique Jean-Claude Binoche. La plus chère, un masque funéraire en pierre, de culture Chontal, était estimée entre 15 000 et 18 000 euros.
Mais, pour le Mexique, l'affaire est essentielle. Dès la saisie achevée, l'ambassade a transmis un communiqué triomphal annonçant la "saisie provisoire de biens archéologiques mexicains en France". Soulignant la "politique déterminée menée par le Mexique pour la préservation de son patrimoine culturel", l'ambassade a estimé qu'il était "notoire que depuis 1827, déjà, la législation mexicaine interdit de façon absolue l'exportation de biens archéologiques sans autorisation préalable". "Les autorités mexicaines sont décidées à mettre en oeuvre les instruments juridiques dont elles disposent en France pour parvenir à la restitution des objets préhispaniques", conclut le communiqué.
"COUP DE BLUFF"
L'affaire n'est pas gagnée. Pour récupérer ces pièces, le Mexique doit prouver que leur acquisition était frauduleuse. Non pas aux yeux de la justice mexicaine, mais à ceux de la loi française. Or la convention de l'Unesco sur la protection des biens culturels date de 1970, et n'a été ratifiée par la France qu'en 1997. Pour peu que les biens soient entrés en France avant cette date et que leurs propriétaires soient de bonne foi, rien ne peut être entrepris.
A écouter Jean-Claude Binoche, la provenance des objets incriminés est "parfaitement connue". Pour la saisie du 13 septembre, il s'agissait d'une grande collection américaine et de celle de Jacques Kerchache, l'un des parrains du Musée du quai Branly. Pour ce deuxième round, l'essentiel des objets a été ramené "dans les années 1950 par un ancien ambassadeur de France au Mexique", assure le commissaire-priseur. Le catalogue de la vente précise même que le diplomate avait acquis une partie des pièces auprès du surréaliste Wolfgang Paalen, ami de Breton, réfugié au Mexique pendant la guerre.
Me Binoche y voit donc "de la gesticulation, un coup de bluff qui ne vise pas à récupérer les objets mais à pourrir le marché". "Vérifier la provenance des objets est normal, et nous le faisons, poursuit-il, mais nous ne pouvons pas accepter n'importe quelle revendication de n'importe quel pays dans n'importe quelle condition. Sinon, c'est l'engrenage. Derrière, il y aura l'art africain, etc." Opération réussie ? "Pour l'instant oui, reconnaît le commissaire-priseur. Mais j'ai une consolation : dès la levée des saisies, je peux déjà vous annoncer une très belle vente. Elle sera intégralement consacrée au Mexique."
Nathaniel Herzberg
21.12.08.
Le Monde
***"Me Binoche y voit donc "de la gesticulation, un coup de bluff qui ne vise pas à récupérer les objets mais à pourrir le marché". "Vérifier la provenance des objets est normal, et nous le faisons, poursuit-il, mais nous ne pouvons pas accepter n'importe quelle revendication de n'importe quel pays dans n'importe quelle condition. Sinon, c'est l'engrenage. Derrière, il y aura l'art africain, etc."
Me Binoche a évidemment raison: en effet, où irions-nous si tous les peuples mexicains, africains, asiatiques, etc. se mettaient à revendiquer leur droit de ne pas être spoliés de leurs richesses culturelles...! A SUIVRE...
Bien à vous,
Morgane BRAVO
Trente et une pièces ont donc été retirées, mercredi matin, de la vente Binoche-Renaud-Giquello, qui devait commencer à 14 h 30. Des objets de taille modeste : personnages, masques, figurines, haches, vases ou coupes. "Des pièces modestes, de la broutille", indique Jean-Claude Binoche. La plus chère, un masque funéraire en pierre, de culture Chontal, était estimée entre 15 000 et 18 000 euros.
Mais, pour le Mexique, l'affaire est essentielle. Dès la saisie achevée, l'ambassade a transmis un communiqué triomphal annonçant la "saisie provisoire de biens archéologiques mexicains en France". Soulignant la "politique déterminée menée par le Mexique pour la préservation de son patrimoine culturel", l'ambassade a estimé qu'il était "notoire que depuis 1827, déjà, la législation mexicaine interdit de façon absolue l'exportation de biens archéologiques sans autorisation préalable". "Les autorités mexicaines sont décidées à mettre en oeuvre les instruments juridiques dont elles disposent en France pour parvenir à la restitution des objets préhispaniques", conclut le communiqué.
"COUP DE BLUFF"
L'affaire n'est pas gagnée. Pour récupérer ces pièces, le Mexique doit prouver que leur acquisition était frauduleuse. Non pas aux yeux de la justice mexicaine, mais à ceux de la loi française. Or la convention de l'Unesco sur la protection des biens culturels date de 1970, et n'a été ratifiée par la France qu'en 1997. Pour peu que les biens soient entrés en France avant cette date et que leurs propriétaires soient de bonne foi, rien ne peut être entrepris.
A écouter Jean-Claude Binoche, la provenance des objets incriminés est "parfaitement connue". Pour la saisie du 13 septembre, il s'agissait d'une grande collection américaine et de celle de Jacques Kerchache, l'un des parrains du Musée du quai Branly. Pour ce deuxième round, l'essentiel des objets a été ramené "dans les années 1950 par un ancien ambassadeur de France au Mexique", assure le commissaire-priseur. Le catalogue de la vente précise même que le diplomate avait acquis une partie des pièces auprès du surréaliste Wolfgang Paalen, ami de Breton, réfugié au Mexique pendant la guerre.
Me Binoche y voit donc "de la gesticulation, un coup de bluff qui ne vise pas à récupérer les objets mais à pourrir le marché". "Vérifier la provenance des objets est normal, et nous le faisons, poursuit-il, mais nous ne pouvons pas accepter n'importe quelle revendication de n'importe quel pays dans n'importe quelle condition. Sinon, c'est l'engrenage. Derrière, il y aura l'art africain, etc." Opération réussie ? "Pour l'instant oui, reconnaît le commissaire-priseur. Mais j'ai une consolation : dès la levée des saisies, je peux déjà vous annoncer une très belle vente. Elle sera intégralement consacrée au Mexique."
Nathaniel Herzberg
21.12.08.
Le Monde
***"Me Binoche y voit donc "de la gesticulation, un coup de bluff qui ne vise pas à récupérer les objets mais à pourrir le marché". "Vérifier la provenance des objets est normal, et nous le faisons, poursuit-il, mais nous ne pouvons pas accepter n'importe quelle revendication de n'importe quel pays dans n'importe quelle condition. Sinon, c'est l'engrenage. Derrière, il y aura l'art africain, etc."
Me Binoche a évidemment raison: en effet, où irions-nous si tous les peuples mexicains, africains, asiatiques, etc. se mettaient à revendiquer leur droit de ne pas être spoliés de leurs richesses culturelles...! A SUIVRE...
Bien à vous,
Morgane BRAVO
***Betancourt remercie la Vierge à Mexico...***
***L'ex-otage franco-colombienne Ingrid Betancourt s'est recueillie aujourd'hui à Mexico devant la Vierge de Guadalupe, pour la remercier et lui demander d'aider à la libération "pour Noël" de ses "compagnons" encore détenus par la guérilla colombienne des Farc, a constaté l'AFP.
"Davantage que pour demander, je viens remercier, mais bien sûr je vais lui demander de m'aider à faire libérer mes compagnons (...), la prier pour toutes les familles des otages, pour qu'elles soient réunies pour ce Noël, pour la paix dans mon pays et pour le Mexique", a-t-elle déclaré à son arrivée à la basilique de Guadalupe, dans les quartiers nord de la capitale mexicaine.
"Quand j'étais dans la jungle, c'est à elle que j'ai adressé mes prières. Je voulais venir pour sa fête (le 12 décembre, ndlr) mais le calendrier ne l'a pas permis", a-t-elle déclaré à la presse, ajoutant que, pendant sa détention, il lui arrivait de dessiner l'image de la Vierge de Guadalupe.
Vêtue de noir, les cheveux tirés, Mme Betancourt est arrivée à la mi-journée à la basilique, en compagnie de l'ambassadeur de France, Daniel Parfait, et a été accueillie par le recteur Diego Monroy.
Mme Betancourt, pour deux jours à Mexico, doit être reçue par le président mexicain Felipe Calderon.
Le culte de la Vierge de Guadalupe remonte à l'apparition d'une "Dame du ciel" rapportée en 1531 par un pauvre paysan indien à Tepeyac, une colline au nord-ouest de Mexico.
L'apparition lui avait dit être la mère du "vrai Dieu" et avait demandé la construction d'une église sur place. Elle avait également laissé une image d'elle-même imprimée sur le vêtement de l'Indien, relique intacte conservée aujourd'hui dans la basilique.
Le Pape Jean Paul II, qui a visité le sanctuaire à deux reprises, avait invoqué la Vierge de Guadalupe comme "la Mère des Amériques".
AFP
18/12/2008
Le Figaro
"Davantage que pour demander, je viens remercier, mais bien sûr je vais lui demander de m'aider à faire libérer mes compagnons (...), la prier pour toutes les familles des otages, pour qu'elles soient réunies pour ce Noël, pour la paix dans mon pays et pour le Mexique", a-t-elle déclaré à son arrivée à la basilique de Guadalupe, dans les quartiers nord de la capitale mexicaine.
"Quand j'étais dans la jungle, c'est à elle que j'ai adressé mes prières. Je voulais venir pour sa fête (le 12 décembre, ndlr) mais le calendrier ne l'a pas permis", a-t-elle déclaré à la presse, ajoutant que, pendant sa détention, il lui arrivait de dessiner l'image de la Vierge de Guadalupe.
Vêtue de noir, les cheveux tirés, Mme Betancourt est arrivée à la mi-journée à la basilique, en compagnie de l'ambassadeur de France, Daniel Parfait, et a été accueillie par le recteur Diego Monroy.
Mme Betancourt, pour deux jours à Mexico, doit être reçue par le président mexicain Felipe Calderon.
Le culte de la Vierge de Guadalupe remonte à l'apparition d'une "Dame du ciel" rapportée en 1531 par un pauvre paysan indien à Tepeyac, une colline au nord-ouest de Mexico.
L'apparition lui avait dit être la mère du "vrai Dieu" et avait demandé la construction d'une église sur place. Elle avait également laissé une image d'elle-même imprimée sur le vêtement de l'Indien, relique intacte conservée aujourd'hui dans la basilique.
Le Pape Jean Paul II, qui a visité le sanctuaire à deux reprises, avait invoqué la Vierge de Guadalupe comme "la Mère des Amériques".
AFP
18/12/2008
Le Figaro
***Identifican gen que hace a las personas propensas al alcoholismo...***
***Permitirá detectar el mal antes de que se desarrolle y crear fármacos que lo ataquen :
También está involucrado en la adicción a la nicotina y se ha vinculado con el exceso en el fumar y el riesgo de padecer cáncer de pulmón, explica investigador de la Universidad de California
Es posible detectar a un alcohólico antes de que desarrolle una dependencia sicológica o física a la bebida, ahora que los científicos han identificado una base genética del alcoholismo. Un estudio ha descubierto una simple diferencia genética que marca la susceptibilidad de ciertas personas al alcohol.
Aparte de ser útil para desarrollar una prueba que permita detectar la predisposición genética al alcoholismo, el descubrimiento podría servir a los científicos para crear nuevas generaciones de medicamentos que combatan la adicción atacando la “falla” genética que eleva el riesgo de volverse alcohólico.
El alcoholismo tiende a arruinar las familias, pero no está claro cuánto de él se debe a la crianza y al medio ambiente y cuánto a la herencia de genes que predisponen a la adicción.
Robert Kennedy, hijo, miembro de la dinastía política estadunidense que ha sido plagada por el exceso en la bebida, afirmó que su hábito no se desarrolló por casualidad. “Siento que nací alcohólico –declaró en 1997–, no fue algo en lo que me convertí.”
Estudios en animales han mostrado también que algunos individuos tienen predisposición genética a la dependencia del alcohol, sustancia tóxica producida como subproducto metabólico de la fermentación del azúcar.
Experimento con ratonesLos científicos han mostrado, por ejemplo, que es posible criar un ratón de laboratorio que prefiere beber alcohol que agua. También han mostrado que esta tendencia es hereditaria y, por tanto, está bajo el control de los genes.
Sin embargo, también está claro que la predisposición genética al alcoholismo no es causada por un solo gen, sino por un grupo de ellos que interactúan en forma compleja y que pueden ser influidos o incluso superados por factores ambientales, como un control consciente o la fuerza de voluntad personal.
El estudio más reciente, publicado en la revista Proceedings of the National Academy of Sciences, encontró un vínculo entre la cantidad de balanceos corporales que exhibe una persona bajo la influencia del alcohol y las variaciones del ADN asociadas a un gen que se encuentra en el cromosoma 15. El gen también está implicado en la adicción a la nicotina y se ha vinculado tanto al exceso en el fumar como al riesgo de desarrollar cáncer de pulmón, indicó el profesor Raymond White, de la Universidad de California en San Diego, quien encabezó a los investigadores.
“Hay concentración en la idea de que casi de seguro existen multitud de genes que intervienen en los trastornos relativos al alcohol. Este gen en particular tiene mucho interés porque se le ha asociado a muchos aspectos”, añadió.
10 de Diciembre de 2008
Steve Connor (The Independent)
La Jornada
Más de 367 personas emparentadas participaron en el estudio realizado en California, pero, en vez de observar la dependencia del alcohol, los científicos analizaron la forma en que cada persona reaccionaba a éste mediante una medición de los balanceos corporales. Quedó bien establecido que las personas capaces de beber sin sentir efectos físicos están en un riesgo sustancialmente mayor de ser adictas al alcohol, precisó el profesor White.
“Las personas que se balancean menos en respuesta al alcohol en realidad tienden a beber más, y se asocian con otras que beben más. Parecen adaptarse a su baja respuesta corporal bebiendo más, lo cual aumenta su probabilidad de volverse alcohólicas”, explicó.
***Descifran jeroglíficos mayas en Campeche***
***Consideran expertos del INAH que la escalinata de Sabana Piletas pudo estar destinada al cumplimiento de rituales de sacrificio.
Con poco más de 130 jeroglíficos, la mayoría aún legibles, la escalinata localizada en el Edificio Glifos del sitio arqueológico Sabana Piletas, en el noreste de Campeche, es la inscripción maya más extensa reportada para la Península de Yucatán y de la cual ya se han descrifrado sus signos.
De acuerdo con algunos estudios recientes, esta misma pudo estar destinada a la realización de rituales de sacrificio por parte de los gobernantes, informó el Instituto Nacional de Antropología e Historia a través de un comunicado.
Los arqueólogos Antonio Benavides y Sara Novelo, del INAH en Campeche, aseguraron que el texto procedente de la región Puuc es excepcional por su extensión y estado de conservación.
Como parte del proyecto de Mantenimiento a Zonas Arqueológicas no abiertas al público (Manzana), varias construcciones de Sabana Piletas, cuya ocupación fue del 600 al 1000 después de Cristo, han sido consolidadas entre 2007 y 2008. La escalinata del Edificio Glifos guarda importantes datos sobre el lugar.
La escalinata oriental del Edificio Glifos tuvo 10 escalones, siendo el primero y el cuarto los que cuentan con inscripciones. En total existen 34 paneles, cada uno con sus cuatro jeroglíficos, de modo que la suma asciende a 136.
Los especialistas detallaron que cada panel, con poco más de un metro de largo por 42 centímetros de alto y de 18 a 22 centímetros de espesor, estuvo decorado, arriba y abajo, por una banda de muescas o cortes que parecen formar triángulos o evocar el diseño de la piel de la serpiente de cascabel.
El desciframiento preliminar realizado por los epigrafistas Nikolai Grube y Carlos Pallán Gayol, de la Universidad de Bonn, Alemania; y del Proyecto de Acervo de Glífica e Iconografía Maya (Agimaya) del INAH, respectivamente, ha permitido entender la estructura general de la citada escalinata.
La lectura llevada a cabo por los expertos develó que la fecha contenida en los primeros ocho glifos de ambos peldaños, ya en su correspondencia con el calendario gregoriano, alude al 18, o bien, al 25 de diciembre del año 858 después de Cristo.
Mientras tanto, conforme a la interpretación de otro conocedor, David Stuart, de la Universidad de Texas, en Austin, equivaldría al 864 d.C.
Para Antonio Benavides y Sara Novelo, lo anterior confirma la participación de Sabana Piletas durante el siglo IX, en el Clásico Tardío, en el panorama político del occidente de la Península de Yucatán, región en la que debió interactuar activamente dada su ubicación.
Otro aspecto relevante en la lectura de la escalinata es que uno de sus glifos (en forma de espiral), cuyo significado fonético (kikel) se traduce como "pelota", parece connotar a la bola de hule usada en ese evento.
Otra inscripción (pitzil-na) alude específicamente al juego de pelota, de ahí que se estaría frente a lo que se denomina una "escalinata para sacrificios".
Se sabe que en la zona maya, los gobernantes supremos celebraron rituales de juego de pelota en grandes escalinatas. Esos divinos "ahauob" recreaban en el otro mundo, el lugar del sacrificio del Juego de Pelota.
"En apoyo a esta idea, tenemos evidencia de que la escalinata contó con un fino recubrimiento de estuco cubierto de pintura azul, y ese color aparece con frecuencia en rituales y sacrificios. La presencia de dos falos monolíticos, ubicados a poca distancia del Edificio Glifos, refuerza aún más esta hipótesis", expuso.
"Es posible que exista un juego de pelota en algún lugar de Sabana Piletas, pero esto tendrá que verificarse mediante recorridos y registros en otros sectores del centro del asentamiento", precisaron los arqueólogos Benavides y Novelo.
Así mismo, en la escalinata existen expresiones relacionadas con eventos bélicos. De acuerdo con la propuesta de Grube y Pallán, una de ellas puede traducirse como "fueron atacadas las tierras en (donde) los Señores del Sur", lo cual podría aludir a los enemigos sureños de Sabana Piletas, quizá la entidad política de Itzimté, zona arqueológica a escasos dos kilómetros de Bolonché, al noreste de Campeche.
Finalmente se encuentran inscripciones que denotan a dioses del inframundo maya, algunos con atributos de vida y muerte, así como a los gobernantes o "ahaw" en su personificación divina.
Martes, 9 de Diciembre de 2008
Notimex El Universal Ciudad de México
***Descubre coleccionista códice azteca oculto en estatua de Obispo***
***La escultura-códice llegó a manos de un médico oftalmólogo porque, a su parecer, quería mandar un mensaje desde la época de la colonia.
Un oftalmólogo aficionado a las antigüedades halló por casualidad un códice azteca oculto en una estatua del siglo XVI de un obispo, explicó en México el coleccionista.
Manuel García Sánchez contó que a él y a su esposa les gusta pasear por el mercado de antigüedades de la Plaza El Ángel de la Zona Rosa de Ciudad de México, y recuerda que una tarde su mujer se encaprichó de la imagen de un santo, tirada en el suelo de una tienda.
La figura estaba cubierta de lodo, con la cabeza separada del cuerpo, y a él no le resultó especialmente atractiva, por lo que regateo el precio inicial de mil pesos (unos setenta dólares) , hasta reducirlo.
Tras limpiarla y pegar la cabeza, la situaron en el salón de su casa, en Toluca (centro de México) , junto a la chimenea que encienden por tradición cada fin de año y, como vieron que se resecaba mucho la madera, trasladaron la estatua tres años después a la biblioteca.
Una noche, mientras García leía unos documentos junto a la ventana por la que entraba brisa, oyó el sonido de un papel al ser arrugado, buscó la procedencia del ruido y descubrió un papel desprendiéndose de la figura.
Al examinarlo halló glifos en náhuatl (una de las lenguas indígenas habladas en México) .
"El códice para mí es una cápsula del tiempo" , sostuvo el oftalmólogo, quien opinó que la escultura-códice, como él la llama, llegó a sus manos porque quería mandar un mensaje desde la época de la colonia.
"El coleccionista no busca la pieza, la pieza lo busca a uno" , es la filosofía que mantiene García, quien recuerda cómo en otra ocasión cayó en un pozo de agua y al agarrarse para no ahogarse encontró entre sus manos una vasija azteca con una cabeza de jaguar tallada.
En su opinión, "este códice es anterior a la conquista (1521) y ellos (los aztecas) lo adosaron al santo para evitar su destrucción" .
"Eso es muy importante porque si lo adosaron, ellos mandaron ese mensaje porque sabían que iban a dejar de existir como nación y como raza, y aunque eso ocurrió, su escrito nos llegó y a mí me hace feliz haberlo encontrado y poder transmitirlo" , dijo.
García Sánchez ha remitido la escultura al Instituto Nacional de Antropología e Historia (INAH) para su restauración y para que descifren el mensaje azteca, aunque ya se puede adelantar que su contenido es de tipo económico porque contiene glifos numerales y de territorios, como era costumbre en los registros tributarios de la época.
"Va a ser una cosa muy importante porque va a unir dos naciones, los conquistadores y los conquistados, y el sincretismo de dos religiones, la nahúatl y la católica" , indicó.
El arqueólogo José Ignacio Sánchez explicó que la figura policromada de madera del siglo XVI, probablemente de 1550 o 1560, está muy deteriorada y comida por la polilla y mide 82 centímetros de alto por 22 de ancho.
La estatua está cubierta en parte por el códice de 22 centímetros de longitud hecho en papel amate del centro de México, con la escritura hacia adentro para ocultarla.
En pocas ocasiones se han hallado códices en estatuas católicas, apenas hay tres antecedentes, aunque esta es la primera vez que no es una estatua de Cristo de caña.
El arqueólogo consideró la posibilidad de que los aztecas ocultaran estos documentos en estatuas sagradas para recordar que las tierras son de los dioses y no de los hombres.
Aunque García cedió los derechos de la escultura y del códice al INAH, estos se lo van a devolver en comodato, para que lo expongan de forma itinerante en museos por todo el país y para que participe en 2010 de los actos de celebración del bicentenario de la independencia de México y el centenario de la Revolución.
11 de Diciembre de 2008
Laura González de Artaza
EFE El Universal ciudad de México
domingo, 21 de diciembre de 2008
***Rama Yade "a eu tort" de refuser la proposition de Nicolas Sarkozy de prendre la tête de la liste UMP aux élections européennes...***
***Rama Yade "a eu tort" de refuser la proposition de Nicolas Sarkozy de prendre la tête de la liste UMP aux élections européennes de juin prochain, a estimé dimanche Fadela Amara.
Elle aurait dû y aller. Moi quand (...) j'étais au PS, on ne m'a jamais laissé la chance de pouvoir me présenter sur mon nom, sur ma tête et sur mes compétences", a expliqué la secrétaire d'Etat à la Politique de la ville lors de l'émission "Dimanche soir politique" sur France-Inter et i>télé.
"Si on m'avait donné cette chance, j'aurais été avec joie. On ne perd jamais quand on se présente devant le peuple", a ajouté Fadela Amara.
La secrétaire d'Etat à la Politique de la ville, qui représente avec Rama Yade et Rachida Dati la diversité au sein du gouvernement, a jugé que cette bataille n'est "pas gagnée". "Les gens comme moi, ceux qui me ressemblent, on a encore besoin de faire nos preuves", a-t-elle remarqué.
Interrogé sur ses propres ambitions électorales, Fadela Amara a répondu que "pour l'instant" ce n'était "absolument pas" dans ses projets.
La secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme Rama Yade a déclaré publiquement il y a deux semaines qu'elle ne se présenterait pas aux élections européennes en Ile-de-France, malgré la demande insistante de Nicolas Sarkozy. Son refus a profondément agacé l'Elysée.
AP
***Je suis tout à fait d'accord avec Fadela Amara! : C'est un honneur de pouvoir prendre la tête de la liste UMP aux élections européennes de juin prochain, "on n'a jamais laissé la chance (PS, VERTS...) de pouvoir se présenter sur son nom, sur sa tête et sur ses compétences"...!***
Bien à vous,
Morgane BRAVO
miércoles, 17 de diciembre de 2008
lunes, 15 de diciembre de 2008
*EMPRESARIOS ESPAÑOLES CONFIRMAN A FHB QUE SE CONSTRUIRÁ EL PROYECTO LA NUEVA VERACRUZ*
***Empresarios de origen español confirmaron al gobernador Fidel Herrera Beltrán que antes de fin de año quedará firmada la estructura financiera del proyecto La Nueva Veracruz, un desarrollo residencial y turístico que se edificará en un área de 12.4 millones de metros cuadrados en el municipio de Veracruz.
El nuevo complejo requerirá de una inversión millonaria y generará miles de empleos directos e indirectos, aunque dijeron que los datos precisos se los reservan para la firma oficial.
Asimismo, encabezados por el vicepresidente ejecutivo del Grupo DICO, Álvaro Quiroga, anunciaron la incorporación al proyecto original del subproyecto Vista Veracruz, consistente en un campo de golf apto para competencias de gran nivel, que construirá el Grupo Terra Capital.
El complejo denominado La Nueva Veracruz contará con campos de golf, centros comerciales y de diversión y los inversionistas españoles tienen como compromiso conservar las zonas naturales existentes, además de que se crearán nuevas dotaciones deportivas y de recreo. La Nueva Veracruz estará situado al norte de del puerto de Veracruz a diez minutos por carretera del aeropuerto.
Durante una comida, el Ejecutivo del estado reanudó las conversaciones iniciadas el pasado 9 de abril en Madrid, España, cuando los empresarios del Grupo DICO lo invitaron a la presentación del proyecto en la capital ibérica.
Celebró el relanzamiento del proyecto y la seriedad que le ha dado el Grupo Dico, al mismo tiempo el mensaje de tranquilidad que transmitieron sobre la inversión.
El gobernador Fidel Herrera Beltrán dejó en claro que este es un gran momento para atraer inversiones en materia de infraestructura por lo que el estado acompaña a este proyecto con importantes obras de infraestructura carretera como las que se realizan en el tramo de Paso del Toro a Tamaca-San Julián y el Paso del Toro-Boca del Río, que se complementan con el recién inaugurado Coapiaxtla-Perote, y los avances de los libramiento de Cardel y de Xalapa.
Durante la comida, los inversionistas ibéricos transmitieron al Ejecutivo estatal un mensaje de confianza y dijeron que impulsarán con decisión su proyecto no obstante la coyuntura financiera y económica mundial.
Expresaron su total confianza en el Mandatario veracruzano "al igual que él la tiene en nosotros", por lo que resaltaron que seguirán sin hacer ruido pero trabajando.
El Ejecutivo estatal dijo que hay un entorno en nuestro espacio local muy optimista, con una de las economías que van a resistir mejor porque además se tienen finanzas sanas, por lo que se esperan más repuntes económicos.
El 9 de abril en Madrid, España, en la presentación estuvieron como anfitriones Julián Jiménez de los Galanes, presidente del grupo DICO; Álvaro Quiroga, vicepresidente, así como José Ignacio Cuesta y Luis Rodríguez Avial, quienes se encargaron de dar una explicación detallada de la inversión que realizará esta importante empresa española.
El evento se llevó a cabo en el marco de la 10ª edición del Salón Inmobiliario Internacional de Madrid (SIMA), una de las ferias del sector inmobiliario más importantes del mundo. En la presentación también estuvo presente Jorge Zermeño Díaz Infante, embajador de México en España.
En aquella ocasión, el Gobernador explicó los múltiples beneficios que traerá el proyecto "La Nueva Veracruz" para los veracruzanos, así como que este desarrollo se convierte en un detonante más para atraer turismo y continuar impulsando la economía del estado.
Destacó el potencial que alberga Veracruz para la inversión del sector inmobiliario, principalmente por las amplias posibilidades que se tienen en su variado territorio, que se ve reforzada por el desarrollo que se lleva a cabo en infraestructura por parte de los gobiernos federal, estatal y la iniciativa privada.
Ante el Embajador de México en España, Jorge Zermeño Díaz Infante, y destacados directivos e inversionistas del sector inmobiliario español que acudieron a la presentación, Fidel Herrera describió a Veracruz como un lugar de alto valor para la inversión, lo que ejemplificó con el desarrollo de "La Nueva Veracruz", el cual describió como "un gran proyecto para un gran Estado".
domingo, 14 de diciembre de 2008
*OFRECE FHB UNA ALIANZA ESTRATÉGICA ENTRE VERACRUZ Y ALBERTA, CANADA*
***El gobernador de Veracruz, Fidel Herrera Beltrán, se reunió la mañana de este martes con el viceprimer ministro y ministro de relaciones internacionales de Alberta, Ron Stevens, ante quien resaltó la importancia de ambas entidades como las principales productoras de energía en sus respectivos países.
En el cordial encuentro que se desarrolló durante un almuerzo ofrecido por el señor Stevens y donde también estuvieron presentes empresarios y dirigentes políticos de Alberta, Fidel Herrera Beltrán resaltó que esta provincia y Veracruz están unidas tanto por amistad como por la sociedad comercial que tienen con los Estados Unidos de Norteamérica.
Por ello, y luego de señalar que el estado que gobierna es el primer productor de gas, petróleo y energía de ciclo combinado en México, destacó que "compartimos esta vocación y también una gran responsabilidad porque debemos respetar el medio ambiente y ver por el desarrollo una energía sustentable".
Este compromiso se deriva del hecho de que "tenemos la industria de infraestructura más grande del país, y estamos invirtiendo y construyendo alianzas para producir nuevos combustibles ecológicamente más limpios como etanol y biodiesel", dijo Fidel Herrera Beltrán tras remarcar que Veracruz es primer lugar en petroquímica, segundo productor de gas natural y tercero en petróleo.
Explicó a que por estas características de la entidad que gobierna es que "admiramos que el desarrollo de la industria del petróleo en Alberta sea tan armónico con el medio ambiente" y el interés por intercambiar experiencias en esta materia deriva desde el momento en que hace poco más de dos años la empresa TransCanada construyó y puso en operación el gasoducto entre Veracruz y San Luis Potosí.
"Esto es un símbolo de la futura clase de negocios que los inversionistas canadienses pueden hacer en Veracruz y en México", indicó Herrera Beltrán.
Para resaltar la importancia que Veracruz tiene dentro de la industria petrolera mexicana, Fidel Herrera Beltrán recordó que más de 17 mil kilómetros de ductos atraviesan Veracruz llevando petróleo y gas natural, y en la región norte del estado están 11 de las 12 compañías que construyen las plataformas para extraer petróleo en el Golfo de México.
Aunado a ello en esta zona han mejorado sustancialmente las comunicaciones terrestres, marítimas, fluviales y aéreas, y prueba de ello son rutas como la Brecha Huasteca cuyas primeras etapas ya están en servicio, y la autopista Tuxpan-Tampico que en esta semana ya arrancó con el proceso de liberación de derechos de vía en sus primeros 30 kilómetros, del tramo del libramiento de Tampico sur a la parte veracruzana, dentro de lo que se ha llamado el paquete del Eje Carretero del Golfo.
También se cuenta con dos aeropuertos en Tuxpan y Poza Rica, este último con capacidad para recibir vuelos internacionales desde cualquier parte del mundo, y el puerto de Tuxpan que desde hace dos años ha recibido un gran impulso como centro plataformero para la exploración petrolera del Golfo de México, destacando además que en su género es la instalación más cercana a la capital del país a tan sólo tres horas de distancia al entrar en servicio la autopista Tuxpan- Poza Rica-Distrito Federal.
En su mensaje ante los asistentes al almuerzo Fidel Herrera Beltrán también destacó otras fortalezas de Veracruz como el ser primer productor de maíz y azúcar, el segundo productor de café y el contar con más de cinco millones de cabezas de ganado y una producción muy grande de cerdos y de aves de corral, cuya carne es procesada bajo las más altas condiciones de higiene y calidad en diversos rastros y frigoríficos.
También que Veracruz es el primer productor de cítricos en México y diversas variedades frutales muy apreciadas en los mercados internacionales, y el tener un tercio del agua dulce de todo México.
En este aspecto propuso ampliar hacia Alberta y otras provincias canadienses el acuerdo existente con Québec para evitar la triangulación en las exportaciones de cítricos veracruzanos a fin de que las importaciones de limones y otros cítricos no pasen por Estados Unidos, ya que ello constituye un problema por las medidas proteccionistas norteamericanas y al transitar hacia Canadá por medio de intermediarios se encarece el precio de los productos.
Por todo ello el Gobernador de Veracruz invitó a los inversionistas de Alberta a visitar la entidad luego de que varios de ellos iniciaron un primer acercamiento con industriales y productores veracruzanos.
El Ejecutivo estatal dijo aquí, luego de agradecer la invitación que le hizo el Primer Ministro de Alberta, señor Ed Stalmach, para visitar esta provincia que "nos interesa proponer una alianza estratégica de oportunidades de inversión en diversos aspectos, como el Corredor Logístico del Istmo, el turismo, y para explorar las nuevas tecnologías para el uso de la biomasa como fuente de energía".
Durante esta reunión el gobernador veracruzano también recordó que en junio de 2009 se realizará una importante reunión de la industria petrolera a nivel mundo, por lo que recibió el compromiso de 17 empresas de Alberta relacionadas con el petróleo de estar allí para participar.
Igualmente platicó sobre la presencia en Alberta de por lo menos 2 mil trabajadores veracruzanos que pueden participar en la industria de la construcción con base en el acuerdo migratorio de intercambio de trabajadores especializados
El viceprimer ministro y ministro de relaciones internacionales de Alberta, Ron Stevens, agradeció la presencia del gobernador Fidel Herrera Beltrán, a quien acompañó luego de este almuerzo a visitar al Primer Ministro Ed Stalmach.
CORDIAL ENCUENTRO CON EL
PRIMER MINISTRO ED STELMACH
Luego de una breve visita al Parlamento de Alberta, donde fue recibido por representantes legislativos de esta provincia, el gobernador Fidel Herrera Beltrán sostuvo un encuentro con el Primer Ministro Ed Stelmach, con quien dialogó ampliamente sobre temas comunes para esta provincia y Veracruz en materia de energía, así como la prevención y atención de emergencias derivadas de que ambas entidades tienen instalaciones petroleras y petroquímicas a lo largo de su territorio y han desarrollado sistemas de protección civil que han brindado buenos resultados en beneficio de la población.
El Primer Ministro de Alberta agradeció la invitación hecha por el gobernador Fidel Herrera Beltrán para visitar Veracruz el próximo año, destacando su interés en conocer más de la industria petrolera y petroquímica que se desarrolla en la entidad.
Luego de este encuentro el Ejecutivo estatal viajó por vía aérea a Calgary, donde se reunió con empresarios importadores de productos agropecuarios interesados en los cítricos veracruzanos, y concedió entrevistas a diversos medios informativos impresos y audiovisuales.
GEV
7/12/2008
miércoles, 3 de diciembre de 2008
*Mexique - Une petite île stratégique disparaît mystérieusement*
***Bermeja, une île située au large du Mexique, a disparu de la surface maritime. Peut-être de manière forcée par les Etats-Unis pour exploiter indirectement un gisement pétrolier.
Dix ans après sa disparition officielle, des parlementaires mexicains demandent des explications au président Calderon.
22 degrés 33 minutes de latitude nord et 91 degrés 22 minutes de longitude ouest. Il s'agit des coordonnées théoriques de Bermeja, une petite île, jamais habitée, du Golfe du Mexique. Appartenant au Mexique, située à quelques milles nautiques au nord-ouest de la pointe de la presqu'île du Yucatan, elle a été répertoriée sur les cartes dès le XVIe siècle. Elle figurait notamment sur le livre Les îles mexicaines, éditée par le ministère mexicain de l'Education en 1946.
Mais, désormais, cette île n'existe plus. Ou du moins se trouverait à une cinquantaine de mètres sous la mer. De quand date sa "disparition" effective ? Difficile à dire. Son immersion totale a été constatée officiellement en 1997 par une expédition du gouvernement mexicain partie à sa recherche. Onze ans après, l'affaire de la "disparition" de Bermeja est devenue politique. Une poignée de sénateurs du Parti d'action nationale (PAN, la formation au pouvoir) demande en effet au président Felipe Calderon de faire la lumière sur le mystère.
Gisement pétrolier sous contrôle américain
Pourquoi le sort de Bermeja, îlot sans aucune ressource, émeut-il autant les parlementaires mexicains ? Tout simplement car Bermeja sert de point de repère pour délimiter la frontière maritime entre le Mexique et les Etats-Unis. Celle-ci a été balisée selon des traités négociés entre les deux pays en 1978 puis en 1998. Selon les sénateurs du PAN, à chaque fois, Bermeja n'a pas été mentionnée dans les documents définitifs.
Or avec Bermeja, les eaux territoriales mexicaines seraient situées plus au nord qu'actuellement dans le Golfe de Mexique. Elles intégreraient alors la zone dite "Hoyo de Dona", dont les ressources en pétrole seraient gigantesques selon les experts. En vertu de la non-mention de Bermeja dans les traités, cette zone se trouve donc désormais en grande partie sous contrôle américain (voir photo).
Corruption ?
Même si l'immersion d'un îlot n'est pas exceptionnelle d'un point de vue scientifique et géologique -c'est notamment le cas de Ferdinandea au large de la Sicile-, les spéculations vont bon train sur les raisons de la disparition de Bermeja. Certains accusent les Etats-Unis de l'avoir fait "sauter" pour la faire couler (reste à savoir quand) et ainsi repousser la frontière maritime plus au sud pour récupérer le "Hoyo de Dona". La presse alternative fait notamment remarquer que l'expédition qui a constaté officiellement la disparition en 1997 a eu lieu juste avant la renégociation du traité des frontières. Et que ses dirigeants ont ensuite été promus à des postes importants -de là à parler de corruption, il n'y a qu'un pas. A l'opposé, un sénateur qui avait à l'époque posé à la question de Bermeja est mort dans des circonstances étranges. De là à parler d'élimination de personne qui dérange, il n'y a qu'un pas également.
Felipe Calderon donnera-t-il une explication plausible sur la disparition de Bermeja ? Les sénateurs qui ont relancé le sujet exigent une réponse pour la fin du mois.
LCI
03/12/08
*Photo : L'emplacement théorique de Bermeja
Crédit Photo : DR
martes, 2 de diciembre de 2008
*Conferencia internacional de Poznań sobre el cambio climático*
***La conferencia de Poznań, organizada bajo los auspicios de las Naciones Unidas, tiene como objetivo proseguir la puesta en aplicación del Convenio Marco de la ONU y del Protocolo de Kioto sobre el cambio climático así como dar un nuevo impulso a las negociaciones destinadas a diseñar el régimen multilateral que debería entrar en vigor a partir de 2012.
Los diferentes encuentros organizados del 1 al 12 de diciembre reunirán a unos 10 000 participantes procedentes de 170 países. Las citas principales serán las dos de los órganos subsidiarios encargados de la puesta en práctica el Convenio Marco de la ONU y el Protocolo de Kioto sobre el cambio climático respectivamente, las reuniones ministeriales de los Estados que han ratificado el Convenio por un lado y de aquellos que han suscrito el Protocolo por otro, y, por último, las dos reuniones que mantendrán los grupos de trabajo encargados de la elaboración del marco de acción internacional que debería entrar en vigor a partir de 2012.
El Protocolo de Kioto, que inauguró un primer periodo de compromisos internacionales en el ámbito del clima, llega a su vencimiento en 2012. En 2007 se inició en Bali una ronda de negociaciones destinada a alcanzar un nuevo acuerdo internacional y en 2008, en mitad de este ciclo de 2 años que concluirá en Copenhague en diciembre de 2009, se espera que Poznań resulte determinante para mantener el impulso político que haga viable un acuerdo nuevo y ambicioso. Primera medida destinada a hacer avanzar las negociaciones, en Poznań se hará una primera recopilación con todas las propuestas presentadas desde Bali hasta el día de hoy por el conjunto de países, con vistas a permitir la elaboración de un texto de negociación que será debatido en las reuniones de 2009. Asimismo, se han programado tres talleres específicos en los que se hablará de la visión compartida de un nuevo régimen de cambio climático, de la gestión del riesgo y de la investigación y desarrollo de nuevas tecnologías. Por último, la conferencia de Poznań dará la ocasión de seguir reflexionando sobre la arquitectura financiera internacional de la lucha contra el cambio climático.
La Unión Europea desempeña un papel fundamental en estas negociaciones y siempre ha querido dar ejemplo tanto en la aplicación de los compromisos suscritos en Kioto como en sus objetivos a medio y largo plazo, en particular con la adopción del paquete energía clima. La Presidencia francesa del Consejo de la Unión Europea será la encargada de coordinar la postura europea en las negociaciones de Poznań, negociaciones esenciales de cara al acuerdo que se pueda alcanzar en Copenhague en 2009.
UE
Los diferentes encuentros organizados del 1 al 12 de diciembre reunirán a unos 10 000 participantes procedentes de 170 países. Las citas principales serán las dos de los órganos subsidiarios encargados de la puesta en práctica el Convenio Marco de la ONU y el Protocolo de Kioto sobre el cambio climático respectivamente, las reuniones ministeriales de los Estados que han ratificado el Convenio por un lado y de aquellos que han suscrito el Protocolo por otro, y, por último, las dos reuniones que mantendrán los grupos de trabajo encargados de la elaboración del marco de acción internacional que debería entrar en vigor a partir de 2012.
El Protocolo de Kioto, que inauguró un primer periodo de compromisos internacionales en el ámbito del clima, llega a su vencimiento en 2012. En 2007 se inició en Bali una ronda de negociaciones destinada a alcanzar un nuevo acuerdo internacional y en 2008, en mitad de este ciclo de 2 años que concluirá en Copenhague en diciembre de 2009, se espera que Poznań resulte determinante para mantener el impulso político que haga viable un acuerdo nuevo y ambicioso. Primera medida destinada a hacer avanzar las negociaciones, en Poznań se hará una primera recopilación con todas las propuestas presentadas desde Bali hasta el día de hoy por el conjunto de países, con vistas a permitir la elaboración de un texto de negociación que será debatido en las reuniones de 2009. Asimismo, se han programado tres talleres específicos en los que se hablará de la visión compartida de un nuevo régimen de cambio climático, de la gestión del riesgo y de la investigación y desarrollo de nuevas tecnologías. Por último, la conferencia de Poznań dará la ocasión de seguir reflexionando sobre la arquitectura financiera internacional de la lucha contra el cambio climático.
La Unión Europea desempeña un papel fundamental en estas negociaciones y siempre ha querido dar ejemplo tanto en la aplicación de los compromisos suscritos en Kioto como en sus objetivos a medio y largo plazo, en particular con la adopción del paquete energía clima. La Presidencia francesa del Consejo de la Unión Europea será la encargada de coordinar la postura europea en las negociaciones de Poznań, negociaciones esenciales de cara al acuerdo que se pueda alcanzar en Copenhague en 2009.
UE
*Consejo de Competitividad: acuerdo político sobre la SBA y creación de un Plan de Acción para las PYME europeas*
***Hervé Novelli logra un acuerdo político sobre la Small Business Act (SBA), así como la creación de un Plan de Acción para las PYME (pequeñas y medianas empresas) europeas.
Los ministros responsables de Competitividad se han reunido hoy en Bruselas bajo la presidencia del secretario de Estado francés de Comercio, Artesanía, Pequeñas y Medianas Empresas, Turismo y Servicios, Hervé Novelli. En la agenda de esta sesión de trabajo figuraban la adopción de la "Small Business Act" para Europa y la elaboración de una respuesta europea a la crisis económica.
Los ministros han adoptado la "Small Business Act" para Europa en favor de las PYME europeas. Las propuestas de la Comisión han sido completadas por un Plan de Acción que aúna los esfuerzos de la Comisión y los Estados miembros en un cierto número de medidas prioritarias. En un contexto de desaceleración de las economías europeas, este plan de acción, lanzado por Hervé Novelli, aportará respuestas inmediatas y concretas a las PYME, facilitando su acceso a la financiación, simplificando las cargas administrativas a las que están sujetas y permitiéndoles aprovechar al máximo las ventajas que ofrecen los mercados europeos e internacionales. La Small Business Act representa un firme compromiso político en favor de 23 millones de PYME europeas que en los últimos años han creado el 80% de los nuevos empleos en la UE.
El vicepresidente de la Comisión, Günther Verheugen, y el comisario Charlie McCreevy han presentado el "Plan Europeo de reactivación del crecimiento y el empelo" adoptado por la Comisión Europea el pasado 26 de noviembre. En presencia del secretario francés de Asuntos Europeos, Jean Pierre Jouyet, los ministros han intercambiado impresiones sobre la respuesta que Europa debe dar a la crisis económica. Las medidas propuestas están destinadas a estimular el empleo, apoyar a las empresas y apostar por las tecnologías del futuro y la investigación europea, garantizando de este modo un estímulo presupuestario a la economía durante dos años. Los debates se proseguirán mañana en el Consejo ECOFIN. En materia de ayudas estatales, varias delegaciones han propuesto duplicar temporalmente el límite "de minimis" de dichas ayudas. Todos estos trabajos servirán de base a las decisiones del Consejo Europeo de los días 11 y 12 de diciembre.
En materia de innovación y competitividad de la economía europea, los ministros han adoptado una serie de conclusiones sobre los "clusters" de envergadura mundial en la Unión Europea, con el fin de impulsar la creación de nuevos polos de competitividad en Europa, fundados en la triple dimensión investigación-empresas-formación y capaces de hacer frente a la competencia internacional, en particular, en el sector de la tecnología punta.
Por último, los ministros han hablado de la evolución del marco jurídico y las políticas relativas a los juegos de azar y las apuestas, ligada al desarrollo de los juegos en línea. El Consejo ha instado a las próximas Presidencias a proseguir los trabajos con el fin de garantizar el buen funcionamiento del mercado interior, velando al mismo tiempo por la protección de los consumidores e intensificando la lucha contra la delincuencia.
Para concluir su presidencia, Hervé Novelli ha expuesto los logros alcanzados en varios ámbitos y proyectos estratégicos como el del paquete "Defensa", la revisión de las directivas relativas a los productos cosméticos y los juguetes, el proyecto de estatuto de sociedad privada europea, la creación de una patente comunitaria y un sistema jurisdiccional y el aumento de los plazos de protección de los derechos de autor de artistas intérpretes y productores de discos.
La República Checa ejercerá la Presidencia del Consejo de Competitividad a partir del 1 de enero de 2009 y Suecia, a partir de julio. Hervé Novelli ha hecho llegar a sus homólogos, con los que trabaja estrechamente en el marco del Trío de Presidencias, el apoyo de Francia durante los trabajos posteriores. Asimismo, ha agradecido a la Comisión y a los Estados miembros sus aportaciones y el constructivo trabajo realizado durante este segundo semestre de 2008.
UE
Los ministros responsables de Competitividad se han reunido hoy en Bruselas bajo la presidencia del secretario de Estado francés de Comercio, Artesanía, Pequeñas y Medianas Empresas, Turismo y Servicios, Hervé Novelli. En la agenda de esta sesión de trabajo figuraban la adopción de la "Small Business Act" para Europa y la elaboración de una respuesta europea a la crisis económica.
Los ministros han adoptado la "Small Business Act" para Europa en favor de las PYME europeas. Las propuestas de la Comisión han sido completadas por un Plan de Acción que aúna los esfuerzos de la Comisión y los Estados miembros en un cierto número de medidas prioritarias. En un contexto de desaceleración de las economías europeas, este plan de acción, lanzado por Hervé Novelli, aportará respuestas inmediatas y concretas a las PYME, facilitando su acceso a la financiación, simplificando las cargas administrativas a las que están sujetas y permitiéndoles aprovechar al máximo las ventajas que ofrecen los mercados europeos e internacionales. La Small Business Act representa un firme compromiso político en favor de 23 millones de PYME europeas que en los últimos años han creado el 80% de los nuevos empleos en la UE.
El vicepresidente de la Comisión, Günther Verheugen, y el comisario Charlie McCreevy han presentado el "Plan Europeo de reactivación del crecimiento y el empelo" adoptado por la Comisión Europea el pasado 26 de noviembre. En presencia del secretario francés de Asuntos Europeos, Jean Pierre Jouyet, los ministros han intercambiado impresiones sobre la respuesta que Europa debe dar a la crisis económica. Las medidas propuestas están destinadas a estimular el empleo, apoyar a las empresas y apostar por las tecnologías del futuro y la investigación europea, garantizando de este modo un estímulo presupuestario a la economía durante dos años. Los debates se proseguirán mañana en el Consejo ECOFIN. En materia de ayudas estatales, varias delegaciones han propuesto duplicar temporalmente el límite "de minimis" de dichas ayudas. Todos estos trabajos servirán de base a las decisiones del Consejo Europeo de los días 11 y 12 de diciembre.
En materia de innovación y competitividad de la economía europea, los ministros han adoptado una serie de conclusiones sobre los "clusters" de envergadura mundial en la Unión Europea, con el fin de impulsar la creación de nuevos polos de competitividad en Europa, fundados en la triple dimensión investigación-empresas-formación y capaces de hacer frente a la competencia internacional, en particular, en el sector de la tecnología punta.
Por último, los ministros han hablado de la evolución del marco jurídico y las políticas relativas a los juegos de azar y las apuestas, ligada al desarrollo de los juegos en línea. El Consejo ha instado a las próximas Presidencias a proseguir los trabajos con el fin de garantizar el buen funcionamiento del mercado interior, velando al mismo tiempo por la protección de los consumidores e intensificando la lucha contra la delincuencia.
Para concluir su presidencia, Hervé Novelli ha expuesto los logros alcanzados en varios ámbitos y proyectos estratégicos como el del paquete "Defensa", la revisión de las directivas relativas a los productos cosméticos y los juguetes, el proyecto de estatuto de sociedad privada europea, la creación de una patente comunitaria y un sistema jurisdiccional y el aumento de los plazos de protección de los derechos de autor de artistas intérpretes y productores de discos.
La República Checa ejercerá la Presidencia del Consejo de Competitividad a partir del 1 de enero de 2009 y Suecia, a partir de julio. Hervé Novelli ha hecho llegar a sus homólogos, con los que trabaja estrechamente en el marco del Trío de Presidencias, el apoyo de Francia durante los trabajos posteriores. Asimismo, ha agradecido a la Comisión y a los Estados miembros sus aportaciones y el constructivo trabajo realizado durante este segundo semestre de 2008.
UE
domingo, 30 de noviembre de 2008
*Consejo de Agricultura: principales resultados...*
***Durante el Consejo de Agricultura celebrado este viernes 28 de noviembre en Bruselas, una muy amplia mayoría de Estados miembros ha brindado su apoyo a las conclusiones de la Presidencia sobre el futuro de la Política Agrícola Común en el periodo posterior a 2013, mientras que sólo 3 delegaciones han manifestado su oposición. En línea con las discusiones abiertas en la reunión informal celebrada el pasado mes de septiembre en Annecy, dichas conclusiones lanzan oficialmente el debate comunitario sobre el futuro de la PAC a partir de 2013 y, sin anticiparse sobre las cuestiones presupuestarias que habrán de resolverse, reiteran los retos a los que la agricultura europea debe dar respuesta y los objetivos que deberá alcanzar la Política Agrícola Común.
Los ministros han celebrado en sesión pública un debate de orientación sobre la modificación del Programa Europeo de Ayuda a los más Necesitados (PEAD), presentado por la Comisión el pasado mes de septiembre. Dicho debate se ha saldado con un apoyo mayoritario por parte de los Estados miembros a las propuestas de la Comisión. Este programa, creado en 1987, permite hacer uso de las existencias de intervención en beneficio de los ciudadanos europeos con menos recursos. La evolución, desde hace 20 años, de las existencias y de los mecanismos de gestión de los mercados exigen adaptar el programa. Éste es, de hecho, el objetivo plasmado en la propuesta de la Comisión. Las discusiones técnicas proseguirán hasta finales del semestre y está previsto que la cuestión sea zanjada por la Presidencia checa, después de que el Parlamento haya emitido su dictamen en marzo de 2009.
En esta sesión del Consejo también se han abordado otros asuntos. Tras la Cumbre de Washington del pasado 15 de noviembre, las negociaciones internacionales de la OMC podrían reanudarse en Ginebra antes de finales de año. En este ámbito, una mayoría de Estados miembros ha recordado nuevamente a la Comisión la necesidad de obtener un acuerdo equilibrado que tenga en cuenta grandes intereses de la Unión Europea como las indicaciones geográficas o los bienes industriales. Por otra parte, la Presidencia se ha hecho eco de las dificultades que atraviesa Polonia en el sector lácteo. El país ya ha solicitado la aplicación de restituciones a la exportación.
Por último, en un almuerzo de trabajo informal, los ministros, acompañados del comisario Louis Michel, han hablado de la situación alimentaria mundial y del papel que debe desempeñar la agricultura en materia de desarrollo.
UE
*Photo : M. Fischer Boel - M. Barnier - Conférence de presse
Le Conseil de l'Union européenne
*Resultados del Consejo de Justicia y Asuntos de Interior...*
***El Consejo JAI de los días 27 y 28 de noviembre, último bajo Presidencia francesa, ha estado dividido en tres grandes bloques: seguridad interior, política migratoria (temas tratados el jueves) y justicia (parte abordada el viernes).
El Consejo ha hecho un repaso de los atentados perpetrados en Bombay. Al poco de ocurrir éstos, ya se habían tomado medidas de coordinación europea, tanto en Bruselas como in situ y por iniciativa de la Presidencia, con el fin poner en marcha la maquinaria de solidaridad europea. Medios de asistencia médica, consular y de evacuación se encuentran en estos momentos camino de Bombay. El Consejo recuerda en este sentido que los ciudadanos de la Unión procedentes de un Estado que no cuente con representación en Bombay pueden recurrir a los servicios consulares de cualquier otro Estado miembro que sí disponga de ella.
Asimismo, y partiendo del informe presentado por el coordinador de la lucha contra el terrorismo de la UE, Gilles de Kerchove, el Consejo ha definido sus prioridades en materia de lucha contra el terrorismo. También ha examinado el balance de los trabajos efectuados en torno a la propuesta relativa a la transmisión y utilización de los datos de los usuarios de transportes aéreos (PNR) en el seno de la UE.
El Consejo se ha centrado asimismo en la puesta en marcha del enfoque global aplicado a la cuestión de las migraciones y la asociación con los países de origen y tránsito y ha subrayado la importancia de proteger el principio de libre circulación de personas dentro del territorio de la UE contra los abusos generados, entre otros factores, por la inmigración clandestina.
Por otro lado, el Consejo ha invitado a los Estados miembros a acoger a los refugiados iraquíes. Esta acogida deberá hacerse de forma voluntaria y de acuerdo con la capacidad de acogida de cada Estado y con el conjunto de esfuerzos ya realizados. El objetivo podría situarse en torno a los 10 000 refugiados.
En otro orden de cosas, el Consejo se ha puesto de acuerdo sobre una decisión marco relativa al control judicial de los procedimientos previos a la sentencia entre Estados miembros de la UE y sobre la modernización de la red de cooperación judicial en materia civil y comercial.
Durante el mismo, se ha adoptado un informe relativo a la puesta en aplicación de un marco común de referencia para el derecho contractual europeo, de un plan de acción relativo a la e-Justicia europea y de las conclusiones relativas a los sistemas de alerta por secuestro de niños.
Además, el Consejo ha decidido el levantamiento de los controles en las fronteras terrestres entre Suiza y sus vecinos de la UE a partir del próximo 12 de diciembre. El levantamiento de las fronteras aéreas intervendrá el 29 de marzo de 2009, fecha que coincide con el paso a la hora de verano.
Por último, el Consejo ha adoptado sin necesidad de debate cinco importantes herramientas legislativas:
– una decisión marco para combatir el racismo y la xenofobia,
– una decisión marco relativa a la protección de datos de carácter personal utilizados en el marco de la cooperación policial y judicial penal,
– una decisión marco sobre el reconocimiento mutuo en materia de libertad vigilada,
– una decisión marco relativa a la modificación de la definición de terrorismo y
– una decisión marco relativa al reconocimiento mutuo de las sentencias de lo penal.
UE
*Photo : R. Dati, J. Barrot
Conseil de l'Union européenne
*Paquete Telecomunicaciones: acuerdo por unanimidad de los 27*
***Luc Chatel, secretario de Estado francés de Industria y Consumo, se ha felicitado en calidad de presidente del Consejo de Telecomunicaciones celebrado el 27 de noviembre en Bruselas del acuerdo político alcanzado en torno al Paquete Telecomunicaciones. Acto seguido, Eric Besson, secretario de Estado francés de Prospectiva, Evaluación de las Políticas Públicas y del Desarrollo de la Economía Digital, ha presidido la parte del Consejo dedicada a la promoción de la sociedad de la información y al Internet del mañana.
El Consejo ha reunido a los ministros de Telecomunicaciones de los 27 Estados miembros de la Unión Europea junto con la comisaria europea de la Sociedad de la Información y los Medios de Comunicación, Viviane Reding.
La Presidencia francesa ha recordado que el sector de las telecomunicaciones constituye una oportunidad económica real para Europa y una palanca de crecimiento primordial en el actual contexto de crisis: un mejor aprovechamiento de las tecnologías de la información y la comunicación (TIC) permitiría aumentar en medio punto el crecimiento, es decir la mitad del diferencial de crecimiento entre Europa y Estados Unidos a lo largo de los últimos 12 años. No obstante, para dar respuesta a los desafíos del mañana, es necesario proceder a la reforma del sector: el Paquete Telecomunicaciones tiene como objetivo adaptar el marco jurídico de las telecomunicaciones a las evoluciones venideras (proceso de convergencia, implementación de las redes de banda muy ancha de fibra óptica y móviles, protección reforzada del consumidor, etc.).
El acuerdo sobre el Paquete Telecomunicaciones entraña avances de gran calado:
- Se mejora la regulación de los mercados, que estará mejor coordinada y adaptada a los desafíos futuros. Varias disposiciones ayudarán a dar respuesta al desafío planteado por el despliegue de redes de nueva generación. Los mecanismos destinados a garantizar una mayor coherencia en la aplicación de la regulación también serán reforzados. El grupo de reguladores europeos será institucionalizado y su sistema de gobierno modificado a fin de garantizar una mayor transparencia y eficacia en la toma de decisiones. Por otro lado, el texto prevé que a partir de ahora los reguladores nacionales tomen muy en cuenta los avisos publicados por la Comisión y se justifiquen en caso de que se aparten de ellos.
- Una evolución pragmática de la gestión de frecuencias (“gestión del espectro”) permitirá mejorar la valorización económica de este recurso escaso. En este sentido se han sentado las bases de varios nuevos principios, supeditados al principio de subsidiaridad, entre ellos el de neutralidad de servicio, que será armonizado con la toma en consideración de objetivos de interés general. Por otro lado se ha tenido en cuenta el deseo del Parlamento Europeo de implicarse más profundamente en la reflexión estratégica sobre el espectro.
- Por último, la protección del consumidor quedará reforzada considerablemente gracias a la mejora de la transparencia y de la información contractual, a las medidas a favor de los usuarios discapacitados, a la reducción de los plazos técnicos de portabilidad del número a un día a fin de favorecer el cambio de operador y al refuerzo de la protección de la vida privada de los usuarios y la lucha contra el spam, en particular a través de SMS, con una incitación a sancionar a los proveedores de servicios responsables de envíos ilícitos.
El proceso de negociación con el Parlamento Europeo deberá proseguir de cara a conseguir la adopción definitiva del Paquete Telecomunicaciones antes de finales de 2009.
Por otro lado, además de estos avances relativos al Paquete Telecomunicaciones, la Presidencia se felicita de la orientación adoptada por el Consejo relativa a la regulación de las comunicaciones en modo roaming de un país a otro.
El acuerdo alcanzado prevé tres medidas de importancia capital para los consumidores:
- La limitación de las tarifas de envío de SMS entre países europeos a 11 céntimos de euro (IVA no incluido) frente a un costo medio actual de 29 céntimos de euro (IVA no incluido).
- Una disminución a casi la mitad del nivel de la “eurotarifa”, tarifa máxima de las llamadas enviadas o recibidas desde un país europeo a otro. En este sentido, los ministros proponen que estas llamadas empiecen a facturarse por segundos (tras un periodo de 30 segundos indivisibles).
- Para el envío y recepción de correos electrónicos y la consulta de Internet a través del móvil, Luc Chatel ha propuesto que los operadores proporcionen a sus clientes, de forma sistemática y gratuita, un mecanismo que permita interrumpir la conexión una vez que la factura se acerque al listón de los 50 €/mes. Dicho mecanismo pretende ser un freno eficaz al fenómeno creciente de las «bill shock», esas facturas que en ocasiones llegan a alcanzar varios miles de euros y de las que el usuario no tiene conocimiento hasta la recepción de las mismas.
A partir de ahora, estas disposiciones deberán ser debatidas con el Parlamento Europeo de cara a su adopción definitiva de aquí a mediados de 2009.
UE
El Consejo ha reunido a los ministros de Telecomunicaciones de los 27 Estados miembros de la Unión Europea junto con la comisaria europea de la Sociedad de la Información y los Medios de Comunicación, Viviane Reding.
La Presidencia francesa ha recordado que el sector de las telecomunicaciones constituye una oportunidad económica real para Europa y una palanca de crecimiento primordial en el actual contexto de crisis: un mejor aprovechamiento de las tecnologías de la información y la comunicación (TIC) permitiría aumentar en medio punto el crecimiento, es decir la mitad del diferencial de crecimiento entre Europa y Estados Unidos a lo largo de los últimos 12 años. No obstante, para dar respuesta a los desafíos del mañana, es necesario proceder a la reforma del sector: el Paquete Telecomunicaciones tiene como objetivo adaptar el marco jurídico de las telecomunicaciones a las evoluciones venideras (proceso de convergencia, implementación de las redes de banda muy ancha de fibra óptica y móviles, protección reforzada del consumidor, etc.).
El acuerdo sobre el Paquete Telecomunicaciones entraña avances de gran calado:
- Se mejora la regulación de los mercados, que estará mejor coordinada y adaptada a los desafíos futuros. Varias disposiciones ayudarán a dar respuesta al desafío planteado por el despliegue de redes de nueva generación. Los mecanismos destinados a garantizar una mayor coherencia en la aplicación de la regulación también serán reforzados. El grupo de reguladores europeos será institucionalizado y su sistema de gobierno modificado a fin de garantizar una mayor transparencia y eficacia en la toma de decisiones. Por otro lado, el texto prevé que a partir de ahora los reguladores nacionales tomen muy en cuenta los avisos publicados por la Comisión y se justifiquen en caso de que se aparten de ellos.
- Una evolución pragmática de la gestión de frecuencias (“gestión del espectro”) permitirá mejorar la valorización económica de este recurso escaso. En este sentido se han sentado las bases de varios nuevos principios, supeditados al principio de subsidiaridad, entre ellos el de neutralidad de servicio, que será armonizado con la toma en consideración de objetivos de interés general. Por otro lado se ha tenido en cuenta el deseo del Parlamento Europeo de implicarse más profundamente en la reflexión estratégica sobre el espectro.
- Por último, la protección del consumidor quedará reforzada considerablemente gracias a la mejora de la transparencia y de la información contractual, a las medidas a favor de los usuarios discapacitados, a la reducción de los plazos técnicos de portabilidad del número a un día a fin de favorecer el cambio de operador y al refuerzo de la protección de la vida privada de los usuarios y la lucha contra el spam, en particular a través de SMS, con una incitación a sancionar a los proveedores de servicios responsables de envíos ilícitos.
El proceso de negociación con el Parlamento Europeo deberá proseguir de cara a conseguir la adopción definitiva del Paquete Telecomunicaciones antes de finales de 2009.
Por otro lado, además de estos avances relativos al Paquete Telecomunicaciones, la Presidencia se felicita de la orientación adoptada por el Consejo relativa a la regulación de las comunicaciones en modo roaming de un país a otro.
El acuerdo alcanzado prevé tres medidas de importancia capital para los consumidores:
- La limitación de las tarifas de envío de SMS entre países europeos a 11 céntimos de euro (IVA no incluido) frente a un costo medio actual de 29 céntimos de euro (IVA no incluido).
- Una disminución a casi la mitad del nivel de la “eurotarifa”, tarifa máxima de las llamadas enviadas o recibidas desde un país europeo a otro. En este sentido, los ministros proponen que estas llamadas empiecen a facturarse por segundos (tras un periodo de 30 segundos indivisibles).
- Para el envío y recepción de correos electrónicos y la consulta de Internet a través del móvil, Luc Chatel ha propuesto que los operadores proporcionen a sus clientes, de forma sistemática y gratuita, un mecanismo que permita interrumpir la conexión una vez que la factura se acerque al listón de los 50 €/mes. Dicho mecanismo pretende ser un freno eficaz al fenómeno creciente de las «bill shock», esas facturas que en ocasiones llegan a alcanzar varios miles de euros y de las que el usuario no tiene conocimiento hasta la recepción de las mismas.
A partir de ahora, estas disposiciones deberán ser debatidas con el Parlamento Europeo de cara a su adopción definitiva de aquí a mediados de 2009.
UE
martes, 25 de noviembre de 2008
***VIADEO s’implante au Mexique***
***En choisissant le Mexique, Viadeo marque une étape majeure dans son développement sur le continent américain et à l’international.
Viadeo, LE site internet de mise en relation professionnelle de référence, annonce aujourd’hui l’ouverture de son implantation au Mexique. En se déployant sur ce pays moteur en Amérique Latine, Viadeo réaffirme son ambition de développement à l’échelle mondiale.
À l’occasion d’une grande soirée à l’Ambassade de France à Mexico et avec l’appui de la Chambre du Commerce et de l’Industrie franco-mexicaine, Dan Serfaty, co-fondateur et CEO de Viadeo a officiellement annoncé le lancement du réseau social professionnel Viadeo au Mexique. Cet événement marque une nouvelle étape dans sa stratégie de développement à l’international initiée en novembre 2006 et divisée en deux axes : la conclusion de partenariat stratégique avec des acteurs locaux leaders (Tianji en Chine) et l’ouverture de plateformes propriétaires comme au Mexique aujourd’hui.
« VIADEO est le premier réseau social à offrir à ses membres une forte proximité, géographique et de services. L’ouverture de VIADEO Mexique avec un bureau local illustre bien notre volonté d’apporter le meilleur service à nos partenaires locaux pour leur permettre de mieux appréhender leurs problématiques régionales. Dans l’optique mexicaine, Viadeo n’a pas souhaité – à la différence de l’Asie – signer de partenariat. Au contraire, Viadeo a décidé de s’investir directement pour répondre aux besoins et aux attentes des Mexicains dans un pays à forte culture de réseau et où il n’existe aucun acteur local », précise Dan Serfaty, co-fondateur et CEO de Viadeo.
Ce lancement est également à lier au rachat préalable d’ICTnet par Viadeo en juin 2008, site communautaire espagnol à forte notoriété auprès des cadres de haut niveau (ingénieurs, cadres, entrepreneurs, etc.) en Amérique Latine. Cette acquisition avait ainsi permis de tisser, avec succès, un premier lien avec le Mexique depuis l’Espagne.
« Nous sommes très fiers de pouvoir présenter aux Chefs d’entreprises ainsi qu’aux cadres mexicains l’un des outils qui a révolutionné le « Business Networking » en Europe. Viadeo a développé un ensemble de services communautaires qui facilite le rapprochement des professionnels et surtout les échanges entre eux. Les membres peuvent échanger entre eux sur des thématiques pointues, partager des articles, faire appel à l’expertise des professionnels, pour in fine développer leur business et gérer leur carrière », commente Dan Serfaty.
En s’inscrivant sur www.viadeo.com, tous les membres de Viadeo Mexique bénéficieront de toutes les fonctionnalités optimisées de Viadeo (Réseau social professionnel, Outil de développement de business et de Gestion de carrière) et pourront échanger rapidement avec l’ensemble du réseau Viadeo à travers le monde. Viadeo fort aujourd’hui de plus de 6 millions d’utilisateurs à travers le monde se fixe pour objectif d’atteindre 500 000 nouveaux membres au Mexique d’ici un an.
*A propos de Viadeo
Créée en juin 2004 par Dan Serfaty et Thierry Lunati, Viadeo.com s’est rapidement imposée comme LA plateforme de mise en relation professionnelle de référence avec déjà plus de 6 millions de membres aujourd’hui. VIADEO existe en 8 langues avec une présence locale dans 7 pays.
Viadeo est avant tout un « business tool » permettant d'enrichir et de capitaliser sur son réseau de relations professionnelles et, par conséquent, d'augmenter ses opportunités de business et de gestion de carrière. De fait, les membres de Viadeo utilisent le site pour différents besoins, à différents moments de leur vie professionnelle : trouver des clients et/ou des partenaires, recruter des collaborateurs ou bien « être chassés », échanger des informations et accroître leur notoriété professionnelle.
Contact Presse
VIADEO SA
Paris, le 6 novembre 2008
******************************************************************
*MEXIQUE*
*NOS CLUBS (entre autres)*
*CLUB DE NEGOCIOS : "México-Francia"
http://www.viadeo.com/hub/affichehub/?hubId=0026n6ua0h9fmfh
*Club de Negócios NAFTA : Canadá, Estados Unidos, México!
http://www.viadeo.com/hub/affichehub/?hubId=0027ldhpeah2fvp
Bien à vous,
Morgane BRAVO
http://www.bravo-associatesw.com
domingo, 16 de noviembre de 2008
***Une nouvelle formalité pour se rendre aux Etats-Unis...***
***Visa déguisé, comme le redoutent les Européens, ou formalité administrative simplifiée, telle que la présentent les Américains ? Les avis divergent sur la portée de la mesure applicable, dès le 12 janvier 2009, aux voyageurs dispensés de visa désireux de se rendre aux Etats-Unis. A compter de cette date, ils devront en effet demander au préalable par Internet une autorisation de voyage. Selon les autorités américaines, ce système électronique d'autorisation de voyage, qui s'appliquera aux trajets par air ou mer mais non par terre, remplacera, au terme d'une période de transition, les formulaires que les voyageurs sont aujourd'hui invités à remplir avant de débarquer.
Dès le mois d'avril, l'Union européenne avait exprimé la crainte que cette autorisation de voyage ne soit qu'un visa déguisé. Selon un porte-parole de la Commission, des experts vont procéder à une évaluation de la procédure.
Les Américains s'en défendent, en soulignant que la délivrance de l'autorisation sera quasi instantanée, et qu'elle ne sera pas précédée d'un entretien avec un représentant officiel des Etats-Unis. Les refus éventuels, souligne Washington, seront notifiés aux voyageurs avant leur départ, et non à leur arrivée aux Etats-Unis.
Cette autorisation, gratuite dans un premier temps, sera valable pour deux ans. Les renseignements demandés porteront notamment sur l'identité du voyageur (nom et prénom, date de naissance, nationalité, sexe, passeport), sur les détails de son voyage (nom de la compagnie et numéro du vol, adresse aux Etats-Unis), sur son état de santé (maladies transmissibles, maladies physiques ou mentales, consommation de drogue) ou sur son passé criminel (arrestations, condamnations, actes d'espionnage, de terrorisme, de génocide).
Quinze pays de l'Union européenne sont aujourd'hui exemptés de visa pour les séjours touristiques inférieurs à trois mois, et à condition que leurs ressortissants disposent d'un passeport électronique. L'Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la République tchèque et la Slovaquie les rejoindront le 17 novembre. L'exemption de ces six nouveaux membres de l'UE est adossée à un accord d'échange de certaines données jugées nécessaires à la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée.
Thomas Ferenczi
BRUXELLES BUREAU EUROPEEN
LE MONDE
16.11.08
*Photo : D.R. Le passeport biométrique serait disponible en France à partir de juin 2009.
sábado, 15 de noviembre de 2008
jueves, 6 de noviembre de 2008
***Los acontecimientos del 4 de noviembre en MEXICO-Muere Secretario de Gobernación en accidente aéreo***
*** Niegan que aeronave se haya salido de su trayectoria : Cumplió con los reportes de posición autorizados :
El director del Servicio de Navegación en el Espacio Aéreo Mexicano (Seneam), Agustín Arellano, explicó que la trayectoria, altitud y velocidad de la aeronave se encontraban dentro de las normas establecidas en los procedimientos de llegada al Aeropuerto Internacional Benito Juárez Ciudad de México (AICM), por lo cual negó que en algún momento se hubiera salido de trayectoria.
"La aeronave, explicó Agustín Arellano, cumplió con los reportes de posición autorizados con los servicios de control de tránsito aéreo".
En conferencia de prensa acompañado del secretario de Comunicaciones y Transportes, Luis Téllez, dijo que de acuerdo con el audio del centro de control se pudo determinar que en el espacio aéreo no hubo tráfico que impidiera la llegada de la aeronave accidentada, en la murieron el funcionario federal y otras personas.
Descartó que el piloto del Learjet 45 donde viajaba el secretario de Gobernación, Juan Camilo Mouriño, hubiera hecho una llamada de emergencia al centro de control del aeropuerto capitalino.
Durante la conferencia, destacó que estos datos contenidos en la caja negra del Learjet 45 no pueden ser manipulados, porque hay códigos de seguridad en el tiempo del sistema que impiden cualquier manipulación.
Al término de la rueda de prensa, el titular de la SCT hizo un llamado de paciencia hasta conocer toda la información de la caja negra del avión, a partir de la cual se conocerá a detalle las condiciones en que se operó el vuelo.
Téllez Kuenzler especificó que el análisis de esta información llevará tiempo, "vamos a tardar en tener las investigaciones técnicas que llevan a cabo los investigadores de Aeronáutica Civil, es un proceso largo que lleva tiempo".
El funcionario federal confirmó también que la aeronave fue vigilada en todo momento por elementos de seguridad durante su estancia en San Luis Potosí, motivo de la gira de trabajo del secretario de Gobernación, Juan Camilo Mouriño.
México, 5 Nov
Notimex.
El director del Servicio de Navegación en el Espacio Aéreo Mexicano (Seneam), Agustín Arellano, explicó que la trayectoria, altitud y velocidad de la aeronave se encontraban dentro de las normas establecidas en los procedimientos de llegada al Aeropuerto Internacional Benito Juárez Ciudad de México (AICM), por lo cual negó que en algún momento se hubiera salido de trayectoria.
"La aeronave, explicó Agustín Arellano, cumplió con los reportes de posición autorizados con los servicios de control de tránsito aéreo".
En conferencia de prensa acompañado del secretario de Comunicaciones y Transportes, Luis Téllez, dijo que de acuerdo con el audio del centro de control se pudo determinar que en el espacio aéreo no hubo tráfico que impidiera la llegada de la aeronave accidentada, en la murieron el funcionario federal y otras personas.
Descartó que el piloto del Learjet 45 donde viajaba el secretario de Gobernación, Juan Camilo Mouriño, hubiera hecho una llamada de emergencia al centro de control del aeropuerto capitalino.
Durante la conferencia, destacó que estos datos contenidos en la caja negra del Learjet 45 no pueden ser manipulados, porque hay códigos de seguridad en el tiempo del sistema que impiden cualquier manipulación.
Al término de la rueda de prensa, el titular de la SCT hizo un llamado de paciencia hasta conocer toda la información de la caja negra del avión, a partir de la cual se conocerá a detalle las condiciones en que se operó el vuelo.
Téllez Kuenzler especificó que el análisis de esta información llevará tiempo, "vamos a tardar en tener las investigaciones técnicas que llevan a cabo los investigadores de Aeronáutica Civil, es un proceso largo que lleva tiempo".
El funcionario federal confirmó también que la aeronave fue vigilada en todo momento por elementos de seguridad durante su estancia en San Luis Potosí, motivo de la gira de trabajo del secretario de Gobernación, Juan Camilo Mouriño.
México, 5 Nov
Notimex.
martes, 28 de octubre de 2008
*Sommet mondial des régions sur le changement climatique*
***Dans le cadre du dossier "énergie-climat", priorité de la présidence française du Conseil de l'Union européenne, les régions entendent démontrer le rôle central de l'échelon territorial dans la lutte contre le réchauffement climatique.
A l'initiative du Réseau des gouvernements régionaux pour le développement durable (nrg4SD), dont elle est membre, la Région Bretagne organisera le premier sommet mondial des régions sur le changement climatique les 29/30 octobre 2008 à Saint-Malo, en partenariat avec la Conférence des régions périphériques maritimes d'Europe (CRPM). Au 15 septembre, des représentants de 75 régions, issus de 50 pays, étaient déjà inscrits.
L'un des objectifs principaux du Sommet est d'approfondir les relations en matière de lutte contre le changement climatique avec les organisations supranationales. La Commission européenne s'y associe à travers ses directions générales politique régionale, développement, environnement et relations extérieures, de même que le Comité des régions par la présence de son président. Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) ainsi que le ministère des affaires étrangères et européennes apportent leur soutien à cette initiative. Par ailleurs, un important programme d'appui du PNUD aux initiatives régionales visant à la réalisation et à la mise en œuvre de plans climat territoriaux devrait être lancé à cette occasion.
Au-delà d'un état des lieux scientifique, l'ambition du Sommet de Saint-Malo est de confronter les expériences de terrain susceptibles d'être mutualisées et transférées, dans une optique de solidarité Nord/Sud. La Bretagne et les membres du réseau souhaitent ainsi montrer la "valeur ajoutée" que les régions peuvent apporter concrètement à la lutte contre le réchauffement climatique. Elles entendent participer aux grands débats européens et mondiaux, au moment où se négocie l'accord final sur le paquet " énergie-climat " de l'Union européenne et où s'accélèrent les discussions internationales en vue de la Conférence de Copenhague en 2009 qui jettera les bases de l'après Kyoto.
Le réseau nrg4SD
Créé dans la suite du sommet de Johannesburg en 2002, le Réseau des gouvernements régionaux pour le développement durable (Network of regional governments for sustainable development/nrg4SD) rassemble aujourd'hui plus de 35 membres sur 16 pays. Grâce à l'adhésion de 4 réseaux régionaux (CRPM/Europe, Northern Forum/Régions polaires, OLAGI/Amérique Latine, ABEMA/Brésil), son audience s'étend cependant bien au-delà. Coprésidé par le Pays Basque espagnol et la région sud-africaine de Western Cape, nrg4SD fait entendre la voix des régions sur la scène internationale et met en évidence leur rôle central dans la lutte contre le changement climatique. Accrédité auprès de l'ONU en tant qu'observateur, il participe à la Convention cadre sur le changement climatique et au Conseil des gouverneurs/Forum environnemental ministériel mondial du PNUE.
*Lien ci-dessous :
http://www.worldsummitofregions.org
*Photo : Visuel du Sommet mondial des Régions
Région Bretagne
domingo, 26 de octubre de 2008
***FUE QUIEN PREDIJO LA CRISIS : Nouriel Roubini pide cerrar las Bolsas durante una o dos semanas***
***Nouriel Roubini, gurú económico: 'La recesión durará entre 18 y 24 meses' :
Nouriel Roubini pide cerrar las Bolsas durante una o dos semanas
Escuchar a Nouriel Roubini concede el privilegio de saber qué va a pasar en el futuro.
Al menos eso ha sucedido hasta ahora. En agosto de 2007 se desató la crisis de las hipotecas subprime. En septiembre de 2006, este profesor de economía de la Escuela de Negocios Stern, en la universidad de Nueva York, alertó de ello. Y otro acierto más reciente. En marzo de 2008 auguró que en unos meses habría que nacionalizar bancos.
Sólo hay que recordar lo que ha pasado en las últimas semanas en EEUU, Reino Unido, Holanda, Alemania... Ayer Roubini pasó por Madrid, en unas jornadas organizadas por el IESE, y, a la vista de su discurso, uno se plantea huir de la Tierra.
Hay que cerrar las bolsas una o dos semanas'
Caídas diarias en los mercados del 5% son "disfuncionales", sostuvo Roubini. "Hay pánico y hay que cortocircuitarlo. La única manera es cerrar las bolsas una o dos semanas". Ese tiempo habría de aprovecharse para infundir confianza entre los inversores.
'Va a haber un estancamiento durante muchos años'
Roubini indicó que EEUU ya está en recesión. Antes se discutía si iba a llegar ese golpe, "ahora la cuestión es lo fuerte que va a ser".
En su opinión, el escenario de contracción de la economía se prolongará entre 18 y 24 meses. "Hay un riesgo de que la recesión sea en 'L'. Va a haber un estancamiento de muchos años".
'No vamos a ver un constipado, sino una neumonía'
El economista tiró del tradicional aforismo que señala que, "cuando EEUU estornuda, el resto del mundo se constipa. Ahora no vamos a ver un constipado, sino una neumonía", sentenció gráficamente. Las economías emergentes "pueden necesitar la ayuda del FMI o del Banco Mundial porque las condiciones financieras en el mundo van a peor".
'En seis meses el problema será la deflación'
Roubini reprochó a los bancos centrales, en particular al europeo, su extrema atención a la inflación. A su juicio, "en seis meses lo preocupante será la deflación. Habrá caída de precios y más paro". Por eso, reclamó nuevas bajadas de tipos de interés, aunque tengan "poco impacto. Hay mucho recorrido".
'Los gobiernos van a quedarse más bancos'
Roubini predijo en marzo pasado que se nacionalizarían bancos y se acaba de cumplir. Ahora prevé que los gobiernos "van a tener que quedarse con más bancos".
Los Estados deberán dar crédito directamente
La situación del sector financiero llevará, según este profesor, a que sean los Estados los que, sin pasar por la banca, tengan que dar préstamos a las empresas. "Los gobiernos deberán dar créditos directamente".
Miles de empresas sanas pueden quebrar
Su opinión es que los problemas de liquidez van a ahogar a muchas compañías. Como consecuencia de no poder recurrir a préstamos "miles de empresas sanas y sólidas pueden quebrar", advirtió.
Estamos en la debacle financiera o al borde de ella
Pese a las inyecciones de capital y los planes de salvamento, los spreads (diferenciales sobre los tipos oficiales) siguen subiendo. "Estamos en la debacle financiera o al borde de ella".
Todo lo que se haga por la banca lo deshará la economía real
Por más ayudas que haya para el sector financiero, la crisis de la economía real hará que no valgan para nada.
'España sufrirá una recesión bastante severa'
El diagnóstico de Roubini sobre la economía española no invita al optimismo. "La burbuja inmobiliaria va a estallar" y España se encamina hacia "una recesión bastante severa". La actual crisis va a ser "mucho más dolorosa para España que para otras partes de la zona euro".
JUAN EMILIO MÁILLO
MADRID
EL MUNDO
25/10/2008
Nouriel Roubini pide cerrar las Bolsas durante una o dos semanas
Escuchar a Nouriel Roubini concede el privilegio de saber qué va a pasar en el futuro.
Al menos eso ha sucedido hasta ahora. En agosto de 2007 se desató la crisis de las hipotecas subprime. En septiembre de 2006, este profesor de economía de la Escuela de Negocios Stern, en la universidad de Nueva York, alertó de ello. Y otro acierto más reciente. En marzo de 2008 auguró que en unos meses habría que nacionalizar bancos.
Sólo hay que recordar lo que ha pasado en las últimas semanas en EEUU, Reino Unido, Holanda, Alemania... Ayer Roubini pasó por Madrid, en unas jornadas organizadas por el IESE, y, a la vista de su discurso, uno se plantea huir de la Tierra.
Hay que cerrar las bolsas una o dos semanas'
Caídas diarias en los mercados del 5% son "disfuncionales", sostuvo Roubini. "Hay pánico y hay que cortocircuitarlo. La única manera es cerrar las bolsas una o dos semanas". Ese tiempo habría de aprovecharse para infundir confianza entre los inversores.
'Va a haber un estancamiento durante muchos años'
Roubini indicó que EEUU ya está en recesión. Antes se discutía si iba a llegar ese golpe, "ahora la cuestión es lo fuerte que va a ser".
En su opinión, el escenario de contracción de la economía se prolongará entre 18 y 24 meses. "Hay un riesgo de que la recesión sea en 'L'. Va a haber un estancamiento de muchos años".
'No vamos a ver un constipado, sino una neumonía'
El economista tiró del tradicional aforismo que señala que, "cuando EEUU estornuda, el resto del mundo se constipa. Ahora no vamos a ver un constipado, sino una neumonía", sentenció gráficamente. Las economías emergentes "pueden necesitar la ayuda del FMI o del Banco Mundial porque las condiciones financieras en el mundo van a peor".
'En seis meses el problema será la deflación'
Roubini reprochó a los bancos centrales, en particular al europeo, su extrema atención a la inflación. A su juicio, "en seis meses lo preocupante será la deflación. Habrá caída de precios y más paro". Por eso, reclamó nuevas bajadas de tipos de interés, aunque tengan "poco impacto. Hay mucho recorrido".
'Los gobiernos van a quedarse más bancos'
Roubini predijo en marzo pasado que se nacionalizarían bancos y se acaba de cumplir. Ahora prevé que los gobiernos "van a tener que quedarse con más bancos".
Los Estados deberán dar crédito directamente
La situación del sector financiero llevará, según este profesor, a que sean los Estados los que, sin pasar por la banca, tengan que dar préstamos a las empresas. "Los gobiernos deberán dar créditos directamente".
Miles de empresas sanas pueden quebrar
Su opinión es que los problemas de liquidez van a ahogar a muchas compañías. Como consecuencia de no poder recurrir a préstamos "miles de empresas sanas y sólidas pueden quebrar", advirtió.
Estamos en la debacle financiera o al borde de ella
Pese a las inyecciones de capital y los planes de salvamento, los spreads (diferenciales sobre los tipos oficiales) siguen subiendo. "Estamos en la debacle financiera o al borde de ella".
Todo lo que se haga por la banca lo deshará la economía real
Por más ayudas que haya para el sector financiero, la crisis de la economía real hará que no valgan para nada.
'España sufrirá una recesión bastante severa'
El diagnóstico de Roubini sobre la economía española no invita al optimismo. "La burbuja inmobiliaria va a estallar" y España se encamina hacia "una recesión bastante severa". La actual crisis va a ser "mucho más dolorosa para España que para otras partes de la zona euro".
JUAN EMILIO MÁILLO
MADRID
EL MUNDO
25/10/2008
domingo, 28 de septiembre de 2008
***México premiará a ciudadanos que detecten trámites más inútiles y engorrosos***
***El Gobierno de México presentó hoy un original concurso que pretende premiar a los tres ciudadanos que den con el trámite "más inútil, complejo, ilógico y engorroso" en las administraciones públicas federal, estatal y municipal, informaron fuentes oficiales.
"El presidente (Felipe) Calderón fue muy claro en su instrucción: todo trámite burocrático innecesario tiene que ser eliminado", dijo en rueda de prensa el Secretario (ministro) de la Función Pública (SFP), Salvador Vega, al presentar el concurso.
Los premios serán en metálico, uno de 300.000 pesos (28.000 dólares) para el ganador en la categoría federal y dos más de 100.000 pesos (9.350 dólares) cada uno para el peor trámite estatal y municipal.
Para concursar cualquier ciudadano podrá enviar desde hoy y hasta el 31 de octubre sus denuncias por internet al portal www.funcionpublica.gob.mx, a través de las oficinas de correos del país o por teléfono (01 800 681 8726).
Según el ministro Vega el concurso debe contribuir a "recuperar la confianza de los mexicanos en las instituciones gubernamentales, con una visión renovada del servicio, de resultados y de compromiso social", como pretende Calderón.
Un jurado encabezado por el director de Transparencia Mexicana (TI), Federico Reyes Heroles, e integrado por otras personalidades decidirá los ganadores.
Para Reyes Heroles, quien participó en el acto de hoy, los trámites son "el rostro del gobierno frente a la ciudadanía" por lo que una sociedad "amenazada" por ellos "se siente minusvalorada o maltratada".
La iniciativa se inscribe dentro del Programa de Mejora de la Gestión que impulsa el gobierno y busca reducir los trámites y servicios que ofrece la Administración Pública de los 4.200 actuales a unos 3.000 hasta 2012.
Además pretende simplificar los trámites actuales y, en la medida de lo posible, digitalizarlos o hacerlos accesibles por internet, medio que utilizan ya casi uno de cada cuatro mexicanos. EFE
México, 25 sep (EFE)
"El presidente (Felipe) Calderón fue muy claro en su instrucción: todo trámite burocrático innecesario tiene que ser eliminado", dijo en rueda de prensa el Secretario (ministro) de la Función Pública (SFP), Salvador Vega, al presentar el concurso.
Los premios serán en metálico, uno de 300.000 pesos (28.000 dólares) para el ganador en la categoría federal y dos más de 100.000 pesos (9.350 dólares) cada uno para el peor trámite estatal y municipal.
Para concursar cualquier ciudadano podrá enviar desde hoy y hasta el 31 de octubre sus denuncias por internet al portal www.funcionpublica.gob.mx, a través de las oficinas de correos del país o por teléfono (01 800 681 8726).
Según el ministro Vega el concurso debe contribuir a "recuperar la confianza de los mexicanos en las instituciones gubernamentales, con una visión renovada del servicio, de resultados y de compromiso social", como pretende Calderón.
Un jurado encabezado por el director de Transparencia Mexicana (TI), Federico Reyes Heroles, e integrado por otras personalidades decidirá los ganadores.
Para Reyes Heroles, quien participó en el acto de hoy, los trámites son "el rostro del gobierno frente a la ciudadanía" por lo que una sociedad "amenazada" por ellos "se siente minusvalorada o maltratada".
La iniciativa se inscribe dentro del Programa de Mejora de la Gestión que impulsa el gobierno y busca reducir los trámites y servicios que ofrece la Administración Pública de los 4.200 actuales a unos 3.000 hasta 2012.
Además pretende simplificar los trámites actuales y, en la medida de lo posible, digitalizarlos o hacerlos accesibles por internet, medio que utilizan ya casi uno de cada cuatro mexicanos. EFE
México, 25 sep (EFE)
lunes, 22 de septiembre de 2008
*ANÁLISIS DE 27 ESTUDIOS : Jefes que 'matan'*
***Los trabajadores a las órdenes de un buen jefe cogen menos bajas laborales
*En Europa 41 millones de personas sufren estrés por culpa del ambiente en el trabajo
MADRID.- Hay jefes que, literalmente, te pueden poner enfermo. Son los que no tienen en consideración a sus empleados, los que no los motivan y no los estimulan intelectualmente. Nada que ver con los buenos líderes que, tal y como acaba de reconocer un nuevo estudio, logran aumentar la satisfacción de sus subordinados en el trabajo y contribuyen a que se sientan mejor en general y no se pongan malos.
Jaana Kuoppala, del Instituto Finlandés de Salud Laboral, en Helsinki, y su equipo han llevado a cabo una revisión de un total de 27 estudios de los 109 seleccionados, publicados entre 1970 y 2005, en los que se ha analizado cómo influyen los jefes en la salud y en el bienestar de los trabajadores.
"En la literatura científica encontramos tres definiciones distintas de lo que es ser un jefe benévolo", afirma a elmundo.es la doctora Anne Lamminpää, una de las autoras del estudio. "El jefe compasivo, que proporciona apoyo social cuando es necesario; el considerado, que trata con respeto a los empleados y el transformador, que inspira, motiva y estimula a nivel intelectual", añade.
La investigación, que ha visto la luz recientemente en la revista 'Journal of Occupational and Enviromental Medicine', constata que los trabajadores a las órdenes de un buen jefe están menos días enfermos y requieren de menos bajas laborales. Concretamente, estos empleados 'afortunados' tiene un 27% menos de riesgo de enfermar y un 46% menos de posibilidades de solicitar una baja por discapacidad .
"Estos datos confirman la teoría de que los superiores bien preparados, que promueven un buen ambiente laboral, así como unas óptimas condiciones de trabajo, reducen los problemas de salud" de los compañeros que están bajo su dirección. Por este motivo "las compañías deberían seguir de forma rutinaria la trayectoria de sus empleados y realizar un esfuerzo por mejorar las condiciones en las que trabajan", agrega Lamminpää.
El oficio de tomar decisiones
Un ambiente laboral "irrespirable es algo que se nota a distancia y que, lógicamente, repercute negativamente en la salud de los trabajadores. Lo mismo sucede cuando una persona no se siente realizada en su trabajo, se le encomiendan labores que están por debajo de sus capacidades o se le acosa", comenta Santiago Alvarez de Mon, profesor del IESE (Escuela de Dirección de Empresas de la Universidad de Navarra) en el Departamento de Dirección de Personas en la Organización.
Iñaki Piñuel Zabala, profesor titular de Organización y Recursos Humanos de la Universidad de Alcalá de Henares (Madrid) y socio de la consultora Mobbing Research, aclara que detrás de este mal clima laboral se esconden los que denominados "jefes tóxicos".
Este pionero en la investigación y difusión del acoso laboral en España declara que los datos del último informe Cisneros establecen "que el 36% de los trabajadores haría examinar a su jefe por un psicólogo. En nuestro país está muy extendido el concepto de que ser jefe es un arte que se tiene o no se tiene, pero en realidad es una tecnología que se aprende. Los jefes tóxicos son los que generan precisamente eso, un clima tóxico. No toman decisiones, lo que favorece que muchos empleados se aprovechen de esta situación y se genere por ello un caldo de cultivo que deteriora la salud de los otros empleados".
Tal vez por este motivo las conclusiones del nuevo estudio determinan "que es extremadamente importante que la función de los superiores sea evaluada y que se promocione a aquéllos con una conducta más ejemplar en todos los ambientes laborales", añade el trabajo.
Más salud y más productividad
El psicólogo estadounidense Kenneth Nowack, presidente del Consorcio Envisia, que lleva 20 años desarrollando sistemas para la evaluación de los empleados, y uno de los mayores expertos mundiales en inteligencia emocional, también se muestra de acuerdo con los datos del nuevo estudio. "Este metaánalisis proporciona la confirmación de que los líderes intervienen en los niveles de estrés, en el síndrome de Burnout (profesional quemado), la ansiedad, la salud psicológica y el bienestar físico que padecen sus trabajadores", afirma a elmundo.es.
Todos estos factores negativos tienen "un coste para las compañías en gastos médicos, accidentes, problemas de seguridad, estado de ánimo de los empleados o, incluso, desperdicio de talento", subraya el doctor Nowack.
Este especialista recuerda que sus estudios han constatado que "los trabajadores a las órdenes de los líderes más inteligentes emocionalmente son más productivos, efectivos y gozan de mejor salud que aquéllos cuyos supervisores son mediocres. Estos últimos líderes pueden provocar desde estrés laboral en sus empleados hasta aumentar su riesgo de hipertensión y ataques al corazón", puntualiza.
El estrés laboral se ha convertido en un factor de riesgo psicosocial que sólo en la Unión Europea afecta a 41 millones de empleados. Al otro lado del Atlántico, los expertos en salud mental aseguran que se ha producido un incremento de los casos de esta dolencia este año, según señala 'The Wall Street Journal'. De hecho, la Asociación de Asistencia Profesional al Empleado de EEUU afirma que las peticiones de los trabajadores para participar en programas de ayuda para problemas mentales o personales han aumentado un 10%.
Un reciente estudio llevado a cabo por la Organización Gallup, que lleva más de 70 años investigando el comportamiento humano y es una de las firmas más reconocidas en sondeos de opinión y consultoría, determina que los grupos de trabajo mal dirigidos son un 50% menos productivos y un 44% menos rentables para sus empresas. Además, esta entidad subraya que los "malos" jefes hacen perder talentos para las compañías.
No sólo eso. Hacia ellos apunta además la mayor parte de la responsabilidad de otro factor de riesgo psicosocial reconocido en los últimos 25 años: El "mobbing" o acoso psicológico en el trabajo. Según datos de la Asociación Nacional de Entidades Preventivas Acreditadas (ANEPA), afecta ya al 10% de los trabajadores y trabajadoras nacionales.
Elmundo.es salud
*En Europa 41 millones de personas sufren estrés por culpa del ambiente en el trabajo
MADRID.- Hay jefes que, literalmente, te pueden poner enfermo. Son los que no tienen en consideración a sus empleados, los que no los motivan y no los estimulan intelectualmente. Nada que ver con los buenos líderes que, tal y como acaba de reconocer un nuevo estudio, logran aumentar la satisfacción de sus subordinados en el trabajo y contribuyen a que se sientan mejor en general y no se pongan malos.
Jaana Kuoppala, del Instituto Finlandés de Salud Laboral, en Helsinki, y su equipo han llevado a cabo una revisión de un total de 27 estudios de los 109 seleccionados, publicados entre 1970 y 2005, en los que se ha analizado cómo influyen los jefes en la salud y en el bienestar de los trabajadores.
"En la literatura científica encontramos tres definiciones distintas de lo que es ser un jefe benévolo", afirma a elmundo.es la doctora Anne Lamminpää, una de las autoras del estudio. "El jefe compasivo, que proporciona apoyo social cuando es necesario; el considerado, que trata con respeto a los empleados y el transformador, que inspira, motiva y estimula a nivel intelectual", añade.
La investigación, que ha visto la luz recientemente en la revista 'Journal of Occupational and Enviromental Medicine', constata que los trabajadores a las órdenes de un buen jefe están menos días enfermos y requieren de menos bajas laborales. Concretamente, estos empleados 'afortunados' tiene un 27% menos de riesgo de enfermar y un 46% menos de posibilidades de solicitar una baja por discapacidad .
"Estos datos confirman la teoría de que los superiores bien preparados, que promueven un buen ambiente laboral, así como unas óptimas condiciones de trabajo, reducen los problemas de salud" de los compañeros que están bajo su dirección. Por este motivo "las compañías deberían seguir de forma rutinaria la trayectoria de sus empleados y realizar un esfuerzo por mejorar las condiciones en las que trabajan", agrega Lamminpää.
El oficio de tomar decisiones
Un ambiente laboral "irrespirable es algo que se nota a distancia y que, lógicamente, repercute negativamente en la salud de los trabajadores. Lo mismo sucede cuando una persona no se siente realizada en su trabajo, se le encomiendan labores que están por debajo de sus capacidades o se le acosa", comenta Santiago Alvarez de Mon, profesor del IESE (Escuela de Dirección de Empresas de la Universidad de Navarra) en el Departamento de Dirección de Personas en la Organización.
Iñaki Piñuel Zabala, profesor titular de Organización y Recursos Humanos de la Universidad de Alcalá de Henares (Madrid) y socio de la consultora Mobbing Research, aclara que detrás de este mal clima laboral se esconden los que denominados "jefes tóxicos".
Este pionero en la investigación y difusión del acoso laboral en España declara que los datos del último informe Cisneros establecen "que el 36% de los trabajadores haría examinar a su jefe por un psicólogo. En nuestro país está muy extendido el concepto de que ser jefe es un arte que se tiene o no se tiene, pero en realidad es una tecnología que se aprende. Los jefes tóxicos son los que generan precisamente eso, un clima tóxico. No toman decisiones, lo que favorece que muchos empleados se aprovechen de esta situación y se genere por ello un caldo de cultivo que deteriora la salud de los otros empleados".
Tal vez por este motivo las conclusiones del nuevo estudio determinan "que es extremadamente importante que la función de los superiores sea evaluada y que se promocione a aquéllos con una conducta más ejemplar en todos los ambientes laborales", añade el trabajo.
Más salud y más productividad
El psicólogo estadounidense Kenneth Nowack, presidente del Consorcio Envisia, que lleva 20 años desarrollando sistemas para la evaluación de los empleados, y uno de los mayores expertos mundiales en inteligencia emocional, también se muestra de acuerdo con los datos del nuevo estudio. "Este metaánalisis proporciona la confirmación de que los líderes intervienen en los niveles de estrés, en el síndrome de Burnout (profesional quemado), la ansiedad, la salud psicológica y el bienestar físico que padecen sus trabajadores", afirma a elmundo.es.
Todos estos factores negativos tienen "un coste para las compañías en gastos médicos, accidentes, problemas de seguridad, estado de ánimo de los empleados o, incluso, desperdicio de talento", subraya el doctor Nowack.
Este especialista recuerda que sus estudios han constatado que "los trabajadores a las órdenes de los líderes más inteligentes emocionalmente son más productivos, efectivos y gozan de mejor salud que aquéllos cuyos supervisores son mediocres. Estos últimos líderes pueden provocar desde estrés laboral en sus empleados hasta aumentar su riesgo de hipertensión y ataques al corazón", puntualiza.
El estrés laboral se ha convertido en un factor de riesgo psicosocial que sólo en la Unión Europea afecta a 41 millones de empleados. Al otro lado del Atlántico, los expertos en salud mental aseguran que se ha producido un incremento de los casos de esta dolencia este año, según señala 'The Wall Street Journal'. De hecho, la Asociación de Asistencia Profesional al Empleado de EEUU afirma que las peticiones de los trabajadores para participar en programas de ayuda para problemas mentales o personales han aumentado un 10%.
Un reciente estudio llevado a cabo por la Organización Gallup, que lleva más de 70 años investigando el comportamiento humano y es una de las firmas más reconocidas en sondeos de opinión y consultoría, determina que los grupos de trabajo mal dirigidos son un 50% menos productivos y un 44% menos rentables para sus empresas. Además, esta entidad subraya que los "malos" jefes hacen perder talentos para las compañías.
No sólo eso. Hacia ellos apunta además la mayor parte de la responsabilidad de otro factor de riesgo psicosocial reconocido en los últimos 25 años: El "mobbing" o acoso psicológico en el trabajo. Según datos de la Asociación Nacional de Entidades Preventivas Acreditadas (ANEPA), afecta ya al 10% de los trabajadores y trabajadoras nacionales.
Elmundo.es salud
martes, 16 de septiembre de 2008
***Angustiados por el 'e-mail' : El correo electrónico ayuda en el trabajo, pero...***
***El correo electrónico ayuda en el trabajo, pero es imposible mantenerlo a raya - Su gestión al minuto no evita que cada vez exija más tiempo :
El trabajador se deja en el correo electrónico una hora de su jornada. Y dos, y tres. El empresario dice que baja la productividad; el currante, que se agobia. La Facultad de Psiquiatría de Londres habla de "infomanía" y algunos psiquiatras norteamericanos piden que los síntomas se incluyan en el diccionario de enfermedades mentales. El e-mail ha pasado de ahorrar tarea a estresar al personal. Quizás también ha llegado el momento de saber organizarse el correo.
Ni en vacaciones se descansa. El 83% de los internautas norteamericanos lo chequea diariamente, y también el español va consultando su correo en días de fiesta gracias al portátil o al móvil, con la vana esperanza de adelantar trabajo.
"Es un nuevo hábito que está provocando lo contrario de lo que se pretende", cuenta Luis Gallardo, director mundial de Comunicación de la consultora Deloitte, que emplea a más de 165.000 personas en oficinas de 142 países. Él sufre como pocos el abuso del e-mail en el trabajo.
"Estamos viendo", añade Gallardo, "que con móviles como la Blackberry los empleados empiezan a sacarse correo de encima durante el fin de semana para llegar el lunes al despacho con el buzón limpio; pero ese comportamiento también lo repite el otro y el otro y el otro, y al final se crea más tráfico, y cuando no lo había, en los días de fiesta".
El mero envío de un chistecillo con copia general y la simple respuesta ("¡Qué bueno!") pone a prueba el servicio de correo, al margen de la distracción del personal y la pérdida de tiempo. Gallardo, y cualquier empresa, tiene un problema. "La media son 200 correos diarios por persona y día. Basta multiplicar por los empleados y por los días de trabajo para hacerse cargo de las dimensiones que puede llegar a tener este problema".
El profesor británico Cary Cooper cree que el e-mail es una de las causas principales del estrés en el trabajo. Cooper, especializado en salud laboral, asegura que por ese motivo los británicos faltan a la oficina 14 millones de días al año.
Deloitte se enfrentó al reto. Durante cuatro miércoles, sus empleados en Londres no se enviaban mensajes internos. "El objetivo era concienciarnos de la situación", recuerda Luis Gallardo.
Cuatro miércoles después, Deloitte revocó la medida. "El objetivo se había cumplido. Adoptamos normas de comportamiento y pequeñas mejoras. Creamos una ventanilla en el correo que, antes de enviarlo, te pregunta: '¿Estás seguro de que quieres hacer un correo múltiple?'. Porque muchas veces no eres consciente".
A causa de las decenas de miles de millones de e-mails que circulan por el mundo (sin contar la basura), el trabajador no da pie con bola. Al menos el británico. Ésa fue la conclusión de las investigadoras Karen Renaud, de la Universidad de Glasgow, y la psicóloga Judith Ramsay, de la Universidad de Paisley. El pasado año se dedicaron a espiar el comportamiento de 200 trabajadores delante del ordenador. Un tercio chequeó el correo cada 15 minutos, y el 64% más de una vez a la hora. El 33% confesó que se siente estresado por la cantidad de correos y la necesidad de contestarlos.
"El e-mail es la herramienta que ahora nos provoca más problemas en nuestro trabajo", concluyó Renaud. "Es una vía de comunicación increíble, pero se nos ha ido de las manos". Un sorprendente 38% que confesó trabajar relajadamente, esperaba un día o más para contestar los mensajes.
El problema va a más en el mundo y, concretamente, en España. No hay que menospreciar el creciente aumento del uso del e-mail y la mensajería instantánea en el ordenador de la oficina y en el teléfono móvil. España sólo tiene al 40% de la población conectada a Internet, y en muchas pymes el correo aún no es una herramienta de trabajo común. Baste recordar que en Estados Unidos el 60% de la población es internauta.
Todos los estudios concluyen en que la gente dedica más de una hora de su tiempo laboral al e-mail. La consultora estadounidense ePolicy Institute sube hasta dos horas. "Hemos asesorado a empresas de telecomunicaciones y bancos, que usan Internet en un promedio medio-alto, y pueden llegar a dedicar tres horas del día al correo", dice el venezolano Juan Carlos Jiménez, autor del libro El e-mail en el trabajo. Manual de supervivencia.
"Hace dos semanas di una conferencia ante 120 altos ejecutivos de un importante banco en Venezuela", recuerda Jiménez. "Les pregunté cuántos no sentían estrés con la gerencia del e-mail. Sólo uno respondió que no".
Otro estudio de Digital Life America descubrió que los propietarios de móviles con correo, como la popular Blackberry, se sentían más encadenados al trabajo y que trabajaban más horas que los que no tenían un móvil de estas características.
Quizás la adicción no es al correo electrónico, sino a estar siempre, en cualquier parte, conectado. Sin embargo, ésa es una sensación que sólo sienten los mayores; para los menores de 25 años, el always on (el siempre conectados) es algo natural y el e-mail un engorro. Prefieren la mensajería móvil.
La invención del correo electrónico ha sido, sin duda, la mejor herramienta laboral de la última década. Reduce el número de reuniones y llamadas telefónicas, deja constatación escrita de las decisiones, facilita la comunicación entre personas en diferentes husos horarios, elimina papeleo y es tan fácil de mandar...
"Nadie duda de que ha mejorado la productividad laboral, especialmente cuando se está viajando, pero cuando se llega a la cumbre luego sólo se puede bajar", puntualiza Gallardo. "En estos momentos, el e-mail ha dejado de ser la herramienta más efectiva de comunicación laboral", zanja Gallardo. "¿Lo mejor? Communication mix, elegir el canal adecuado de comunicación según cada situación y persona".
Una cosa es la creciente dedicación laboral al correo electrónico y otra que cree absentismo. Los sindicatos CC OO y UGT no tienen noticias de ello, pero llegarán. La patronal CEOE no registra un descenso de la productividad por culpa del e-mail, pero algo habrá. El estudio Sobrecarga informativa: conocimos al enemigo y somos nosotros, de la consultora norteamericana Basex, con 22 años de experiencia en el ámbito laboral, señala que un trabajador en Estados Unidos es interrumpido 11 veces por hora. Pero aquí entran también las llamadas telefónicas y las distracciones de los compañeros. Demasiadas ocasiones para la desconcentración.
La nada sospechosa de tecnofobia Cisco Systems (monta redes de telecomunicaciones) demostró en 2006 que un trabajador puede tardar el cuádruple en atender por e-mail asuntos que se podían resolver con una simple llamada telefónica.
"Hemos pasado de la economía del lenguaje, resolver las cosas con las mínimas palabras, a la economía de la silla, resolverlas sin movernos de la mesa", dice Gallardo.
El directivo de una multinacional como Deloitte también sufre la incomunicación que provocan mensajes escritos en, la mayoría de las veces, un mal inglés o un inglés limitado por empleados de 142 países diferentes. "Al final, muchas veces hay que llamarse por teléfono para concretar y aclarar lo que nos estábamos escribiendo por e-mail".
Chequear el correo no es sólo -tranquilos, responsables de recursos humanos- asunto laboral. El 53% de los internautas norteamericanos lo mira desde la cama, un 37% en el baño, el 12% en la iglesia, el 43% al levantarse y un 40%, en mitad de la noche. De todos ellos, sólo un 15% se consideró adicto.
Sin embargo, la Facultad de Psiquiatría de la Universidad de Londres ha acuñado el término "infomanía" para referirse a las personas adictas al e-mail, los chats y los SMS, tres medios de comunicación ligados a las nuevas tecnologías.
En marzo, la revista de la asociación estadounidense de psiquiatras pedía en su editorial que los síntomas de las adicciones a Internet se incluyeran oficialmente en el Manual de Diagnósticos y Estadísticas de Desórdenes Mentales. Entre esos síntomas figuraba el e-mail, pero después de otras adicciones internautas: el videojuego y el sexo virtual.
Por eso, el psiquiatra Alberto Seoane no reconoce la adicción exclusiva al e-mail. Especializado en desórdenes como ludopatías, alcoholismo o la drogadicción, Seoane no cree en el adicto al correo. "Las adicciones están muy ligadas a la inmediatez de respuesta; comprar hoy lotería para la Navidad no produce adicción; jugar al tragaperras, sí. Las cosas que tardan no enganchan, ni sufres ni te dan placer".
A Seoane le preocupa más el SMS de los móviles. "El correo electrónico es más farragoso, más lento, lo consultas en la oficina y luego en casa; aunque con la proliferación de los móviles 3G todo puede cambiar".
La solución pasa por la educación. Las escuelas coreanas han comenzado a impartir cursos de prevención de males de Internet. Pero hay otros remedios. El venezolano Juan Carlos Jiménez también opta por las clases, aunque en el puesto del trabajo, porque se trata de solucionar la adicción a la mensajería.
"Así como desarrollaron conciencia ambientalista y conciencia social del negocio, las empresas necesitan desarrollar conciencia profesional sobre el uso del e-mail", dice Jiménez.
"De lo contrario, las bondades y beneficios de este medio de comunicación continuarán deteriorándose por los efectos del volumen irracional e indiscriminado de mensajes que circulan en la Red. Es sólo cuestión de tiempo".
Jiménez sugiere que las empresas implanten "planes específicos de entrenamiento y asesoría sobre la comunicación escrita a través del correo electrónico, dirigidos a todos sus empleados. Y también necesitan establecer normas escritas comprensibles sobre el uso corporativo del correo electrónico, que orienten positivamente a los empleados sobre las buenas prácticas que se esperan de ellos".
El director mundial de comunicación de Deloitte también aboga por los cursillos en la empresa. "¿No hay cursos de yoga? Pues con más razón unos cursillos de gestión y administración del e-mail. Hoy el problema es pequeño para el que será mañana".
EL PAIS
*Consejos para no enloquecer : Lien ci-dessus!
El trabajador se deja en el correo electrónico una hora de su jornada. Y dos, y tres. El empresario dice que baja la productividad; el currante, que se agobia. La Facultad de Psiquiatría de Londres habla de "infomanía" y algunos psiquiatras norteamericanos piden que los síntomas se incluyan en el diccionario de enfermedades mentales. El e-mail ha pasado de ahorrar tarea a estresar al personal. Quizás también ha llegado el momento de saber organizarse el correo.
Ni en vacaciones se descansa. El 83% de los internautas norteamericanos lo chequea diariamente, y también el español va consultando su correo en días de fiesta gracias al portátil o al móvil, con la vana esperanza de adelantar trabajo.
"Es un nuevo hábito que está provocando lo contrario de lo que se pretende", cuenta Luis Gallardo, director mundial de Comunicación de la consultora Deloitte, que emplea a más de 165.000 personas en oficinas de 142 países. Él sufre como pocos el abuso del e-mail en el trabajo.
"Estamos viendo", añade Gallardo, "que con móviles como la Blackberry los empleados empiezan a sacarse correo de encima durante el fin de semana para llegar el lunes al despacho con el buzón limpio; pero ese comportamiento también lo repite el otro y el otro y el otro, y al final se crea más tráfico, y cuando no lo había, en los días de fiesta".
El mero envío de un chistecillo con copia general y la simple respuesta ("¡Qué bueno!") pone a prueba el servicio de correo, al margen de la distracción del personal y la pérdida de tiempo. Gallardo, y cualquier empresa, tiene un problema. "La media son 200 correos diarios por persona y día. Basta multiplicar por los empleados y por los días de trabajo para hacerse cargo de las dimensiones que puede llegar a tener este problema".
El profesor británico Cary Cooper cree que el e-mail es una de las causas principales del estrés en el trabajo. Cooper, especializado en salud laboral, asegura que por ese motivo los británicos faltan a la oficina 14 millones de días al año.
Deloitte se enfrentó al reto. Durante cuatro miércoles, sus empleados en Londres no se enviaban mensajes internos. "El objetivo era concienciarnos de la situación", recuerda Luis Gallardo.
Cuatro miércoles después, Deloitte revocó la medida. "El objetivo se había cumplido. Adoptamos normas de comportamiento y pequeñas mejoras. Creamos una ventanilla en el correo que, antes de enviarlo, te pregunta: '¿Estás seguro de que quieres hacer un correo múltiple?'. Porque muchas veces no eres consciente".
A causa de las decenas de miles de millones de e-mails que circulan por el mundo (sin contar la basura), el trabajador no da pie con bola. Al menos el británico. Ésa fue la conclusión de las investigadoras Karen Renaud, de la Universidad de Glasgow, y la psicóloga Judith Ramsay, de la Universidad de Paisley. El pasado año se dedicaron a espiar el comportamiento de 200 trabajadores delante del ordenador. Un tercio chequeó el correo cada 15 minutos, y el 64% más de una vez a la hora. El 33% confesó que se siente estresado por la cantidad de correos y la necesidad de contestarlos.
"El e-mail es la herramienta que ahora nos provoca más problemas en nuestro trabajo", concluyó Renaud. "Es una vía de comunicación increíble, pero se nos ha ido de las manos". Un sorprendente 38% que confesó trabajar relajadamente, esperaba un día o más para contestar los mensajes.
El problema va a más en el mundo y, concretamente, en España. No hay que menospreciar el creciente aumento del uso del e-mail y la mensajería instantánea en el ordenador de la oficina y en el teléfono móvil. España sólo tiene al 40% de la población conectada a Internet, y en muchas pymes el correo aún no es una herramienta de trabajo común. Baste recordar que en Estados Unidos el 60% de la población es internauta.
Todos los estudios concluyen en que la gente dedica más de una hora de su tiempo laboral al e-mail. La consultora estadounidense ePolicy Institute sube hasta dos horas. "Hemos asesorado a empresas de telecomunicaciones y bancos, que usan Internet en un promedio medio-alto, y pueden llegar a dedicar tres horas del día al correo", dice el venezolano Juan Carlos Jiménez, autor del libro El e-mail en el trabajo. Manual de supervivencia.
"Hace dos semanas di una conferencia ante 120 altos ejecutivos de un importante banco en Venezuela", recuerda Jiménez. "Les pregunté cuántos no sentían estrés con la gerencia del e-mail. Sólo uno respondió que no".
Otro estudio de Digital Life America descubrió que los propietarios de móviles con correo, como la popular Blackberry, se sentían más encadenados al trabajo y que trabajaban más horas que los que no tenían un móvil de estas características.
Quizás la adicción no es al correo electrónico, sino a estar siempre, en cualquier parte, conectado. Sin embargo, ésa es una sensación que sólo sienten los mayores; para los menores de 25 años, el always on (el siempre conectados) es algo natural y el e-mail un engorro. Prefieren la mensajería móvil.
La invención del correo electrónico ha sido, sin duda, la mejor herramienta laboral de la última década. Reduce el número de reuniones y llamadas telefónicas, deja constatación escrita de las decisiones, facilita la comunicación entre personas en diferentes husos horarios, elimina papeleo y es tan fácil de mandar...
"Nadie duda de que ha mejorado la productividad laboral, especialmente cuando se está viajando, pero cuando se llega a la cumbre luego sólo se puede bajar", puntualiza Gallardo. "En estos momentos, el e-mail ha dejado de ser la herramienta más efectiva de comunicación laboral", zanja Gallardo. "¿Lo mejor? Communication mix, elegir el canal adecuado de comunicación según cada situación y persona".
Una cosa es la creciente dedicación laboral al correo electrónico y otra que cree absentismo. Los sindicatos CC OO y UGT no tienen noticias de ello, pero llegarán. La patronal CEOE no registra un descenso de la productividad por culpa del e-mail, pero algo habrá. El estudio Sobrecarga informativa: conocimos al enemigo y somos nosotros, de la consultora norteamericana Basex, con 22 años de experiencia en el ámbito laboral, señala que un trabajador en Estados Unidos es interrumpido 11 veces por hora. Pero aquí entran también las llamadas telefónicas y las distracciones de los compañeros. Demasiadas ocasiones para la desconcentración.
La nada sospechosa de tecnofobia Cisco Systems (monta redes de telecomunicaciones) demostró en 2006 que un trabajador puede tardar el cuádruple en atender por e-mail asuntos que se podían resolver con una simple llamada telefónica.
"Hemos pasado de la economía del lenguaje, resolver las cosas con las mínimas palabras, a la economía de la silla, resolverlas sin movernos de la mesa", dice Gallardo.
El directivo de una multinacional como Deloitte también sufre la incomunicación que provocan mensajes escritos en, la mayoría de las veces, un mal inglés o un inglés limitado por empleados de 142 países diferentes. "Al final, muchas veces hay que llamarse por teléfono para concretar y aclarar lo que nos estábamos escribiendo por e-mail".
Chequear el correo no es sólo -tranquilos, responsables de recursos humanos- asunto laboral. El 53% de los internautas norteamericanos lo mira desde la cama, un 37% en el baño, el 12% en la iglesia, el 43% al levantarse y un 40%, en mitad de la noche. De todos ellos, sólo un 15% se consideró adicto.
Sin embargo, la Facultad de Psiquiatría de la Universidad de Londres ha acuñado el término "infomanía" para referirse a las personas adictas al e-mail, los chats y los SMS, tres medios de comunicación ligados a las nuevas tecnologías.
En marzo, la revista de la asociación estadounidense de psiquiatras pedía en su editorial que los síntomas de las adicciones a Internet se incluyeran oficialmente en el Manual de Diagnósticos y Estadísticas de Desórdenes Mentales. Entre esos síntomas figuraba el e-mail, pero después de otras adicciones internautas: el videojuego y el sexo virtual.
Por eso, el psiquiatra Alberto Seoane no reconoce la adicción exclusiva al e-mail. Especializado en desórdenes como ludopatías, alcoholismo o la drogadicción, Seoane no cree en el adicto al correo. "Las adicciones están muy ligadas a la inmediatez de respuesta; comprar hoy lotería para la Navidad no produce adicción; jugar al tragaperras, sí. Las cosas que tardan no enganchan, ni sufres ni te dan placer".
A Seoane le preocupa más el SMS de los móviles. "El correo electrónico es más farragoso, más lento, lo consultas en la oficina y luego en casa; aunque con la proliferación de los móviles 3G todo puede cambiar".
La solución pasa por la educación. Las escuelas coreanas han comenzado a impartir cursos de prevención de males de Internet. Pero hay otros remedios. El venezolano Juan Carlos Jiménez también opta por las clases, aunque en el puesto del trabajo, porque se trata de solucionar la adicción a la mensajería.
"Así como desarrollaron conciencia ambientalista y conciencia social del negocio, las empresas necesitan desarrollar conciencia profesional sobre el uso del e-mail", dice Jiménez.
"De lo contrario, las bondades y beneficios de este medio de comunicación continuarán deteriorándose por los efectos del volumen irracional e indiscriminado de mensajes que circulan en la Red. Es sólo cuestión de tiempo".
Jiménez sugiere que las empresas implanten "planes específicos de entrenamiento y asesoría sobre la comunicación escrita a través del correo electrónico, dirigidos a todos sus empleados. Y también necesitan establecer normas escritas comprensibles sobre el uso corporativo del correo electrónico, que orienten positivamente a los empleados sobre las buenas prácticas que se esperan de ellos".
El director mundial de comunicación de Deloitte también aboga por los cursillos en la empresa. "¿No hay cursos de yoga? Pues con más razón unos cursillos de gestión y administración del e-mail. Hoy el problema es pequeño para el que será mañana".
EL PAIS
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