«Think Tank» Europe-Mexique.

«Think Tank» Europe-Mexique.
*2008 Création, par Morgane BRAVO France Alumni 🇲🇽🇫🇷(IIAP/ENA), President I Founder of «Think Tank» Europe-Mexico. (Binational) *Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... 2002 en France, Candidate (Titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16ème arrondissement. « Euroblogger » UE, Commission Européenne, Conseil Européen, Parlement Européen, Conseil de l'Europe, CoR, EuroPcom... *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

jueves, 28 de enero de 2010

***EE.UU. : Estado de la Unión...***



El presidente Obama habla del espíritu y el optimismo estadounidenses para enfrentar los desafíos. 27 de enero



El presidente Obama habla de los retos para reducir el déficit y crear un presupuesto saludable para el país. Informe de CNN



El presidente Obama habla de las guerras y las amenazas del terrorismo. Informe de CNN. 27 de enero.



La respuesta Republicana tras el discurso del presidente Obama.

Bien à vous,

Morgane BRAVO

jueves, 21 de enero de 2010

*Charest demande conseil pour une «prospérité durable»*Québec

***Jean Charest demande aux décideurs économiques et financiers de répondre à une série de questions sur des enjeux déterminants pour le Québec, comme le vieillissement de la population. Le premier ministre veut aussi des conseils pour engager le Québec sur «la voie d'une prospérité durable» dans les années à venir. Il propose par exemple que le Québec se donne comme objectif de devenir «la première société en Amérique du Nord à électrifier son parc automobile et ses transports publics».

Hier soir à Lévis, Jean Charest a donné le coup d'envoi de sa «rencontre économique» devant une centaine d'invités, surtout des gens d'affaires, mais aussi des maires et des chefs syndicaux.

Dans son discours de 50 minutes, le seul événement de la soirée, M.Charest leur a demandé de répondre à «deux questions principales» au cours des ateliers qui se tiendront aujourd'hui.

«À court terme, quels gestes doivent être posés pour que le Québec profite pleinement de la reprise? a-t-il affirmé. Et à moyen terme, comment pouvons-nous placer le Québec sur la voie d'une prospérité durable pour les 10 ou 20 prochaines années?» Le premier ministre a sa propre idée sur le sujet. «On pourrait se donner comme objectif de devenir la première société en Amérique du Nord à électrifier son parc automobile et ses transports publics», a-t-il dit.

Profiter de la reprise

Selon Jean Charest, le Québec traverse la crise économique «avec succès», notamment parce que le gouvernement a écouté les conseils des décideurs financiers et économiques. «Aujourd'hui, je refais appel à vous pour engager fermement le Québec dans la reprise», a-t-il lancé.

Jean Charest a rappelé que le Québec fait face à «des défis qu'il nous faudra maîtriser», comme le vieillissement de la population qui est plus préoccupant qu'ailleurs. Il demande à ses invités de lui proposer des mesures afin d'«encourager les travailleurs de plus de 55 ans à rester au travail s'ils en ont encore envie». Il est également à la recherche de moyens pour «attirer des travailleurs qualifiés, autant des titulaires de professions que des gens de métier».

Pour lutter contre le décrochage scolaire, M. Charest demande aux participants de lui suggérer des «gestes afin de mieux arrimer nos programmes de formation générale, de formation professionnelle et de formation technique aux besoins du marché du travail».

Le premier ministre veut profiter de la reprise pour «créer plus de richesse». «Quels sont les domaines sur lesquels nous devons miser pour assurer la prospérité du Québec et de toutes ses régions?» a-t-il demandé aux participants.

Comme prévu, Jean Charest a effleuré la question des finances publiques. Le gouvernement devra prendre des «décisions difficiles» dans le but de retrouver l'équilibre budgétaire, a-t-il prévenu. Mais ces décisions ne doivent pas devenir les «problèmes de demain». Dans le passé, «des décisions qui ont pu entraîner des économies à court terme ont entraîné des problèmes graves à moyen terme. Nous sommes ensemble pour éviter la répétition de ce scénario», a-t-il affirmé dans une allusion aux mises à pied de médecins et d'infirmières du gouvernement Bouchard pour atteindre le déficit zéro.

Pour le ministre des Finances Raymond Bachand, les occasions où les grands spécialistes économiques, les milieux financiers et les centrales syndicales se retrouvent pour discuter d'économie sont rarissimes. «Ces gens-là ne sont jamais tous ensemble. C'est aujourd'hui pour la première fois», a-t-il dit.

Selon Claudette Carbonneau, «on pourra mesurer le sérieux de l'exercices'il y a un comité de suivi après. Autrement c'est parle, parle, jase, jase». Pour elle, ce n'est pas l'endroit de discuter de finances publiques. «Ce débat est pertinent mais ce n'est pas toute la société qui est représentée ici.»

Le président de la CSQ, Réjean Parent, estime que la rencontre économique n'est qu'un «exercice de distraction» auquel il participe seulement «par politesse» et parce que sa centrale est membre de la Commission des partenaires du marché du travail.

Le président de BMO, Jacques Ménard, considère plutôt que l'exercice est «stimulant» et «nécessaire» si l'on veut une «vision commune du développement à long terme». Le président de la Caisse de dépôt, Michael Sabia, juge que «ce forum est une très bonne occasion de discuter» et «d'échanger des idées» en vue de profiter de la reprise économique.

Une centaine de membres de la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics - issus du Front commun des assistés sociaux et de la Fédération des femmes par exemple - ont manifesté à l'extérieur du centre des congrès de Lévis.

Et la santé ?

La rencontre convoquée par le gouvernement Charest reste un «exercice de futurologie proche du surréalisme», a estimé le président de la Fédération des médecins spécialistes, Gaétan Barrette. «C'est pour le moins ordinaire que le secteur de la santé ne soit pas représenté à cette rencontre.» La Fédération a demandé une place, «mais on nous a poliment fait savoir qu'on n'était pas attendus», a-t-il dit. Il a du mal à comprendre que la santé, qui représente la moitié des dépenses du gouvernement, ne soit pas à l'ordre du jour. «La santé est un mégasecteur générateur d'emplois, un moteur économique. On considère la santé comme une dépense, un problème, et non comme un acteur important de la société. C'est insultant!» a-t-il insisté.

Tommy Chouinard et Denis Lessard
La Presse

martes, 12 de enero de 2010

*Embajadores...México*

***Palabras del Presidente Calderón en la XXI Reunión de Embajadores y Cónsules de México.



Bien à vous,

Morgane BRAVO

*El Secretario de gobernación a favor de una revolución pacífica y democrática*

***El Secretario de Gobernación, Fernando Gómez Mont, hizo un llamado para que el 2010 sea el año de una revolución pacífica y democrática a través de la reforma política.

*OCDE : Proceso Presupuestario en México*

domingo, 10 de enero de 2010

*Mexique: coopération frontalière avec Obama "sans précédent" (ambassadeur)*

***La coopération instaurée entre Mexico et l'administration américaine du président Barack Obama dans la lutte contre les différents trafics à la frontière entre les deux pays est "sans précédent", a déclaré vendredi l'ambassadeur du Mexique aux Etats-Unis, Arturo Sarukhan.
Il est important de poursuivre dans la voie de "cette coopération sans précédent qui s'est forgée avec l'administration du président Obama", a-t-il déclaré lors d'une réunion des ambassadeurs et consuls mexicains, dans la capitale.

L'Initiative de Merida", plan anti-drogue régional préparé en 2007 et voté en 2008 par le Congrès des Etats-Unis, prévoyait à l'origine une aide de 1,6 milliard de dollars en trois ans à la région, dont 1,4 milliard au Mexique et le reste à l'Amérique centrale et aux Caraïbes. L'enveloppe totale a été ramenée depuis à 1,3 milliard.

La fin 2009 a vu "l'affectation totale et complète par l'administration Obama des ressources demandées par l'administration Bush dans le cadre de l'Initiative de Merida pour soutenir le Mexique", a indiqué l'ambassadeur Sarukhan.

"A la suite des demandes mexicaines d'augmentation des moyens et des effectifs pour freiner le trafic d'armes et d'argent liquide à la frontière américano-mexicaine, nous avons commencé à voir des résultats importants dans la capacité des Etats-Unis à ralentir ces flux", a-t-il poursuivi.

Mexico a longtemps demandé à Washington de ne pas limiter les contrôles frontaliers au trafic de drogue à destination des Etats-Unis, mais de les renforcer sur le passage d'armes et de dollars depuis le territoire américain et à destination des cartels de la drogue mexicains.

Au Mexique, les affrontements entre les cartels pour le contrôle du trafic de drogue et l'approvisionnement du marché américain ont fait plus de 15.000 morts depuis décembre 2006, à l'entrée en fonctions du président Felipe Calderon, qui a déclaré la guerre aux trafiquants avec l'aide des Etats-Unis, et a déployé contre eux quelque 50.000 militaires en renfort de la police.

"On arrive maintenant à un stade d'évaluation et de discussion sur les étapes à venir dans la coopération bilatérale entre le Mexique et les Etats-Unis, qui ne se limite plus à l'initiative de Merida, qu'on l'appelle Merida 2 ou qu'on lui donne un autre nom", a encore déclaré M. Sarukhan.

Par ailleurs, le Mexique espère toujours des Etats-Unis une réforme de leur politique d'immigration, suggérée par M. Obama à son Congrès, a-t-il mentionné.

On évalue à 12 millions le nombre de travailleurs étrangers en situation irrégulière aux Etats-Unis. La communauté mexicaine y est estimée également à 12 millions de personnes, dont 6 millions de clandestins.

"Le Mexique va continuer à travailler à faire reconnaître les apports des immigrants mexicains aux Etats-Unis à la vitalité économique, sociale et ethnique de cette nation", a conclu M. Sarukhan.

Le Monde
09.01.10