«Think Tank» Europe-Mexique.

«Think Tank» Europe-Mexique.
*2008 Création, par Morgane BRAVO France Alumni 🇲🇽🇫🇷(IIAP/ENA), President I Founder of «Think Tank» Europe-Mexico. (Binational) *Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... 2002 en France, Candidate (Titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16ème arrondissement. « Euroblogger » UE, Commission Européenne, Conseil Européen, Parlement Européen, Conseil de l'Europe, CoR, EuroPcom... *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

viernes, 30 de julio de 2010

*Dans l'Obs: la prisonnière du Mexique par Florence Aubenas*






Dans l'Obs: la prisonnière du Mexique par Florence Aubenas

Florence Aubenas est partie au Mexique pour comprendre comment l'affaire Florence Cassez, simple fait divers au départ va devenir une affaire politique, puis se muer en affaire d'Etat. Elle a refait l'itinéraire de Florence Cassez, emprisonnée au Mexique depuis cinq ans, venue chercher la réussite dans un pays où la misère et les enlèvements sont une réalité quotidienne.



***A SUIVRE...!



Bien à vous,
Morgane BRAVO

lunes, 26 de julio de 2010

*INDEPENDENCIA Y REVOLUCIÓN SON DE LOS MEXICANOS*

***El Presidente Felipe Calderón Hinojosa inauguró la Expo Guanajuato Bicentenario, en Silao, y llamó a los mexicanos a festejar, unidos, el Año de la Patria, porque la Independencia y la Revolución son de todos, sin distingos.

“Nos debe unir nuestra historia. Nos debe unir nuestro Bicentenario y nuestro Centenario, que no son patrimonio ni de grupos ni de parcialidades, sino patrimonio de todas y de todos los mexicanos.          Independencia y Revolución son de todos. Independencia y Revolución son nuestros, de todos los mexicanos, sin distingos, y así deben ser”, expresó.

Acompañado por el Gobernador de Guanajuato, Juan Manuel Oliva Ramírez; la Secretaria de Turismo, Gloria Guevara Manzo; el Secretario de Educación Pública, Alonso Lujambio Irazábal, y el Coordinador Ejecutivo Nacional para las Conmemoraciones del Bicentenario del Inicio de la Independencia y el Centenario de la Revolución Mexicana, el Presidente Calderón agregó:

“Por eso, yo invito a que nos unamos en esta celebración. A que la discutamos, sí, pero que estemos unidos como mexicanos, celebrando con orgullo lo que hicieron nuestros ancestros, y soñando y dialogando cómo construir el futuro que legar a los que vienen detrás de nosotros. Cómo hacer ese México libre, seguro, justo, democrático y limpio”.

Señaló que porque somos un país libre, si a Hidalgo o a Morelos les tocó conquistar esa libertad y pagar nuestra libertad con su vida y ese fue el deber de la generación de la Independencia, el deber, el derecho de la generación del Bicentenario es defender esa libertad, preservarla, ampliarla, enriquecerla, ejercerla.

Destacó que “en México se expresan todas las voces, todas las ideas, las más diversas, que integran el mosaico poderoso del pluralismo mexicano, un pluralismo que nos enriquece y nos fortalece; un pluralismo que nos permite externar puntos de vista, que desde luego, nos distinguen unos a otros, que nos separan y que, por supuesto, nos controvierten; porque, precisamente, la riqueza de la libertad estriba en poder expresar puntos diferentes y aún contrarios, y en ellos encontrar la verdad”.

Dijo que el pluralismo y la libertad nos permiten expresar las cosas que nos separan, pero también nos permiten reconocer y vivir las cosas que nos unen, que son mucho más que las que nos separan. “Temas y cuestiones que están por encima de cualquier diferencia de género, de grupo, de religión o de partido político; temas que nos unen, deben unirnos y que están y deben estar más allá de nuestras naturales diferencias personales o partidistas”, indicó.

Enseguida, el Titular del Ejecutivo Federal explicó que “una de ellas, por ejemplo, para mí claramente, es el cómo enfrentar los grandes desafíos de nuestro presente. Uno de ellos y quizá el más grande ahora: el desafío de la seguridad pública”.
  • Llama a los mexicanos a festejar unidos el Año de la Patria
  • La solución a desafíos como la seguridad pública debe estar por encima de ideologías e intereses de coyuntura, destaca
  • Inaugura en Silao la Expo Guanajuato Bicentenario



Y por ello, afirmó “que la solución de éste y otros desafíos debe estar por encima de ideologías y de intereses de coyuntura, así sean legítimos; que debe estar por encima de partidos y de credos, y que debe transformarse en política no sólo de un Gobierno y no sólo de un Presidente, sino política pública, política de Estado, que sólo podrá construirse, no sólo en el ejercicio libre de las ideas, sino también en el ejercicio de las comunes responsabilidades”.

También, continuó, “el desafío de erradicar de manera definitiva la pobreza, que sí se puede, y en lo cual podemos y debemos estar empeñados todos; y el desafío de erradicar la ignorancia; y el desafío de abrir oportunidades para todos; y el de tener un México distinto y mejor”.

Al respecto, el Presidente Felipe Calderón consideró que “somos, en el Bicentenario de nuestra Independencia, una Nación democrática en la que existe libertad de opinar y disentir; libertad de organizarse para luchar por las ideas, para elegir a nuestros gobernantes”.

Finalmente, recordó que “tenemos un sistema de pesos y contrapesos que equilibra el ejercicio del poder público, y que es el antídoto contra el autoritarismo. Los conflictos deben solucionarse por las vías institucionales con las que contamos y con apego a las reglas democráticas”.



Silao, Guanajuato


PRESIDENCIA DE LA REPÚBLICA

Bien à vous,
Morgane BRAVO







***LE MEXIQUE & LA FRANCE***



***Les relations bilatérales entre la France et le Mexique sont anciennes et dynamiques. Au moment où les autorités mexicaines manifestent une volonté d’ouverture à de nouveaux interlocuteurs sur le plan international et multilatéral, la France constitue un partenaire privilégié pour la diplomatie mexicaine.
En juin 2007, les deux chefs d’État se sont accordés pour constater que la relation bilatérale n’était pas à la hauteur du statut des deux pays sur la scène internationale. Ils ont alors décidé la création d’un Groupe de haut niveau (GHNFM), composé de quinze personnalités françaises et mexicaines, hommes d’affaires de premier plan ou intellectuels éminents. Il est chargé de donner une nouvelle impulsion à la relation bilatérale, notamment dans le domaine économique. La visite d’État du président Sarkozy à Mexico le 9 mars 2009 a confirmé l’importance de cette relation. À cette occasion, le GHNFM a présenté un Plan d’action concret et précis, afin d’intensifier les échanges et les investissements entre nos deux pays. Dix-huit accords et déclarations ont également été conclus, illustrant nos convergences sur l’ensemble des grands dossiers internationaux (réforme de la gouvernance mondiale, changement climatique, crise financière et économique) et le dynamisme de la coopération franco-mexicaine dans des secteurs-clé (sécurité, santé, recherche, éducation, formation, environnement durable). L’année 2011 devrait être consacrée Année du Mexique en France, et permettre de faire découvrir à la société française la réalité mexicaine dans toute sa richesse et sa diversité.
Dans les enceintes multilatérales, le Mexique est, parmi les grands émergents, celui dont les vues sur les grandes questions internationales sont les plus proches des nôtres. Membre de l’OCDE, il participe aux travaux du G20 et est membre non-permanent du Conseil de sécurité des Nations unies pour le biennum 2009-2010. Dans le domaine de la lutte contre le réchauffement climatique, la France soutient la proposition mexicaine de constitution d’un « Fonds vert » auquel tous les États seraient invités à participer en fonction de leurs ressources. Au sein du Conseil des droits de l’Homme (CDH), le Mexique apporte fréquemment son soutien aux positions européennes. Le groupe de réflexion sur le fonctionnement du CDH, qui réunit une quinzaine d’États représentant les différents groupes régionaux, est le fruit d’une initiative franco-mexicaine lancée lors de la visite du président au Mexique.



Politique extérieure


Traditionnellement, le Mexique était un pays dont la politique étrangère veillait jalousement au respect des principes de souveraineté des États et de non-ingérence. Avec l’élection de candidats du PAN, lors des présidentielles de 2000 et 2006, cette attitude a évolué. Les autorités de Mexico veulent aujourd’hui être davantage présentes sur la scène internationale et refusent de se laisser enfermer dans un tête-à-tête exclusif avec Washington.
Le Mexique est présent sur la scène internationale. Dixième contributeur au budget des Nations unies, membre non-permanent du Conseil de sécurité des Nations unies à deux reprises en moins de dix ans (2002-2003 et 2009-2010), il poursuit une politique d’équilibre et de pont, d’une part entre l’Amérique du Nord et l’Amérique latine, d’autre part entre les pays développés et les pays émergents. Bien disposé vis-à-vis de l’Europe, membre de l’OCDE et du G20, le Mexique souhaite participer de façon active aux groupes de réflexion les plus importants sur le plan mondial (nouvelle architecture financière internationale, changement climatique et proposition d’un Fonds vert, initiative franco-mexicaine en vue de l’examen du fonctionnement du Comité des droits de l’Homme, migrations, désarmement...).
La proximité du Mexique vis-à-vis des États-Unis est un fait incontournable (80% des exportations, forte communauté d’origine mexicaine). Les autorités mexicaines s’efforcent de faire évoluer la relation « vitale » avec les États-Unis vers une relation plus équilibrée reposant sur quelques axes principaux : en matière de sécurité, renforcement de la coopération (reconnaissance par les États-Unis d’une certaine forme de coresponsabilité en matière de criminalité organisée), en ce qui concerne la question migratoire, recherche d’une « solution intégrale », et sur le plan économique, développement d’une approche régionale de la compétitivité.
Le président Calderon a manifesté son ambition d’œuvrer pour que le Mexique soitplus actif en Amérique centrale et, au-delà, dans le reste de l’Amérique latine. Sur le plan bilatéral, cela s’est traduit par le renforcement des relations avec la Colombie, ainsi qu’avec le Chili et l’Argentine (établissements de partenariats stratégiques), et par la normalisation des relations avec Cuba.
Sur le plan régional, le Mexique s’est efforcé de retrouver un rôle d’acteur indispensable des processus globaux de concertation et de développement en Amérique latine. Il a souhaité consolider sa relation avec ses voisins du Sud à travers un certain nombre d’initiatives comme le « plan méso-américain » (initiative mexicaine résultant de la transformation du Plan Puebla-Panama qui vise à stimuler la coopération avec l’Amérique centrale dans les domaines des transports, des communications et de l’énergie), et le projet de création d’une véritable organisation des États latino-américains et des Caraïbes (CELC, initiative lancée par le Mexique dans le cadre du Groupe de Rioen 2010).
Avec l’Europe, les affinités sont réelles. Le Partenariat stratégique entre le Mexique et l’Union européenne (UE) a été officiellement lancé par le Conseil européen le 14 octobre 2008, sous PFUE (présidence française de l’Union européenne). Il fait du Mexique le seul pays émergent bénéficiant à la fois d’un accord d’association et d’un accord de partenariat stratégique avec l’Union européenne. Ce Partenariat doit maintenant être mis en œuvre et transcrit dans les faits. Son objectif est de stimuler la coopération entre le Mexique et l’UE sur les grands sujets d’intérêt commun, tant au niveau bilatéral (UE/Mexique) que dans les enceintes internationales. Dans le cadre de ce partenariat, le Mexique et l’Union européenne renforcent leur coordination sur des sujets tels que la lutte contre le changement climatique, la défense des droits de l’Homme, les migrations ou les questions de sécurité et de lutte contre les trafics... Certes des divergences ont pu apparaître ponctuellement, mais le Mexique a un rôle important à jouer vis-à-vis de ses partenaires du GRULAC (Groupe des pays d’Amérique latine et des Caraïbes) et, au-delà, des pays émergents.
LA SUITE :
Bien à vous,
Morgane BRAVO

*La France et le Mexique : « 2011 Année du Mexique en France » *

***Le 2e Comité mixte d’organisation de l’Année du Mexique en France s’est tenu à Paris le 6 juillet 2010. Cette réunion s’est tenue sous l’égide de Jean Paul Herteman, président de l’Année du Mexique en France et du groupe Safran, et de Miguel Aleman Velasco, président de l’Année du Mexique en France et du groupe Aerolineas Interjet.
Chacune des délégations étaient respectivement dirigée par César Moheno et par Jean-Jacques Beaussou, commissaires mexicain et français de cette année du Mexique en France.
Ce 2e Comité mixte d’organisation de l’Année du Mexique en France a examiné, secteur par secteur, l’état d’avancement de la programmation : expositions, littérature, cinéma, arts du spectacle, évènements dans les domaines de l’éducation de la science ainsi que dans les échanges universitaires, dimension technologique et économique. Les deux délégations ont adopté une nouvelle série de projets, défini les temps forts de l’année du Mexique en France et élaboré les grands axes d’une communication qui mettra en évidence non seulement la diversité et la richesse culturelle du Mexique, mais aussi sa créativité et son dynamisme.
Dans cette perspective, l’accent a été mis sur la participation des villes et des régions françaises à l’année du Mexique en France et sur le désir commun de mener des actions en faveur de la jeunesse des deux pays, par une bonne utilisation des supports numériques et une présence du Mexique dans les secteurs éducatif et universitaire.
Ministère des affaires étrangères et européennes
Bien à vous,
Morgane BRAVO



*LES FRANÇAIS AU MEXIQUE : « La présence française actuelle »*


***Tout français ayant foulé au moins une fois le sol mexicain vous le dira, ce qui choque à l’arrivée est de constater que beaucoup de ses compatriotes ont eux aussi eu l’idée de voyager ou de s’installer au Mexique. Qu’en-est-il vraiment ? Serions-nous les victimes d’un effet d’optique, d’hallucinations auditives ou d’un instinct grégaire trompeur ?

Entrée du métro Bellas Artes à Mexico par l’artiste français Hector Guimard, offerte à la ville par la France en 1998 en échange d’une fresque Huichol (qui se trouve désormais dans la station Palais Royal-Musée du Louvre du métro parisien).

Les Français sont-ils partout?
Avec 16.048 Français et Françaises enregistrés au consulat de France et une estimation de 30.000 ressortissants français au total dans le pays, la communauté française n’est néanmoins que la quatrième communauté étrangère du Mexique, après les communautés américaine, espagnole et libanaise. Le taux de fréquentation du pays par les touristes français était en constante augmentation entre 2005 et 2009 mais il s’est vu largement ralenti au moment de l’épidémie de grippe A. Si les chiffres de 2010 annoncent un retour à la normal, les touristes en provenance de France ne représentent toutefois pas plus de 1% de tous les touristes visitant le territoire mexicain. Ce sentiment d’une présence massive des Français au Mexique s’expliquerait donc plutôt par leur concentration: les nouveaux expatriés, essentiellement des cadres des secteurs tertiaire et industriel et leurs familles, vivent dans leur grande majorité dans la capitale ou dans ses environs ainsi qu’à Guadalajara. Les descendants d’immigrés quant à eux, soit les 2/3 de la communauté, sont répartis sur le territoire en fonction des vagues d’immigration et dynamiques d’implantation de leurs ancêtres, intervenues entre le milieu du XIXème siècle et celui du XXème.

Une forte visibilité culturelle
Ainsi, si les Français ne sont pas non plus légions, l’ancienneté de leur présence ainsi que le dynamisme culturel de la communauté contribuent à les rendre particulièrement visibles. Outre les alliances françaises ou “la casa de Francia“ qui sont de bons moteurs culturels dans le pays et la capitale, les associations françaises promouvant le patrimoine français et les liens avec l’hexagone sont nombreuses: depuis l’Association des Professeurs et Chercheurs Français du Mexique, en passant par l’improbable Institut Napoléonien Mexique-France, le prestigieux Club France ou encore, plus au nord, l’association Franco Guaymense, les canaux de diffusion de la culture française sont nombreux. Sans compter la vigueur des échanges universitaires, facilités par des bourses et programmes efficaces, et de nombreux partenariats entre les écoles et universités françaises et mexicaines.

Des échanges économiques foisonnants
Cette imprégnation culturelle est aussi grandement favorisée par les investissements et échanges économiques entre la France et le Mexique: on dénombre plus de 400 entreprises mexicaines créées par des français et 360 filiales de groupes français dans le pays (selon le site Empresas francesas en mexico, où il est possible d’en trouver la liste par secteur ou ordre alphabétique). De plus, on estime aujourd’hui à un millier le nombre d’entreprises tenues par des Français au Mexique, depuis la brasserie, en passant par l’épicerie fine, le salon de beauté et l’usine de pièces automobiles. Une centaine d’unités de production appartiendraient à des Français, recouvrant approximativement 80.000 emplois. La part de marché française au Mexique serait donc de 1%, chiffre amené à augmenter à court terme.

***LES FRANÇAIS AU MEXIQUE : Le laboratoire de recherche “México-Francia” à Puebla :
http://www.lepetitjournal.com/communaute-mexico/61724-communaute.html


Magdalena Le Prévost
lepetitjournal.com - Mexico

Bien à vous,
Morgane BRAVO

domingo, 25 de julio de 2010

*Mexico, oasis « gay » : dans un pays aussi catholique que « macho »*



Mexico voudrait devenir capitale du tourisme "gay", et l'a fait savoir spectaculairement en offrant son voyage de noces au premier couple homosexuel argentin qui profitera de la toute récente autorisation légale votée dans son pays.
Deux mariages entre hommes ont déjà été célébrés en Argentine, mais grâce à une décision de justice et non pas au nom de la loi, qui précisait que le mariage est contracté "entre un homme et une femme".
En ce domaine, la ville de Mexico a innové, d'abord en légalisant le mariage homosexuel en décembre 2009, puis en célébrant en mars de cette année les premiers mariages "légaux", dont l'un entre deux femmes, une "première" latino-américaine.
Ces initiatives de Marcelo Ebrard, à la tête de la municipalité de gauche de la capitale, ont été violemment dénoncées par l'Eglise, dans un pays ancré dans la religion catholique, mais aussi par le président de la République en personne, Felipe Calderon, et d'autres dignitaires de son parti conservateur.
La justice a été saisie de recours en annulation de la fameuse loi, mais sans y donner suite jusqu'ici.
Mexico est attaquée officiellement au nom de la religion, mais elle est également en butte aux insultes et sarcasmes homophobes, certes classiques mais particulièrement virulents dans un pays de tradition particulièrement "macho": "l'homosexualité n'est pas de mise sous un sombrero et derrière de grosses moustaches", commente un "homo anonyme", comme il se présente à l'AFP.
Mexico persiste et signe. Avec l'invitation aux "gays" argentins, et son "Office du tourisme lesbiano-gay", inaugurée cette semaine.
La capitale "a tout pour se profiler comme la première destination +gay friendly+ (amie des "gay") d'Amérique latine", a déclaré son ministre du Tourisme, Alejandro Rojas.
Il est animé par un "esprit d'ouverture et de tolérance", professe-t-il, sans négliger l'intérêt économique de la ville: les touristes homosexuels "dépensent en moyenne 47% de plus qu'un touriste conventionnel", souligne-t-il.
Au coeur de la "Zone rose", le quartier quasi-réservé de la communauté "gay" dans la mégapole de 20 millions d'habitants, Tito Vasconcelos, acteur et propriétaire d'une chaîne de boîtes de nuit, applaudit. Mais tempère en soulignant un "manque de concordance entre les discours et la réalité".
Il a participé en 1978 à la première sortie publique de la communauté homosexuelle à Mexico, quand quelques-uns de ses représentants ont rejoint une manifestation d'étudiants. En juin dernier, la "Gay pride" a rassemblé plus de 400.000 personnes dans la capitale.
"Il y a eu beaucoup d'avancées sur la question des différences sexuelles, mais tout ne se règle pas par décret. Il manque bien des choses, et par exemple la formation de ceux qui rendent la justice", estime-t-il.
"Certes, il est devenu habituel de voir des personnes du même sexe se tenir par la main, ou se donnant des marques d'affection en public, mais nombre d'administrateurs de la justice ne savent que faire quand un +gay+ est agressé", souligne-t-il.
Dario T. Pie relativise, tout en se maquillant avant de monter en scène sous les traits de la célèbre actrice mexicaine Maria Felix: "Nous avons souffert des attaques des conservateurs, mais avec d'énormes bénéfices, car lorsqu'on interdit, quand on censure, les spectateurs se précipitent pour voir le spectacle maudit".
Ricardo Bucio, du Conseil national de prévention contre la discrimination (Conapred), annonce toutefois des chiffres inquiétants: 645 meurtres homophobes au Mexique depuis 1995. Le plus récent, celui d'une militante transsexuelle, début juillet.


Bien à vous,
Morgane BRAVO



*Conferencia de los Subsecretarios de Gobierno*



Conferencia de prensa de los Subsecretarios de Gobierno, Roberto Gil, y de Normatividad de Medios, Héctor Villarreal. El Gobierno de la República rechaza que el Presidente hubiere violado la Constitución o la Ley Electoral cuando explicó a los ciudadanos las circunstancias de un tema que preocupa a toda la sociedad.

Gobierno Federal Presidencia México Felipe Calderón



Bien à vous,


Morgane BRAVO

*Participación en la Conferencia de Jefes de Estado y de Gobierno Africanos sobre Cambio Climático*



Kampala, Uganda.- Durante su participación en la Conferencia de Jefes de Estado y de Gobierno Africanos sobre Cambio Climático, el Presidente Felipe Calderón Hinojosa destacó que sólo con la unión de todos los pueblos podrá combatirse al enemigo común, que es el cambio climático.

"Juntos lo podemos lograr. Pero sin la unidad de propósito y de unidad de acción, fracasaremos; además, la falta de acuerdo será, como siempre, contra los pueblos y los países más pobres", enfatizó.



Bien à vous,


Morgane BRAVO

*Ceremonia de Graduación de la Escuela Superior de Guerra*




Viernes 23 de Julio de 2010, Ciudad de México.- Discurso del Presidente Calderón, durante el evento de Graduación de la Escuela Superior de Guerra, que se llevó a cabo en la Escuela Superior de Guerra, de la Colonia San Jerónimo.

Gobierno Federal Presidencia México Felipe Calderón Hinojosa

Bien à vous,

Morgane BRAVO

viernes, 23 de julio de 2010

*Communauté européenne et le Mexique : « Accord global de coopération CE-Mexique » *

Cet accord définit les éléments essentiels des relations bilatérales entre la Communauté européenne et le Mexique. Ainsi, il institutionnalise le dialogue politique, renforce les relations économiques et commerciales en établissant une zone de libre échanges des biens et services. L’accord est basé sur le respect des droits de l’homme et de la démocratie.

SYNTHÈSE

Cet accord, signé en décembre 1997 et entré en vigueur en novembre 2000, fait référence à plusieurs domaines.


Le premier est le dialogue politique que l’accord institutionnalise. Celui-ci doit couvrir toutes les matières d’intérêt commun pour déboucher sur une consultation plus étroite au sein des organisations internationales. Dans l’acte final, en annexe, se trouve la « déclaration commune relative au dialogue politique entre l’Union européenne (UE) et le Mexique » qui régit ce dialogue.
Le commerce fait aussi partie intégrante de l’accord. Le texte établit l’objectif de favoriser son développement ainsi qu’une libéralisation bilatérale et préférentielle, progressive et réciproque. Le conseil conjoint établit par l’accord décide les modalités et le calendrier pour la réduction des obstacles tarifaires et non tarifaires au commerce des biens ainsi que les modalités de la libéralisation du commerce des services. Les décisions du conseil conjoint dans ce domaine entrent en vigueur dès qu’elles sont adoptées.

En ce qui concerne les mouvements de capitaux et les paiements, le but est d’encourager leur libéralisation progressive et réciproque. Ainsi, le conseil conjoint doit prendre des décisions sur sa définition, son contenu et sa portée, ainsi que sur des clauses autorisant de possibles restrictions justifiées.

Un autre titre s’occupe de:
  • marchés publics. Les parties conviennent de les ouvrir progressivement sous le contrôle du conseil conjoint;
  • la concurrence. Les parties doivent prendre des mesures appropriées pour en prévenir les distorsions ou les restrictions au sein du conseil conjoint. Des mécanismes de coopération et de coordination sont établis pour faciliter l’assistance technique, les consultations et les échanges d’information;
  • la propriété intellectuelle, industrielle et commerciale. Des mesures appropriées doivent être prises pour garantir une protection suffisante et effective.
Dans le domaine de la coopération proprement dite, plusieurs champs sont visés. Un dialogue régulier sur la coopération et les questions économiques est instauré. Pour la coopération industrielle, le but est de promouvoir une gestion dynamique, intégrée et décentralisée avec le renforcement des contacts, du dialogue et la promotion des projets pilotes.

Les échanges d’informations ainsi que les actions de formation sont les actions clés de la coopération dans les domaines des mines, de l’énergie, des transports et du tourisme. Dans tous ces cas, le but est principalement le développement de ces secteurs.

Dans le cadre des services financiers, l’objectif de la coopération est d’encourager une productivité et une compétitivité plus grande et plus diversifiée. En ce qui concerne la société de l’information, la coopération se focalise sur le dialogue, les échanges d’informations, la diffusion des nouvelles technologies, l’accès réciproque aux bases des données, l’interconnexion et l’interopérabilité des réseaux et services télématiques ainsi que la promotion des projets conjoints de recherche et des projets pilotes.

La coopération dans les domaines agricole, agro-industriel et rural s’inscrit également dans un souci commercial. En vue de faciliter les échanges commerciaux, les parties étudient la façon d’harmoniser les règles et les normes sanitaires, phytosanitaires et environnementales. Les échanges d’informations et la réalisation des actions et des projets sont également souhaités.

Un autre domaine de coopération est la lutte contre les stupéfiants, le blanchiment d’argent et les précurseurs chimiques. Les parties doivent mettre en œuvre des programmes et des mesures de prévention de la toxicomanie, des projets de recherche ainsi que des échanges d’informations.

Le dialogue est fondamental en ce qui concerne les affaires sociales et la pauvreté. Les parties conviennent qu’il importe d’harmoniser le développement économique et social respectant les droits fondamentaux, spécialement des groupes les plus vulnérables. Les droits de l’homme et la démocratie sont également des domaines de coopération prévus. La coopération se concentre sur le développement de la société civile, les mesures de formation et d’information, et la promotion des droits de l’homme et des valeurs démocratiques.

Dans le domaine de la santé, la coopération doit renforcer les activités menées dans le domaine de la recherche, de la pharmacologie, de la médecine préventive et des maladies contagieuses.
Les échanges intrarégionaux sont souhaités dans la coopération régionale, notamment avec l’Amérique centrale et les Caraïbes.

D’autres domaines de coopération énoncés font référence à la promotion des investissements, à la coopération en matière de petites et moyennes entreprises, aux réglementations techniques et évaluation de la conformité, à la coopération dans le domaine statistique, à l’administration publique, à la coopération culturelle, dans le secteur audiovisuel, en matière d’information et de communication, en matière de protection des données, en ce qui concerne les réfugiés ou dans le domaine de la protection des consommateurs, entre autres.

La possibilité de conclure des accords sectoriels dans le cadre de la coopération est explicitement mentionnée pour certaines matières telles que la coopération scientifique et technique, en matière de formation et d’éducation, en matière d’environnement et de gestion des ressources naturelles ainsi que dans le domaine de la pêche. Pour les douanes, il existe la possibilité de conclure un protocole sur l’assistance mutuelle dans cette matière. Le but de la coopération dans ce domaine est de garantir la loyauté des échanges commerciaux à travers un cadre juridique amélioré et consolidé, des échanges d’informations, la mise au point des techniques de formation et de coordination, la simplification des procédures ainsi que des échanges de fonctionnaires.

Cadre institutionnel
L’accord institue un conseil conjoint en charge de la supervision de sa mise en œuvre. Composé des membres du Conseil de l’Union européenne, de la Commission européenne et du gouvernement mexicain, il se réunit régulièrement au niveau ministériel. Présidé alternativement par un membre du Conseil de l’UE ou du gouvernement mexicain, il prend des décisions dans les cas prévus par l’accord. Il est assisté par un comité conjoint et peut décider d’instituer d’autres comités ou organes spéciaux qu’il considère nécessaires.






Document de stratégie 2007-2013 pour le Mexique (pdf )

Europa
UE



Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Visita del Presidente del Banco Mundial Robert Zoellick...Mexico*


Nuestro país suscribió con ese organismo préstamos por USD 800 millones. Estos recursos contribuirán al fortalecimiento de programas prioritarios en los sectores sociales, hídricos, medio ambiente, vivienda y transporte urbano, entre otros. De esta forma el Banco Mundial respalda las medidas de política económica adoptadas por la Administración del Presidente Felipe Caderón.

Gobierno Federal Presidencia México Felipe Calderón

Bien à vous,

Morgane BRAVO


*Le MEXIQUE & L’OCDE*



En signant la convention relative à l’Organisation de coopération et de développement économiques le 18 mai 1994, le Mexique rejoignait l’OCDE et s’engageait à tout mettre en oeuvre pour atteindre ses objectifs fondamentaux


Quel rôle joue la délégation ?

Comme chacun des 31 pays membres actuels, le gouvernement mexicain dispose d’une représentation permanente auprès de l’OCDE, composée d’un ambassadeur et de diplomates. En tant que membre du Conseil, l’ambassadeur du Mexique, en concertation avec ses pairs, approuve le programme de travail et détermine le volume du budget annuel, les contributions étant établies en fonction du  poids économique de chaque pays. 
Par ailleurs, les membres de la délégation mexicaine suivent le travail des différents comités de l’OCDE ainsi que les activités de l’agence pour l’énergie nucléaire (AEN), le Forum international des transports (FIT) et le centre de développement, dont le Mexique est membre.
Enfin, les délégations jouent un rôle essentiel de communication entre le Secrétariat de l’OCDE et les autorités nationales. Elles représentent la position de leur gouvernement lors des négociations multilatérales, indiquent les domaines pour lesquels leur gouvernement sollicite l’expertise de l’OCDE et s’efforcent de donner un écho aux recommandations de l’OCDE dans leur pays. Elles sont ainsi garantes de la bonne adéquation entre le travail de l’OCDE et les problématiques nationales.

Quels sont les bénéfices d’une appartenance à l’OCDE ?Les bénéfices pour les pays sont multiples. L’OCDE – par ses études par pays et la production régulière de données statistiques et économiques comparatives -- fournit aux états membres un  précieux outil d’analyse et de suivi de leur politique économique, sociale ou environnementale. Les pays bénéficient également de l’expertise unique accumulée à l’OCDE, notamment l’examen par les pairs, et d’un accès à l’ensemble des travaux de recherche et d’analyse effectués par le Secrétariat. Couvrant la totalité du champ économique et social, ces travaux ne pourraient être menés par un seul pays.

Au-delà de l’activité de veille économique, l’OCDE constitue avant tout un forum d’échanges où comparer les expériences nationales, identifier des bonnes pratiques et trouver des réponses à des problèmes communs devient possible. L’OCDE ayant à ce jour des relations de travail avec plus de 70 économies non membres, l’appartenance à l’Organisation permet donc aussi à chaque pays, dans un contexte d’interdépendance accrue exigeant des solutions globales, de tirer profit du dialogue et de la concertation avec l’ensemble des acteurs de la scène mondiale.

Enfin, le 
centre de Mexico constitue un atout supplémentaire pour le Mexique. Point de contact régional de l'OCDE, son rôle en matière de communication est primordial puisqu’il peut s’adresser de manière ciblée à l’ensemble des composantes de la société, bien souvent dans leur propre langue.

English :