«Think Tank» Europe-Mexique.

«Think Tank» Europe-Mexique.
*2008 Création, par Morgane BRAVO France Alumni 🇲🇽🇫🇷(IIAP/ENA), President I Founder of «Think Tank» Europe-Mexico. (Binational) *Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... 2002 en France, Candidate (Titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16ème arrondissement. « Euroblogger » UE, Commission Européenne, Conseil Européen, Parlement Européen, Conseil de l'Europe, CoR, EuroPcom... *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

martes, 28 de julio de 2015

*Visite d'Etat en France : Président du Mexique* 2

Visite d'Etat en France de M. Enrique Peña Nieto, président des Etats-Unis du Mexique. 2
(13-16 juillet 2015)
Le Mexique, invité d’honneur au défilé du 14 juillet 2015. 

La relación Mexico-Francia 
se sustenta en amistad de cerca de 200 años.

Marseille : 
tapis rouge pour le président du Mexique.

 @EPN 


@EPN @fhollande 

Ceremonia de Develación de Placas de la Plaza

Jean-Claude Gaudin, sénateur des Bouches-du-Rhône &
Maire de Marseille.

Timbre

Visites de l'usine Airbus Helicopters et du voilier-école Cuauhtémoc étaient au programme du déplacement à Marseille à l'occasion de la visite d'État du président du Mexique.



Les deux chefs d'Etat ont répondu ensemble aux questions de la presse.

Participation de Laurent Fabius au Forum Economique Franco-Mexicain au MEDEF.


Crédit Photos©Morgane BRAVO 

Président du MEDEF, ouvre devant 300 personnes : 
Discours prononcé par Laurent Fabius à l’occasion du forum économique franco-mexicain.
Paris, le 16 juillet 2015
"Monsieur le Président du Mexique,
Monsieur le Président du MEDEF,
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs, Chers Amis mexicains et français,
Aujourd’hui, nous tenons ce forum économique franco-mexicain, et je remercie beaucoup le MEDEF de nous accueillir. Ce forum se tient à l’occasion de la visite d’État du président Peña Nieto, invité d’honneur de notre Fête Nationale. Votre présence ces derniers jours, Monsieur le Président, nous honore grandement et j’espère que vous avez été satisfait du séjour que vous avez commencé ici et je sais que la suite de votre programme ce matin, cet après-midi et ce soir, où nous aurons l’occasion de nous rencontrer à l’Élysée, sera de la même qualité que le début de votre voyage qui, je le répète, nous honore.
J’ai à l’esprit une autre visite que j’avais faite le 14 juillet, il y a deux ans. Mon collègue et ami chargé des affaires étrangères se le rappelle ainsi que votre excellent ambassadeur ; nous avions évoqué les grands axes de notre partenariat, conformément à l’impulsion que vous avez donnée dès votre élection avec le président François Hollande.
Nous sommes deux ans après, je sais que vous êtes un homme pragmatique, réaliste, concret et, donc, je voudrais profiter de notre réunion pour essayer de dresser un rapide bilan et surtout de me tourner vers l’avenir. Lors de la visite du président Hollande à Mexico, en avril 2014, nous avions lancé un partenariat stratégique entre nos deux pays et nous nous étions dit « il ne faut pas que cela soit un partenariat simplement théorique, il faut qu’il ait une traduction concrète sur le plan des échanges économiques, et c’est l’objet de notre réunion ce matin où je me permets d’intervenir puisque je m’occupe à la fois des affaires étrangères, du commerce extérieur et du tourisme.
Comme l’a excellemment rappelé le président Gattaz, les fondements de notre relation économique sont solides. Le Mexique et la France sont économiquement complémentaires et nos échanges commerciaux ont augmenté de 16 % par an en moyenne sur les 5 dernières années pour atteindre plus de 4 milliards d’euros en 2014. Cette tendance s’est accentuée au cours des premiers mois de 2015 - et dans les secteurs qui connaissent un dynamisme particulier, je citerais, sans être exhaustif, l’énergie, l’aéronautique, la santé et l’agroalimentaire, comme en témoignent le rapprochement entre Pemex et Total - dont le président directeur général est ici -, ou la décision de Sanofi Pasteur et Birmex d’augmenter la production du vaccin contre la grippe.
Grâce à cette dynamique, la part du Mexique dans le total des échanges français avec l’Amérique latine a augmenté de façon spectaculaire : l’an dernier, le Mexique représentait plus de 20% de nos échanges avec ce continent, contre 14 % en 2010. Cette dynamique va se poursuivre grâce aux réformes structurelles que vous avez lancées, Monsieur le Président, notamment dans l’énergie et les télécommunications, qui ont pour but de dynamiser l’économie mexicaine et d’offrir des opportunités de coopérations nouvelles que nos entreprises sont prêtes à saisir. L’actualisation de l’accord de 1997 de libre-échange entre l’Union européenne et le Mexique, que la France appuie fortement, contribuera à cette dynamique.
Si nous voulons aller encore plus loin - et nous le voulons -, nous pouvons compter notamment sur l’appui du Conseil stratégique franco-mexicain (CSFM), mis en place par nos deux présidents, et qui se réunira cet après-midi à l’Élysée. Au cours des deux dernières années, ce Conseil stratégique a beaucoup travaillé et je veux en féliciter les membres et les présidents parce que, dans le domaine de l’aéronautique, de l’énergie, de la sécurité et de la défense, du tourisme ou de la ville durable, c’est vraiment un travail remarquable qui a été fait.
L’évolution de nos échanges économiques est donc très positive, mais - parce qu’il y a un « mais » - nous pouvons et nous devons encore faire mieux, en exploitant davantage les gisements de croissance de notre relation. J’en vois, pour ma part, cinq.
Premièrement, il faut que nous donnions à notre partenariat stratégique une traduction encore plus concrète par des coopérations industrielles et technologiques structurantes : je pense aux équipements de sécurité et de défense, au spatial, à l’énergie nucléaire, aux télécommunications - en particulier Internet et la cybersécurité, mais aussi l’industrie numérique, comme les « supercalculateurs » et le « big data ». Entre deux grands pays amis attachés à leur autonomie stratégique et technologique, le potentiel de coopération est immense. Et reconnaissons que, sur ce plan, comme j’ai appris des formules propres au quai d’Orsay, il y a encore des marges de progression.
Deuxièmement, nous devons relever le défi de l’innovation, à travers nos PME et nos ETI innovantes qui - soyons là encore très lucides - n’échangent pas encore suffisamment. Je me réjouis à cet égard de la signature, dans quelques minutes, d’une coopération entre Business France et son homologue mexicain ProMéxico. Grâce aux partenariats qui vont être lancés entre BPI-France et des acteurs publics et privés du financement de l’innovation au Mexique, nous disposerons d’un ensemble complet d’instruments au service des PME innovantes de nos deux pays. En parallèle, nous nous efforçons de lier innovation, recherche, et formation professionnelle, avec par exemple récemment les premières « Assises franco-mexicaines de la santé » et les projets de création de centres de formation technologique au Mexique.
Troisièmement, la croissance verte. Nous nous approchons de la COP21, et je veux vous remercier, Monsieur le Président, des mots que vous avez prononcés hier lorsque vous avez dit, confirmé que la France était côte à côte avec le Mexique, le Mexique côte à côte avec la France pour la préparation de la COP21. Le Mexique est très engagé sur ces questions, vous êtes parmi les premiers pays à avoir publié votre INDC. La lutte contre le dérèglement climatique est un impératif mais aussi une opportunité de croissance, que les entreprises mexicaines et françaises doivent saisir ensemble. Vous avez une grande expertise, nous-mêmes nous n’en manquons pas dans le domaine de l’eau, des transports urbains, de l’énergie de l. La ville durable. Et il faut donc que nous travaillons ensemble et le projet pilote de Campeche, de ce point de vue-là, qui bénéficie du soutien des deux pays, est extrêmement intéressant.
Quatrièmement, autre secteur où nos deux pays possèdent, comme disent les économistes, un avantage comparatif immense : c’est le tourisme. Vous savez que nous sommes modestes, comme vous, et donc nous pouvons dire en toute modestie que le Mexique et la France sont parmi les deux plus beaux pays du monde... La coopération se développe avec la mise en place prochaine d’un « visa vacances/travail ». Il faut aussi que les liaisons aériennes accompagnent le flux croissant de voyageurs. À cet égard, l’accord des autorités mexicaines pour la desserte Paris-Mexico par Air France en A380, à partir de fin 2015, est une excellente nouvelle.
Enfin, un dernier mot sur les investissements croisés qui ne sont pas au niveau auquel ils pourraient être. Pour les investissements français, les choses évoluent dans la bonne direction avec 550 entreprises françaises implantées au Mexique, qui y emploient 110.000 personnes. Dans l’autre sens, nous pensons - je sais que c’est votre avis aussi - que nous pouvons faire nettement mieux : seules trois entreprises mexicaines sont implantées en France - Cemex, Sigma et Mexichem. Nous devons donc attirer plus d’investisseurs mexicains, ce qui dépend en partie bien sûr de nous mais ce qui est aussi l’intérêt de nos collègues et de nos amis mexicains. À nous de leur présenter des opportunités concrètes d’investissements. Dans cet esprit, Monsieur le Président, la décision a été prise d’une équipe dédiée à la promotion de la destination France auprès des investisseurs mexicains prochainement créée au sein de l’agence de Business France au Mexique. J’invite nos amis mexicains à examiner très concrètement les opportunités d’investissement en France. Nous les accompagnerons dans leur démarche de prospection et de réalisation de l’investissement.
Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs,
Je termine : j’ai insisté sur nos liens économiques, car c’est l’objet de notre réunion. Mais, nous le savons, nous le sentons, cela est confirmé, la relation franco-mexicaine, depuis maintenant deux cents ans, c’est aussi, et je dirais d’abord, une affaire de coeur. Sans doute, personne ne l’avait mieux exprimé, il y a un demi-siècle, que le général de Gaulle, avec sa formule demeurée célèbre : « Marchemos mano en la mano ». Puisque nous sommes quelques décennies plus tard, j’ajouterais « trabajemos mano en la mano ». C’est dans cet esprit que la France propose aujourd’hui au Mexique de poursuivre et d’amplifier notre ce partenariat et de le traduire par des coopérations stratégiques concrètes dans tous les domaines d’excellence de nos deux pays.
Monsieur le Président Peña Nieto, vous êtes ici chez vous, en France."
Président Enrique Peña Nieto.
Morgane BRAVO, CEO BAW & Présidente et Fondatrice du
Think Tank" Europe-Mexique.


     

       Deuxième rapport du Conseil stratégique franco-mexicain
Espace de dialogue entre les deux pays, le Conseil stratégique franco-mexicain dresse dans ce rapport un bilan des mesures engagées à la suite du premier rapport rendu un an auparavant.Celles-ci ont pour l’immense majorité d’entre elles franchi une nouvelle étape : les coopérations en matière aéronautique et énergétique, la désignation de Campeche pour un travail conjoint sur la ville durable, le lancement d’une exposition sur le Mexique contemporain au Grand Palais en 2016, la construction d’un espace mexicain sur les berges de la Seine.
Le Conseil s’est également attaché à dégager de nouvelles initiatives fortes, principalement en matière spatiale, touristique, d’investissements, de sécurité et de supercalcul. Sa composition a évolué en conséquence pour assurer une dynamique sur ces nouveaux sujets.
Il est apparu clairement que le Conseil s’inscrivait dans un contexte favorable, marqué par une séquence historique de réformes à Mexico et par les visites croisées des deux présidents de la République. Le CSFM va désormais suivre la déclinaison de ses nouvelles propositions.


Declaración conjunta 
de los presidentes Hollande y Peña Nieto.
En el marco de la Visita de Estado que llevó a cabo el Presidente Enrique Peña Nieto a Francia se firmaron 70 acuerdos para la cooperación en distintos ámbitos. Los acuerdos para la cooperación en el ámbito educativo permitirán un mayor intercambio académico entre estudiantes de los dos países y una mayor cooperación entre instituciones de educación superior.Con los acuerdos en materia de salud se logró la preparación en México de una vacuna contra el dengue y la capacitación a personal médico, particularmente en trasplantes de riñón.En el ámbito económico se fomentarán las inversiones recíprocas, se apoyarán a las pequeñas y medianas empresas para que se expandan y se internacionalicen.Los lazos de amistad entre Francia y México se ven fortalecidos con esta Visita de Estado; además los acuerdos alcanzados permitirán mejores condiciones para ambas sociedades.

Visite d'Etat en France :  Président du Mexique* 1
LINK http://mexicoworldwide.blogspot.fr/2015/07/declaracion-conjunta-de-los-presidentes_24.html
*A SUIVRE...!*

@Morgane Bravo
Présidente et Fondatrice
du
Think Tank" Europe-Mexique, 
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lunes, 27 de julio de 2015

*Visite d'Etat en France : Président du Mexique* 3

Visite d'Etat en France de M. Enrique Peña Nieto, président des Etats-Unis du Mexique. 3
(13-16 juillet 2015)
Il s’agit de la première visite d’État d’un président mexicain depuis 18 ans.
Le Mexique, invité d’honneur au défilé du 14 juillet 2015. 

2ème Forum Franco-Mexicain pour la recherche et l’innovation.

L'année 2014 a été marquée par le développement des relations franco-mexicaines dans les domaines de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation dans le cadre de la visite du Président de la République à Mexico en avril et de la venue du Directeur général du CONACYT à Paris en juin.
Des axes de travail ont été identifiés pour approfondir notre coopération bilatérale à travers notamment la définition de nouvelles orientations scientifiques, le développement des flux de mobilité entre nos pays particulièrement au niveau posgrado (master-doctorat) et la recherche de synergies approfondies entre les acteurs de la recherche et les entreprises.
La visite d'Etat du Président Peña Nieto en France en juillet 2015 constitue une occasion de présenter et de valoriser ces actions à travers l'organisation du Forum, deux ans après le premier Forum de la recherche et de l'innovation organisé à Mexico en juin 2013. Cette deuxième édition favorisera les échanges entre acteurs français et mexicains tout au long du Forum ainsi qu'à l'occasion d'une séquence spécifiquement dédiée aux rencontres croisées.
OBJECTIFS:
- Développer la coopération franco-mexicaine autour de priorités partagées dans une perspective d'intégration des enjeux de formation, de recherche et d'innovation à travers la recherche de synergies avec les acteurs industriels.
- Présentation d'une feuille de route permettant d'approfondir notre coopération bilatérale dans les domaines prioritaires


El año 2014 se caracterizó por el fortalecimiento de las relaciones franco-mexicanas en los campos de la enseñanza superior, la investigación y la innovación en el marco de la visita del Presidente de la República de Francia à la Ciudad de México en abril y de la presencia en París del Director General de CONACYT en junio.
Se identificaron ejes de trabajo para profundizar nuestra cooperación bilateral a travésde la definición de nuevas orientaciones científicas, del desarrollo de flujos de movilidad entre nuestros países, , en particular, a nivel de posgrado (maestría-doctorado), y mediante la búsqueda de mayores sinergias entre los actores de la investigación y las empresas.
La visita de Estado del Presidente Enrique Peña Nieto a Francia en julio de 2015, constituye una oportunidad para presentar y valorizar estas acciones a través de la organización del Foro, dos años después del Primer Foro sobre Investigación e Innovación organizado en la Ciudad de México en junio de 2013. Esta segunda edición favorecerá los intercambios entre actores franceses y mexicanos a lo largo del Foro, así como durante la secuencia específicamente dedicada a los encuentros cruzados.
OBJETIVOS:
- Desarrollar la cooperación franco-mexicana en torno a prioridades compartidas con la perspectiva de integrar los retos de formación, investigación e innovación mediante la búsqueda de sinergias con los actores industriales.
- Presentación de una hoja de ruta que permita profundizar nuestra cooperación bilateral en las áreas prioritarias.
Morgane BRAVO, Présidente et Fondatrice
du Think Tank" Europe-Mexique.

Le ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a organisé, les 9 et 10 juillet 2015 le 2e Forum franco-mexicain pour la recherche et l'innovation, en partenariat avec le CONACYT mexicain. Objectif, dans le cadre de la relance du partenariat avec le Mexique symbolisée par la visite d'Etat du président Peña Nieto en France mi-juillet : développer les relations franco-mexicaines dans les domaines de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation.

Crédit Photos©Morgane BRAVO 
 M. Enrique Cabrero Mendoza, Directeur Général du CONACYT

Le deuxième forum franco-mexicain pour la recherche et l’innovation s’est tenu les 9 et 10 juillet 2015 à Paris, 
deux ans après le premier forum de Mexico qui avait permis de relancer la coopération bilatérale entre les deux pays. Il a été ouvert par le secrétaire d’Etat à l’Enseignement supérieur et la Recherche, M. Thierry Mandon. L’Agence nationale de la recherche (ANR) était présente à l’événement, forte d’un partenariat avec le Conseil national mexicain pour la science et la technologie (CONACYT) et du cofinancement de 19 projets de recherche France-Mexique depuis 2009.


Intervention de @mandonthierry #FFM2015 Intervention de M. Thierry Mandon, secrétaire d' État à l'Enseignement supérieur et la Recherche.






"Suite au forum de Mexico en juin 2013, l’année 2014 a été marquée par le développement soutenu des relations entre le Mexique et la France dans les domaines de l’enseignement supérieur et de la recherche. Des axes de travail ont ainsi été identifiés afin d’approfondir la coopération bilatérale à travers la définition de nouvelles orientations scientifiques, le développement de flux de mobilité et la recherche de synergies entre acteurs académiques et entreprises des deux pays."

23 Accords signés : 

Signés le 9 juillet 2015, lors du Forum innovation & recherche 

1. Accord cadre CONACYT/MUFM/CPU/CDEFI/Campus France 

2. Accord CONACYT / COMUE Université Sorbonne Paris Cité 
3. Accord CONACYT / COMUE Sorbonne Universités  
4. Accord CONACYT / COMUE Université de Lyon 
5. Accord CONACYT / COMUE Université de Grenoble  
6. Accord CONACYT / COMUE Languedoc-Roussillon Universités 
7. Accord CONACYT / COMUE Université Fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées  
8. Accord CONACYT / Université de Lorraine 
9. Accord CONACYT / Université de Reims Champagne-Ardenne 
10. Accord CONACYT / Aix-Marseille Université 
11. Accord CONACYT / Université de Picardie Jules Verne 
12. Accord CONACYT / Université de Bordeaux
13. Accord CONACYT / Institut Mines-Telecom 
14. Accord CONACYT / Université Rennes 1 
15. Accord CONACYT / Université de Pau et des Pays de l’Adour 
16. Accord CONACYT / Université d’Orléans
17. Accord pour la création du Laboratoire International Associé “CABRAA” entre CONACYT/Universidad Narro/INRA
18. Accord IRD/ Université Autonome Métropolitaine (UAM)
19. Accord INSA Lyon/ Université Autonome Métropolitaine (UAM)
20. Accord Groupe INSA/ Université Autonome Métropolitaine (UAM)
21. Accord CINVESTAV/ Université Technologique de Compiègne (UTC) 
22. Accord Institut Pasteur / CONACYT pour la création d’un programme de bourses post-doctorales
23. Lettre d’intention Groupe Grimaud/Blue Genetics dans le domaine de l’aquaculture

La collaboration de l'Agence nationale de la recherche (ANR) avec le Mexique en chiffres :

"1 coopération en cours avec le CONACYT dans le cadre de l’appel générique de l’ANR

2008 : année de signature de l'accord de coopération entre l'ANR et son homologue, le CONACYT 

2014 : renouvellement de l’accord ANR-CONACYT 

19 : projets collaboratifs franco-mexicains cofinancés, dont :

  • 7 en biologie santé
  • 5 en sciences agronomiques et écologiques
  • 4 sur les matériaux, la chimie, l'énergie et les procédés
  • 2 en sciences et technologies de l'information et de la communication
  • 1 en sciences humaines et sociales
  • 5,6 M€ : financements attribués par l'ANR à ces projets."




Il s'agit de présenter une feuille de route permettant d'approfondir la coopération bilatérale dans les domaines prioritaires de la formation, la recherche et l'innovation pour les années à venir.

M. EnriqueCabrero DG . JaimeValls SG . .



*A SUIVRE...!*




@Morgane Bravo
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sábado, 25 de julio de 2015

*Emprendimiento mexicano con paso firme*

Felicidades al Dr. Alberto CORREA, quien preside el Capitulo "Paso del Norte" de una forma activa y muy eficaz. Quien platicó para la Agencia Informativa Conacyt del surgimiento, actividades y éxitos del proyecto.

Morgane BRAVO, 
Présidente et Fondatrice du 
«Think Tank» Europe-Mexique.
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Por Nistela Villaseñor
México, DF. 24 de junio de 2015 (Agencia Informativa Conacyt).-
La Red de Talentos Mexicanos en el Exterior, conocida actualmente como Red Global MX (RGMX), surgió en 2005 con el fin de contactar a los connacionales altamente calificados que se encuentran en el extranjero e invitarlos a colaborar en el desarrollo del país.
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"Actualmente, la red está conformada por 40 capítulos distribuidos en 19 países de cuatro continentes. Uno de ellos es El Paso del Norte, presidido por el doctor Alberto M. Correa, quien platicó para la Agencia Informativa Conacyt del surgimiento, actividades y éxitos del proyecto.
El capítulo tiene ocho años ininterrumpidos de operación, aunque se inauguró oficialmente el 19 de julio de 2010. Se llama así por la región, sin que por ello abarque exclusivamente la ciudad de El Paso, Texas. Comprende el sureste de Texas, el sur de Nuevo México y el norte del estado de Chihuahua, incluyendo el municipio de Juárez.
Según lo refirió el doctor, el capítulo está asentado en la metrópoli binacional más grande del mundo: El Paso-Juárez. “En la actualidad, el comercio por tierra, aire y mar entre México y Estados Unidos se eleva a 500 mil millones de dólares. De eso, 200 mil millones pasan por El Paso-Juárez, por lo tanto es el puerto más importante para comercio binacional”, afirmó.
Cd Juarez monumentoFoto: Andrea Vega.Explicó que Ciudad Juárez juega un papel de singular relevancia en el desarrollo económico de México, por lo que hay un esfuerzo y voluntad política para seguir fortaleciendo la región.
“Hablar de Juárez es hablar de grandes maquiladoras: plantas, filiales de empresas americanas pero también coreanas y taiwanesas, que tienen más de mil empleados. Alrededor de la maquiladora existen unas 500 empresas que le dan servicio, suministro de partes y componentes, logísticos, etcétera. Esto ha hecho de Juárez un elemento de gran importancia en el desarrollo de México, y que tenga un alto nivel de competitividad”, abundó Correa.
El desarrollo del capítulo El Paso del Norte se da dentro de esas condiciones de desarrollo regional, económico e involucramiento con las necesidades de la industria, por un lado mexicana que requiere transferencia de tecnología, y por otro lado americana, que está interesada en internacionalizar sus operaciones en México.
El especialista aseguró que los miembros del capítulo tienen una orientación empresarial, pues para cumplir con el objetivo de la RGMX, que es acelerar la inserción de México a la economía del conocimiento, es indispensable involucrar la empresa (mexicana o estadounidense), transferir tecnologías a las cuales se tiene acceso y cumplir con el objetivo específico del capítulo: fortalecer la relación bilateral México-Estados Unidos.   
Los casos de éxito del capítulo se han dado en la internacionalización de operaciones de empresas mexicanas, transfiriendo tecnologías, constituyendo empresas filiales en Estados Unidos, operándolas en las actividades de comercialización y apoyándolas en el registro de su propiedad intelectual en el país vecino.
El Paso del Norte promueve la inscripción de empresas mexicanas en el Registro Nacional de Instituciones y Empresas Científicas y Tecnológicas (Reniecyt) y el Instituto Nacional del Emprendedor (Inadem), con el fin de obtener fondos e incursionar con el modelo operativo que el propio capítulo ha puesto en marcha.
red global mx“Apoyamos en la elaboración de planes de negocios, escalar tecnologías de nivel laboratorio a piloto e industrial, aumentar la capacidad instalada de las plantas, constituir las empresas en Estados Unidos, certificar las características de sus productos, operar las empresas, penetrar el mercado, desarrollar innovaciones que mantengan su competitividad internacional, y otros tantos pasos”, detalló Correa.
En palabras del especialista, el desarrollo de un país no solo se hace en los laboratorios y universidades; se realiza en su gran mayoría en la empresa, que es la que invierte recursos, crea empleos, aplica los avances tecnológicos y promueve el desarrollo nacional y regional. “Esta es nuestra preocupación, nuestro objetivo, nuestro credo”, señaló el entrevistado.

¿Por qué el enfoque empresarial?

Alberto Correa, quien es científico y empresario, tiene 30 años de experiencia en el sector privado. “Entiendo perfectamente la mentalidad empresarial en ambos países (México y Estados Unidos), por eso tenemos una ventaja competitiva en el capítulo, porque nuestros miembros están dentro de un contexto y esquema empresarial”, advirtió.
Para el especialista, el emprendimiento del conocimiento es un término que en nuestro país no se ha divulgado en forma adecuada. “Aunque en México todo mundo es emprendedor e innovador, desgraciadamente no se tienen claros los conceptos”, indicó.
El presidente del capítulo mencionó que sus miembros son emprendedores, tienen sus propias empresas y se desarrollan en ese marco. “Pero a sabiendas de que somos doctores, científicos, ingenieros y hay un grupo importante de personas que están en las ciencias administrativas, en el desarrollo regional, en el desarrollo económico”, detalló.
Por su parte, la doctora Mariana Chew, vicepresidenta asociada de Ciencias Ambientales y Biotecnologías del capítulo, y especialista en ingeniería ambiental, sostuvo que cada miembro de El Paso del Norte cuenta con diferentes antecedentes académicos, profesionales y personales, y con su experiencia puede identificar una determinada empresa, implementar un programa piloto de transferencia de tecnología y echarlo a andar.
“La gente nos quiere y nos acepta. Saben que la intención del capítulo es poner a sus órdenes la experiencia y el conocimiento. El capítulo me ha dado esa oportunidad: regresar algo de lo que he recibido”, comentó Chew.

Proceso de internacionalización

Según el doctor Correa, la internacionalización de una empresa requiere de una serie de pasos para entender cómo se hace el negocio en el país vecino, además de cuáles deben ser las características y pasos del mismo. Con el modelo operativo que el capítulo ha implementado se identifica a empresas interesadas en internacionalizar sus operaciones; el primer paso es hacer el plan de negocios en Estados Unidos.
“El modelo consiste en establecer relación con la empresa mexicana. Hablamos de pequeñas y medianas empresas interesadas en expandirse a Estados Unidos; a lo mejor su último objetivo es exportar, pero incluso ello implica una serie de procedimientos para las cuales, por lo general, el empresario mexicano no está preparado, pues la manera de hacer negocios es completamente diferente a la de México”, indicó.
Según explicó el presidente del capítulo, el plan de negocios incluye un análisis del mercado, equivalente al 70 por ciento del plan, hecho por especialistas en plan negociosmercadotecnia. Se realiza no solo observando demandas y ofertas específicas del producto, sino estableciendo contacto, vía telefónica o mediante una encuesta personal, con los demandantes del producto.
“La empresa mexicana expone el producto y las ventajas competitivas que podría tener en Estados Unidos. Si hay interés, se determina mediante la encuesta cuáles serían los clientes potenciales que van a comprar dicho producto”, detalló.
Agregó que en Estados Unidos no se da un paso si no hay un plan de negocios. Una vez establecido este, se visualiza qué segmentos del mercado incursionarán de acuerdo a esa demanda, las capacidades que debe tener la fábrica en México para cubrirla, y cuánto ha de producir anualmente. En función de eso, se diseñan estados financieros y una programación a cinco años que permita garantizar la rentabilidad de los productos mediante su colocación.
A partir de ahí, añadió el entrevistado, se elabora el prospectus: un resumen ejecutivo orientado hacia posibles inversionistas mexicanos, americanos o de otras nacionalidades. “Por lo general, no se cuenta con el capital suficiente para invertir y establecer operaciones para abastecer la demanda específica. Por ello, contamos con una serie de inversionistas potenciales interesados en invertir en empresas mexicanas”, dijo.
Una segunda etapa del planteamiento incluye la estructuración o construcción de empresas en Estados Unidos. “¿Cómo va a comercializar la empresa mexicana en el país vecino? Tiene que formar una empresa ahí; no hay de otra”, planteó el experto.
Además, para garantizar la operación de la empresa mexicana, el capítulo ofrece suscribir hasta un 25 por ciento del capital social de la misma en Estados Unidos. “Se constituye una empresa en ese país, cuyo 75 por ciento del capital pertenece a la compañía en México, y el 25 por ciento restante a los inversionistas en Estados Unidos. Nosotros la operamos. De esa manera garantizamos que lo vamos a hacer bien porque también tenemos intereses en cumplir con ellos. Un planteamiento puramente empresarial”, advirtió Correa.
Por otro lado, destacó que es necesario registrar la propiedad intelectual en Estados Unidos. Si los productos son procedentes de México, sin importar qué productos sean, se requiere la certificación del país vecino.

Caso concreto

La empresa Impersimges desarrolló una tecnología para la fabricación de estuco, material para el recubrimiento de construcciones, hecho –en este caso– a red globalmx02base de papel reciclado, que gracias al tratamiento que se la da durante el proceso de fabricación (mezclado con una serie de agregados pétreos y poliméricos) se vuelve no inflamable, además de tener un aislamiento térmico excepcional, mencionó el doctor Alberto Correa.
“Tiene una muy baja conductividad térmica y un excelente aislante, por lo tanto garantiza un ahorro de energía de un 30 por ciento en el interior de las construcciones, ya sea en enfriar o calentar la habitación”, afirmó.
Detalló que se recibió apoyo del Consejo Nacional de Ciencia y Tecnología (Conacyt) para la preparación del plan de negocios para comercializar el estuco en Estados Unidos. “Estamos en la segunda etapa: conseguir fondos ahora para expandir la planta productora en Torreón, constituir la empresa comercializadora en Estados Unidos, certificar el producto, establecer la plataforma de lanzamiento comercial y registrar la propiedad intelectual”, añadió.

Otros proyectos apoyados por El Paso del Norte

El capítulo también incursiona activamente en programas sociales, en temas de apoyo a los derechos de los migrantes, empoderamiento de la mujer, tráfico de personas y violencia familiar, con la filosofía de adoptar y desarrollar tecnologías de vanguardia que aceleren el cambio en esos tópicos que, en opinión del doctor Alberto Correa, “corroen las conciencias y desgarran a la sociedad en sus más íntimas raíces”.
Además, apoya varios proyectos tecnológicos. Por ejemplo, en Zacatecas se propuso que una empresa que genera biomasa y posteriormente gas metano –mediante plantíos de nopal no comestible– utilice un procedimiento desarrollado por científicos mexicanos del capítulo Bélgica, para acelerar la producción de metano por procesos electroquímicos (electrometanogénesis).
Por otra parte, existe en Sinaloa un proyecto similar pero con maíz, trigo y sorgo. La propuesta, según explicó el doctor Correa, es producir la biomasa en función de estos rastrojos, utilizando los desarrollos de la metanogénesis.
En el estado de Morelos se firmó un convenio con el Instituto de Investigaciones Eléctricas en Cuernavaca para llevar a cabo una serie de seminarios y diplomados enfocados al tema energías renovables.
El capítulo El Paso del Norte también planea apoyar los estados de Puebla y Oaxaca en la comercialización de pescado congelado (en el caso del primero) y mezcal artesanal (en el segundo).

Proyectos artesanales

artesanias mexicanasPara el doctor Correa, las artesanías mexicanas son ampliamente apreciadas a nivel internacional, aunque en su mayoría se ven todavía como curiosidades porque están hechas con materiales y acabados de mediana o baja calidad. Cuando se hacen de buena calidad son caras pero tienen una gran demanda en el extranjero, aseveró.
Por ello, otra idea del capítulo es estructurar programas en donde se utilice la mano de obra y el ingenio de artesanos mexicanos de diversas regiones, para hacer manufacturas que, por su calidad, tengan demanda internacional.
Ejemplo de ello son los tapetes de Temoaya (Estado de México); rebozos de Santa María del Río (San Luis Potosí);  cestos y sombreros de paja (Querétaro); artículos de piel (Guanajuato), entre muchas otras manufacturas.
Sin embargo, el especialista advirtió que no solo mediante este tipo de planteamientos se estructura verticalmente la cadena productiva, sino que además se alimenta de tecnologías para la producción de elementos para la exportación.
“Es decir, si los sistemas de curtido de pieles en México son malos, hay que meterle tecnología para que sean buenos y no huelan mal. Si se quiere producir para Estados Unidos sombreros de paja tipo australianos que están de moda, que además son de pajas tan finas que se pueden doblar y meterlos en la bolsa, y si en México no hay esa paja, pues se cultiva; y si esa paja tiene que tratarse con un polímero, con plásticos, pues se trata”, manifestó.
Ahí están ciencia, tecnología y requerimientos tecnológicos que necesitamos para integrar las cadenas de valor, para que los productos puedan ser competitivos a nivel internacional; no solo por la mano de obra, que es una parte mínima del costo total de la producción, reiteró Correa.

Bondades sociales

El capítulo El Paso del Norte ha sido para Mariana Chew una gran oportunidad para aprender de los demás, una ventana para exponer y compartir lo que sabe, así como un nicho para hacer proyectos reales. “A veces la academia se queda con los conocimientos y es difícil ponerlos en práctica, pero aquí se ha podido transferir tecnología”, afirmó.
“Es un vehículo para regresar a la sociedad algo de lo que nosotros queremos hacer mejor, que sea tangible. ¿Qué más tangible que productos que se pueden comer, por ejemplo?”, destacó Chew.
Por su parte, el presidente del capítulo manifestó que ser exitoso en México no garantiza serlo en el extranjero. “Nuestra colaboración es precisamente esa: facilitar que los proyectos de la empresa mexicana existan en el extranjero. Ya es tiempo de echar por tierra esos paradigmas que siguen colocando a México en posiciones verdaderamente ridículas”, concluyó Alberto M. Correa."
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