«Think Tank» Europe-Mexique.

«Think Tank» Europe-Mexique.
*2008 Création, par Morgane BRAVO France Alumni 🇲🇽🇫🇷(IIAP/ENA), President I Founder of «Think Tank» Europe-Mexico. (Binational) *Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... 2002 en France, Candidate (Titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16ème arrondissement. « Euroblogger » UE, Commission Européenne, Conseil Européen, Parlement Européen, Conseil de l'Europe, CoR, EuroPcom... *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

lunes, 26 de octubre de 2009

*El gobernador de Veracruz : recibió el Premio Excelencia de Servicio, otorgado por The Washington Center...*



***El gobernador de Veracruz recibió la noche de el lunes el Premio Excelencia de Servicio, otorgado por The Washington Center.

El gobernador Fidel Herrera Beltrán, acompañado de su esposa Rosa Borunda de Herrera, recibió la noche de este lunes el Premio Excelencia de Servicio, otorgado por The Washington Center, en reconocimiento al impulso que su gobierno ha dado a la promoción del servicio público en las nuevas generaciones de estudiantes de Veracruz.



Washington, D.C. 19 de Octubre de 2009

http://www.veracruz.gob.mx

***Veracruz (ville) : MEXICO***

***Veracruz est la première grande ville de l'État de Veracruz au Mexique, située à 105 km de Jalapa, la capitale d'État. On l'appelle souvent Puerto de Veracruz (port de Veracruz) et Ciudad de Veracruz (ville de Veracruz) pour la différencier de l'État qui officiellement s’appelait Veracruz-Llave et maintenant Veracruz de Ignacio de la Llave. En 2000, la population était d'environ 500 000 habitants. Les habitants de Veracruz sont appelés jarochos. D'après le recensement de 2005 Veracruz compte désormais 654 216 habitants.

Le port fut fondé par Hernán Cortés qui, le premier, accosta le vendredi Saint 22 avril 1519 à Chalchiuhcuecan à son emplacement actuel (à l'angle des rues Mario Molina et Landero y Coss). La cité fut nommée La Villa Rica de la Vera Cruz (« La ville riche de la vraie croix »).

Le 4 juillet 1523 Charles V lui concède par une cédule royale expédiée à Valladolid le titre de Ville. 1 En septembre 1552 une forte tempête, des pluies torrentielles et le débordement du fleuve occasionnèrent de graves destructions à la ville naissante et a ses entrepôts où furent détruites toutes les marchandises. Le port de San Juan de Ulúa fut lui aussi endommagé.

Ces évènements furent rapportés à la Cour royale d'Espagne qui souhaitait trouver un emplacement plus sûr et plus facile d'accès aux convois qui allaient et venaient de Mexico : le roi Philippe II ordonna donc le transfert de la ville de Veracruz de la Antigua à la terre ferme de la Venta del Buitron (où elle se trouve actuellement) nonobstant l'opposition des habitants de la Antigua. Principal port de la Nouvelle Espagne, d'où partaient des cargaisons d'argent en direction d'Espagne, il était harcelé autant par les puissances étrangères que par les pirates. John Hawkins et sir Francis Drake parvinrent à piller la ville en 1568, puis en 1683 les pirates Laurent (Lorenzo) Jacome dit Lorencillo et Nicolas Grammont ou Gramont2. En réponse à ces menaces, la grande forteresse San Juan de Ulúa fut construite sur une île au cœur du port. Commencée en 1565, elle fut sensiblement élargie à plusieurs reprises.

La République y fut proclamée par Antonio López de Santa Anna en 1823. Veracruz est la troisième grande ville du golfe du Mexique et le premier port le plus important de la côte est du Mexique. Port naturel, Veracruz a été disputé au cours de l'histoire, et porte le titre de « Quatre fois héroïque ».

La première : le 17 novembre 1825 pour la reddition des ultimes forces espagnoles qui tenaient la forteresse de San Juan de Ulúa, dernier bastion de l'Espagne au Mexique (Décret n° 35 du 29 juillet 1826)

La deuxième : le 27 novembre 1838 bombardement de la ville par une escadre française lors de la Guerre des Pâtisseries, défense courageuse du port par Manuel M. Rincon et Antonio López de Santa Anna. La forteresse de San Juan de Ulúa resta aux mains des français jusqu'en 1843.

La troisième : Le 22 mars 1847 bombardement par les forces des États-Unis sous les ordres du général Winfield Scott dont les troupes débarquèrent à Veracruz le 22 mars et commencèrent le bombardement de celle-ci le 27. Après une résistance héroïque les troupes mexicaines aux ordres du général Morales se rendirent aux envahisseurs. Ceux-ci se retirèrent le 10 juin 1848 une fois signés les traités de paix (Décret n° 41 du 27 décembre 1900.

La quatrième : les 21 et 22 avril 1914 pour la défense de la ville durant le débarquement des troupes des États-Unis sous le commandement du contre-amiral Frank J. Fletcher. Le port fut occupé jusqu'au 23 novembre 1914 (Décret n° 73 du 14 décembre 1948.

La voie ferrée reliant Veracruz à Mexico — 425 km vers l'intérieur à travers les chaînes montagneuses — fut inaugurée en 1873 pendant la présidence de Benito Juárez.
La ville est connue pour ses riches traditions musicales : groupes de marimba, danzonera ou encore comparsa. La Bamba est l'exemple le plus connu de son folklore.
La promenade autour du port (El malecón) attire beaucoup de touristes, plus nationaux qu'internationaux. La ville possède également plusieurs plages dont les plus connues sont Villa del Mar et Playa Norte. La plage très connue de Mocambo n'appartient pas à la municipalité de Veracruz, elle est située dans la municipalité de Boca del Rio. Malheureusement ces plages sont très sales et l'eau y est extrêmement polluée.

Veracruz a aussi une équipe de football qui s'appelle Tiburones Rojos de Veracruz.

www.veracruz-puerto.gob.mx

http://fr.wikipedia.org/wiki/Veracruz_(ville)

*Source : Wikipédia

domingo, 25 de octubre de 2009

***Antonio Banderas - Cancion del Mariachi***

***Présidence de l'Epad, et maintenant?...***

***
***L'annonce de Jean Sarkozy de ne pas briguer la présidence de l'Epad a éteint la polémique en France et à l'étranger mais n'a pas pour autant réglé tous les problèmes. Qui va désormais remplacer Patrick Devedjian, frappé par la limite d'âge, à la tête de l'établissement public?

Le conseil d'administration de l'Etablissement public d'aménagement de La Défense (Epad) compte 18 administrateurs dont 9 représentants de l'État et 9 représentants des collectivités locales impliquées.

A l'heure actuelle, il ne reste plus qu'un candidat en lice: Patrick Jarry, maire (PCF) de Nanterre. Ses soutiens sont Pierre Mansat (PCF), qui siège aussi au conseil d'administration de l'Epad, et la gauche d'Ile-de-France avec, au premier rang, le maire de Paris Bertrand Delanoë. Maigre.

D'autant que, déjà arithmétiquement difficile, cette candidature semble avoir du plomb dans l'aile depuis la prise de parole, ce vendredi, du ministre du Logement, Benoist Apparu.

"La tradition c'est qu'on choisisse le président parmi les représentants élus du département pour ne pas favoriser les communes, or Jean Sarkozy ayant renoncé à briguer la présidence et Patrick Devedjian étant atteint par la limite d'âge, aucun des deux représentants du département ne sera candidat" a-t-il affirmé.

Une déclaration vivement critiquée par Pascal Buchet, conseiller général et responsable du PS des Hauts-de-Seine. "Nous ne voulons pas que l'Etat UMP impose ses choix aux élus locaux contre leur volonté et celle des habitants", a expliqué le maire de Fontenay-aux-Roses.

Avant de proposer comme alternative que "la présidence de l'Epad puisse être confiée aux maires des communes concernées". Maisl'hypothèse d'un communiste à la tête de La Défense ne fait pas l'unanimité du côté du gouvernement ni des élus UMP locaux.

Les Hauts-de-Seine sans candidat

"Ne pas favoriser les communes." Une phrase qui semble mettre définitivement hors-jeu le maire de Nanterre, au même titre que les UMP Jacques Kossowski, maire de Courbevoie, lui aussi frappé par la limite d'âge, et Joëlle Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux.

Cette dernière, dont les relations avec certains de ses collègues de droite ont parfois été houleuses, possède en plus, le même désavantage que Jean Sarkozy, celui d'être une "fille de". Son père, Charles Ceccaldi-Raynaud, 82 ans, a été maire de Puteaux de 1969 à 2004.

Enfin, le dernier prétendant envisageable, Claude Leroi, administrateur à l'Epad au nom de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, a 70 ans...

A l'approche du 4 décembre, date à laquelle le président devra être désigné, se dresse donc un casse-tête pour le conseil général des Hauts-de-Seine qui ne devrait pas avoir de candidat à proposer.

La solution d'un administrateur de l'Etat?

Pour Benoist Apparu néanmoins, "plusieurs options sont ouvertes". Il n'exclue pas la possibilité d'un intérim à la tête de l'Epad par un administrateur de l'Etat jusqu'à la fusion Epad-Epasa (Seine Arche), qui pourrait intervenir au premier semestre 2010.

"Pourquoi pas un administrateur de l'Etat", glisse-t-il. A ce petit jeu, c'est donc Jean-Marc Michel qui risque de rafler la mise, comme le suggère le quotidien Le Monde.

Ce haut fonctionnaire, nommé par le ministère du Développement Durable, occupe actuellement la présidence par intérim de l'Epad, en sa qualité de 1er vice-président. Réponse le 4 décembre, sauf nouveau rebondissement.

Kévin Deniau,
L'Express
23/10/2009

*Photo : Morgane BRAVO

BLOG *PARIS...GRAND PARIS & FRANCE : au XXIe Siècle!...L'Actualité* par Morgane BRAVO
http://parisinternational.blogspot.com/2009/10/presidence-de-lepad-et-maintenant.html

***Historia de un letrero;;;***

***Sin Nombre - bande annonce...***

***Exponen en París : Tzompantli, de Sergio Hernández...Daniela Prost... ***

***Entre las actividades organizadas en torno a la exposición “Teotihuacán, ciudad de los Dioses”, en el Museo del Quai Branly, destaca la muestra “Tzompantli”, del artista oaxaqueño Sergio Hernández, considerado como uno de los creadores contemporáneos con mayor trascendencia a nivel internacional.

En la muestra que tendrá lugar en hall principal del Museo del Quai Branly, Sergio Hernández evoca los tzompantlis, figuras arquitectónicas realizadas en el transcurso del periodo clásico de la cultura mexica concebidas como muros cubiertos de cráneos humanos esculpidos o reales.

Egresado de la Escuela nacional de Artes Plásticas de San Carlos y de la Escuela de La Esmeralda, Sergio Hernández es un pintor, escultor y grabador que, junto con Francisco Toledo, representa una de las figuras más prominentes de la plástica oaxaqueña. Su trazo ha figurado en los mejores espacios de exhibición como La Siempre Habana de Cuba, el Petit Palais de París, el Palacio Bricherasio de Turín, Museo de Arte Moderno y Museo Rufino Tamayo, Museo de Arte Contemporáneo de Monterrey, Museo de la Ciudad México, y Palacio Bricherasio de Turín, entre otros.

Tzompantli - Sergio Hernández Del 20 octubre al 29 noviembre de 2009 Museo del Quai Branly

***Daniela Prost expone en París :

La artista plástica franco mexicana Daniela Prost ha sido galardonada con el primer premio de pintura que otorga la alcaldía del primer distrito de la Ciudad de París. Por este motivo, la creadora participará junto con Mona Eslander en la exposición denominada “Regards croisés” que se lleva a cabo en esa demarcación desde el 19 de octubre.

Daniela Prost regresa de Kiev en donde el pasado mes de mayo el Museo Nacional de Literatura de la capital de Ucrania abrió sus puertas para presentar la muestra “Presencia”, a través de la cual la pintora franco mexicana exhibió doce cuadros y doce dibujos, mismos que fueron objeto de excelentes comentarios por parte de la crítica de ese país.

Regards croisés Del 19 al 24 de octubre de 2009
Mairie du 1er arrondissement 4 place du Louvre - 75001 Paris

***Le Musée du quai Branly reçoit le Mexique..et la fête des morts !...à Paris***


***Autour de l’exposition Téotihuacan, Cité des Dieux, le musée du quai Branly vous propose une programmation spéciale pendant les vacances de la Toussaint, avec des conférences, des visites et des ateliers du Mexique d’hier et d’aujourd’hui….Programme.

Du samedi 24 octobre au dimanche 1er novembre 2009, vous êtes invités à découvrir le Mexique précolombien et contemporain et notamment sa tradition à célébrer les morts de façon très festive et colorée.

• Jeu multimédia dans l’exposition Teotihuacan (pendant toute la durée de l’exposition)

Un jeu multimédia entraîne les enfants dans une enquête au coeur de la Cité des dieux. Des mystères entourent les objets de l’exposition : de l’allée des morts à la Pyramide du Soleil, un parcours où l’on rencontre historiens, architectes et archéologues pour résoudre les énigmes de Teotihuacan. A partir de 7 ans – Version en français, anglais et espagnol

• Ateliers en famille

A quoi sert l’archéologie ? Qu’est ce qu’un chantier de fouilles ? A partir des maquettes des pyramides du site Teotihuacan, l’enfant se met dans la peau d’un archéologue, à la recherche des secrets de la civilisation précolombienne.

* samedi 24 octobre à 15h30 et 16h30
* lundi 26 octobre à 14h30, 15h30, 16h30 et 17h30
* mercredi 28 octobre à 14h30, 15h30 et 16h30
* vendredi 30 octobre à 14h30, 15h30, 16h30 et 17h30

• Atelier Globe trotter Mexique

Les enfants embarquent pour le Mexique, ils découvrent le temps de l’atelier les traditions orales de ce pays et s’initient à une pratique artistique.

* dimanche 25, mardi 27 et jeudi 29 octobre à 14h30, 15h30, 16h30 et 17h30
* familles, à partir de 6 ans – durée : 45 minutes – salle d’atelier

fetedesmorts1 300x194 Le Musée du quai Branly reçoit le Mexique..et la fête des morts !• Atelier Cochenille – Variation artistique autour du rouge carmin
Les enfants sont invités à découvrir par le conte et l’expérimentation le pigment naturel d’origine méso-américaine : la cochenille.

* dimanche 25 octobre à 11h30
* mardi 27, mercredi 28 et jeudi 29 octobre à 15h30 et 16h30

Visites divers :

• Visite guidée Teotihuacan : Un conférencier initie les visiteurs aux secrets de la grande cité de l’ancien Mexique, Teotihuacan. * dimanche 25 octobre à 14h30 et samedi 31 octobre à 14h30

• Visite contée Mexique : Plongez au cœur des légendes précolombiennes du Mexique.

* samedi 24 octobre à 11h30 et 14h30
* lundi 26 et vendredi 30 octobre à 11h30, 14h30 et 16h
* mercredi 28 octobre et le dimanche 1er novembre à 14h30

• Activités en espagnol- Le musée lors de cette semaine propose plusieurs activités en espagnol :

* Visite guidée Teotihuacan : dimanche 25 et samedi 31 octobre 2009 à 11h30
* Visite contée Mexique : mercredi 28 octobre et dimanche 1er novembre 2009 à 11h30
* Atelier Mission Archéo : samedi 24 et mercredi 28 octobre 2009 à 17h30

Las_Calaveras_en_Reforma_(23)Du 24 octobre au 1er novembre, le salon de lecture Jacques Kerchache présente également des livres du Mexique pour les jeunes en « version originale ».

• La fête des morts

Les 31 octobre et 1er novembre, le musée propose des ateliers dans lesquels enfants et adultes apprennent à réaliser des objets artisanaux fabriqués traditionnellement par les mexicains au moment de la fête des morts. Chacun pourra découvrir et enrichir l’autel des morts réalisé spécialement pour l’occasion et participé au grand « Baile de los muertos ».


Autel des morts avec l’artiste Cristiná Rubalcava
* samedi 31 octobre et dimanche 1er novembre, tous publics – foyer du théâtre Claude Lévi-Strauss

Ateliers de fabrication de crânes en pâte d’amande et de papiers découpés à la manière de Posada.
* samedi 31/ octobre de 11h30 à 18h et dimanche 1er novembre de 11h30 à 16h30

Bal des morts : un groupe de musiciens accompagné de danseurs vous initie aux danses mexicaines.
* dimanche 1er novembre de 16h30 à 18h30

Autour du chocolat mexicain

Voyagez dans l’univers de goûts et de saveurs chocolatées avec Pierre Hermé
* le samedi 24 et le dimanche 25 octobre 2009 de 14h30 à 18h30, tous publics – foyer du théâtre Claude Lévi-Strauss

• Conférences au salon de lecture Jacques Kerchache

Les squelettes du graveur Posada ou la mort en fête
Conférence avec Marine Degli, chargée d’études documentaires auprès de la Présidence du musée du quai branly
* mercredi 28 octobre à 15h

Antiquités mexicaines, regards sur l’archéologie du Mexique à travers les plus beaux imprimés de la médiathèque du musée. Conférence avec Ghislain Dibie, responsable du patrimoine imprimé au musée du quai Branly.
* jeudi 29 octobre à 19h

Et pendant tout le temps de l’exposition Teotihuacan, Cité des Dieux, le salon de lecture Jacques Kerchache présente une sélection d’objets du Museo de Arte Popular * du samedi 6 octobre 2009 au 24 janvier 2010
fete des morts 1INFOS

Musée du quai Branly : 37, quai Branly 75007 Paris
M° Iéna ou Alma Marceau, RER Pont de l’Alma
*T. 01 56 61 70 00 • www.quaibranly.fr





*2011, ANNÉE DU MEXIQUE EN FRANCE*

Ambassade du Mexique en France

***La suite :
http://unioneuropeenne.blogspot.com/2009/04/2011-annee-du-mexique-en-france.html

http://parisinternational.blogspot.com/2009/02/la-france-le-mexique-relations.html

Bien à vous,

Morgane BRAVO
http://www.facebook.com/pages/Morgane-BRAVO/42491554804

***Teotihuacán en el Quai Branly...en Paris***


***Con una amplia cobertura de prensa y una excelente recepción por parte de la crítica francesa, la exposición “Teotihuacán, ciudad de los Dioses” que se presenta en el museo parisino del Quai Branly, abrió sus puertas el pasado 6 de octubre.
La exposición está dividida en seis secciones y ocupa más de dos mil metros cuadrados de la sede de este importante museo parisino. Ahí se exhiben piezas que ilustran la historia de Teotihuacán, su sociedad, organización política y económica, religión y vida palaciega, entre otros aspectos de la civilización que prosperó en el Valle de México durante casi ocho siglos.

La muestra, cuyo recorrido se abre al espectador con una impresionante figura del jaguar de Xalla, consta de 450 piezas entre las que destacan esculturas, cerámicas, pinturas murales y réplicas de las pirámides del Sol y de la Luna.
Muchas de las piezas expuestas en la Gallerie du Jardin de este recinto cultural son de reciente hallazgo y son fruto de los intensos trabajos de investigación realizados en los últimos años por especialistas mexicanos.

Curada por el fallecido antropólogo mexicano Felipe Solís, la exposición representa la primera gran muestra organizada en Europa sobre el legado de Teotihuacán y es un claro ejemplo de la excelente cooperación cultural que existe entre México y Francia.
La exposición “Teotihuacán, ciudad de los Dioses” fue inaugurada por el Director General del Instituto Nacional de Antropología e Historia, Alfonso de Maria y Campos, por el Embajador de México en Francia, Carlos de Icaza, y el Director del Museo del Quai Branly, Stephane Martin.

Durante un recorrido realizado la víspera de la inauguración oficial, el Ministro de Cultura de Francia, Frederic Mitterrand, pudo admirar la grandeza de esta civilización precolombina representada en esta muestra. “Pensándolo bien, yo diría que esta muestra me impresionó por tres razones. Me dejó pasmado la belleza de todos los objetos presentados aquí. Me asombró el trabajo extraordinario de los arqueólogos que descubrieron y salvaron todas estas obras y todas estas pinturas. Me encantó el misterio que sigue envolviendo a esa civilización. No se sabe exactamente cómo se organizaba el poder en ella. No se sabe exactamente por qué se extinguió. No se conoce su lengua. Tanto misterio es fuente de poesía. El altísimo nivel de las obras presentadas, la belleza de la escenografía y la calidad de la museografía hacen que esa muestra sea tan didáctica como poética. Es un logro increíble.”, dijo el Ministro Mitterrand a los periodistas presentes en el Quai Branly.

Embajada de México en Francia

***Le Musée du quai Branly reçoit le Mexique..et la fête des morts !...à Paris***
http://parisinternational.blogspot.com/2009/10/le-musee-du-quai-branly-recoit-le.html

*** En memoria de mi Padre y de mi Madre ...***





***En memoria de mi papá, que falleció el 23 de Febrero 2008! y de mi mamá ...el 16 de Julio 2009! ***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

viernes, 23 de octubre de 2009

***La Embajada de México en Francia informa : influenza AH1N1...***


***La Embajada de México en Francia informa que el gobierno mexicano ha determinado reforzar las medidas preventivas que permitan evitar la propagación de los casos de influenza AH1N1 que se han presentado en los últimos días.

Por ello, ha sido creado un sitio especial con el propósito de dar a conocer a la población mexicana residente en el exterior o que se encuentran en tránsito las acciones y medidas que deben implementarse nuevamente para evitar el contagio y la propagación de dicho virus.

Usted podrá consultar toda la información en el sitio :

www.promocion.salud.gob.mx

Atentamente,

Morgane BRAVO

miércoles, 21 de octubre de 2009

*Les É.-U. ne renégocieront pas l’ALENA, selon l’ambassadeur...*

***Le nouvel ambassadeur des États-Unis au Canada assure que son pays n'a pas l'intention de revoir l'Accord de libre-échange nord-américain dans un avenir rapproché.

David Jacobson a abordé cette délicate question devant des gens d'affaires montréalais, mercredi matin, précisant que les Américains estiment que le libre-échange fonctionne bien en Amérique du Nord.

La communauté d'affaires canadienne a été ébranlée lorsque le président Barack Obama a manifesté l'intention de rouvrir l'ALENA alors qu'il faisait campagne dans les primaires démocrates.

L'ambassadeur Jacobson a déclaré que le Canada et les États-Unis dépendent l'un de l'autre tant en matière de commerce, que d'énergie ou de sécurité nationale.

M. Jacobson reconnaît, cependant, que des différends surviennent parfois. Il a d'ailleurs ajouté que des pourparlers se poursuivaient en vue de résoudre les préoccupations relatives à la politique d'achat chez soi « Buy American » du président Obama, considéré comme une forme de protectionnisme par le Canada.

LA PRESSE CANADIENNE
21 octobre 2009

jueves, 15 de octubre de 2009

*Le Mexique mis à l’épreuve par la récession mondiale...*


***Dans les années 1990, le Mexique a suivi allègrement la voie de la mondialisation, qui a révolutionné le commerce mondial, et son économie en a recueilli les dividendes pendant plus de dix ans. Cette plus grande ouverture du marché s’est toutefois traduite par une vulnérabilité accrue à la récession mondiale, la plus grande épreuve que la mondialisation ait eu à surmonter jusqu’à présent. Le Mexique s’en tire-t-il? Et surtout, cette ouverture survivra-t-elle au ralentissement?

L’économie mexicaine a bien réagi au cours du dernier cycle économique. Après la crise du peso en 1995, le pays a connu une croissance moyenne de 5,5 % par an pendant cinq ans. Freinée par la suite pendant trois ans en raison de la légère récession américaine de 2001, la croissance a rebondi. De 2004 à 2007, le Mexique a connu un taux d’expansion moyen tout juste inférieur à 4 % par an, ce qui se compare avantageusement à la moyenne de l’Amérique latine. Dans les bonnes années, le commerce international a été un des principaux moteurs de la croissance, les exportations ayant augmenté à un rythme plus de deux fois supérieur à celui de l’ensemble de l’économie.

Les bonnes nouvelles ont malheureusement connu une fin brutale il y a un an. La première d’une série de quatre contractions trimestrielles brusques a eu lieu entre juillet et septembre 2008 et, selon les estimations, l’activité économique a chuté de 9,7 % au cours des quatre derniers trimestres – tirée par la contraction estimée de 24 % des exportations. Le PIB du Mexique a suivi de près la voie de la production industrielle américaine, et les effets ont touché l’activité intérieure : les ventes au détail sont aujourd’hui de 5 % inférieures à celles de l’an dernier, et la tendance est à la baisse.

Un certain nombre d’indicateurs laissent croire que le pire est peut-être passé. La confiance des entreprises remonte et a même récupéré plus de la moitié de la perte subie à la fin de 2008. Les fabricants sont beaucoup plus optimistes qu’il y a six mois, et la confiance reprend. La Bourse a regagné presque tout le terrain perdu à la fin de l’année dernière. Qui plus est, les coûts des emprunts internationaux se sont stabilisés. Les écarts obligataires, qui avaient connu un sommet l’automne dernier à plus de 500 pb, se sont depuis normalisés, et sont à 250 pb actuellement.

La table est mise pour la reprise, mais la grande question est de savoir quand le repas sera servi. Tout comme l’économie canadienne, l’économie mexicaine dépend du commerce, et sa fortune est donc tributaire de la performance mondiale, surtout américaine. L’intensité commerciale du pays – addition des exportations et des importations, en pourcentage du PIB total – a bondi de 20 à 55 % entre le début des années 1990 et aujourd’hui, et l’on s’attend à ce qu’elle passe à 70 % pendant la reprise. Cependant, les échanges demeurent déprimés, et le seront probablement jusqu’à ce que l’activité américaine commence à remonter la pente au milieu de 2010. Si les exportateurs mexicains peuvent attendre jusque-là, ils tireront de nouveau d’excellents dividendes du commerce. La croissance est maintenant prête à repartir en flèche aux États-Unis, et à entraîner le reste du monde avec elle, ce qui donnera un coup de pouce à la reprise tant au Mexique qu’au Canada.

Les exportateurs mexicains s’en sortiront-ils? Seul le temps nous le dira. Le retour à la rhétorique protectionniste est un obstacle majeur. À la suite de l’adoption du slogan législatif « Achetez américain » aux États-Unis, une vague de mesures et de contre-mesures a commencé à déferler, et le Mexique s’est senti obligé d’introduire ses propres mesures de représailles. Ces actions devraient en rester au stade de la rhétorique visant à apaiser les électeurs, car un plus grand nombre d’emplois – tant au Mexique que dans le monde entier – dépend du libre-échange et de l’ouverture du marché. C’est ce que suggère le mouvement de la politique mexicaine : depuis 1994, le pays a signé 10 accords de libre-échange, des négociations sont en cours pour un 11e, et des rumeurs circulent sur un accord possible avec le Brésil. Le Mexique demeure donc engagé sur la voie de la mondialisation.

Conclusion? Les récessions ont toujours menacé de défaire les progrès du commerce international. L’investissement et l’engagement du Mexique à cet égard sont mis à l’épreuve en ce moment, mais les gains que le pays a réalisés jusqu’à maintenant grâce au libre-échange élargi, et les accords qu’il envisage, permettent de croire qu’il s’en tirera.

Par Peter G. Hall,
Vice-président et économiste en chef,
Exportation et développement Canada (EDC)
Le 14 octobre 2009

*Les vues exprimées dans ce propos sont celles de l'auteur. Elles ne reflètent pas nécessairement le point de vue d'EDC.

miércoles, 14 de octubre de 2009

***Cité des Dieux visuel de l'affiche Teotihuacan... en PARIS***


***Cité des Dieux

visuel de l'affiche Teotihuacan

Galerie Jardin

billet exposition temporaire ou billet jumelé
du mardi 6 octobre 2009 au dimanche 24 janvier 2010
commissaire : Felipe Solís †

L’exposition rassemble environ 450 pièces exceptionnelles de la culture de Teotihuacan, grande cité de l’Ancien Mexique que de récentes découvertes ont permis de mieux connaître.

Les objets sont présentés par thématiques successives permettant aux visiteurs de découvrir cette cité antique, et de comprendre son fonctionnement, le rôle et l’influence qu’elle a eue dans le monde méso-américain.

Cette exposition unique présente des pièces qui, pour la plupart, n’ont jamais été présentées en Europe, et dont certaines étaient encore inédites au Mexique jusqu’à leur présentation à Monterrey de septembre 2008 à janvier 2009. Les objets sont issus à 95% des collections mexicaines et à 5% des collections européennes (collections des musées ethnographiques allemands et du musée du quai Branly à Paris).

*Cette exposition a été conçue par le Consejo Nacional para la Cultura y las Artes et l'Instituto Nacional de Antropologia e Historia, Mexico, avec le soutien de la Fundacion Televisa A.C.

Elle est coproduite par le musée du quai Branly, Paris, le museum Rietberg, Zürich et le Martin Gropius Bau, Berlin.