«Think Tank» Europe-Mexique.

«Think Tank» Europe-Mexique.
*2008 Création, par Morgane BRAVO France Alumni 🇲🇽🇫🇷(IIAP/ENA), President I Founder of «Think Tank» Europe-Mexico. (Binational) *Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... 2002 en France, Candidate (Titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16ème arrondissement. « Euroblogger » UE, Commission Européenne, Conseil Européen, Parlement Européen, Conseil de l'Europe, CoR, EuroPcom... *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

viernes, 23 de octubre de 2009

***La Embajada de México en Francia informa : influenza AH1N1...***


***La Embajada de México en Francia informa que el gobierno mexicano ha determinado reforzar las medidas preventivas que permitan evitar la propagación de los casos de influenza AH1N1 que se han presentado en los últimos días.

Por ello, ha sido creado un sitio especial con el propósito de dar a conocer a la población mexicana residente en el exterior o que se encuentran en tránsito las acciones y medidas que deben implementarse nuevamente para evitar el contagio y la propagación de dicho virus.

Usted podrá consultar toda la información en el sitio :

www.promocion.salud.gob.mx

Atentamente,

Morgane BRAVO

miércoles, 21 de octubre de 2009

*Les É.-U. ne renégocieront pas l’ALENA, selon l’ambassadeur...*

***Le nouvel ambassadeur des États-Unis au Canada assure que son pays n'a pas l'intention de revoir l'Accord de libre-échange nord-américain dans un avenir rapproché.

David Jacobson a abordé cette délicate question devant des gens d'affaires montréalais, mercredi matin, précisant que les Américains estiment que le libre-échange fonctionne bien en Amérique du Nord.

La communauté d'affaires canadienne a été ébranlée lorsque le président Barack Obama a manifesté l'intention de rouvrir l'ALENA alors qu'il faisait campagne dans les primaires démocrates.

L'ambassadeur Jacobson a déclaré que le Canada et les États-Unis dépendent l'un de l'autre tant en matière de commerce, que d'énergie ou de sécurité nationale.

M. Jacobson reconnaît, cependant, que des différends surviennent parfois. Il a d'ailleurs ajouté que des pourparlers se poursuivaient en vue de résoudre les préoccupations relatives à la politique d'achat chez soi « Buy American » du président Obama, considéré comme une forme de protectionnisme par le Canada.

LA PRESSE CANADIENNE
21 octobre 2009

jueves, 15 de octubre de 2009

*Le Mexique mis à l’épreuve par la récession mondiale...*


***Dans les années 1990, le Mexique a suivi allègrement la voie de la mondialisation, qui a révolutionné le commerce mondial, et son économie en a recueilli les dividendes pendant plus de dix ans. Cette plus grande ouverture du marché s’est toutefois traduite par une vulnérabilité accrue à la récession mondiale, la plus grande épreuve que la mondialisation ait eu à surmonter jusqu’à présent. Le Mexique s’en tire-t-il? Et surtout, cette ouverture survivra-t-elle au ralentissement?

L’économie mexicaine a bien réagi au cours du dernier cycle économique. Après la crise du peso en 1995, le pays a connu une croissance moyenne de 5,5 % par an pendant cinq ans. Freinée par la suite pendant trois ans en raison de la légère récession américaine de 2001, la croissance a rebondi. De 2004 à 2007, le Mexique a connu un taux d’expansion moyen tout juste inférieur à 4 % par an, ce qui se compare avantageusement à la moyenne de l’Amérique latine. Dans les bonnes années, le commerce international a été un des principaux moteurs de la croissance, les exportations ayant augmenté à un rythme plus de deux fois supérieur à celui de l’ensemble de l’économie.

Les bonnes nouvelles ont malheureusement connu une fin brutale il y a un an. La première d’une série de quatre contractions trimestrielles brusques a eu lieu entre juillet et septembre 2008 et, selon les estimations, l’activité économique a chuté de 9,7 % au cours des quatre derniers trimestres – tirée par la contraction estimée de 24 % des exportations. Le PIB du Mexique a suivi de près la voie de la production industrielle américaine, et les effets ont touché l’activité intérieure : les ventes au détail sont aujourd’hui de 5 % inférieures à celles de l’an dernier, et la tendance est à la baisse.

Un certain nombre d’indicateurs laissent croire que le pire est peut-être passé. La confiance des entreprises remonte et a même récupéré plus de la moitié de la perte subie à la fin de 2008. Les fabricants sont beaucoup plus optimistes qu’il y a six mois, et la confiance reprend. La Bourse a regagné presque tout le terrain perdu à la fin de l’année dernière. Qui plus est, les coûts des emprunts internationaux se sont stabilisés. Les écarts obligataires, qui avaient connu un sommet l’automne dernier à plus de 500 pb, se sont depuis normalisés, et sont à 250 pb actuellement.

La table est mise pour la reprise, mais la grande question est de savoir quand le repas sera servi. Tout comme l’économie canadienne, l’économie mexicaine dépend du commerce, et sa fortune est donc tributaire de la performance mondiale, surtout américaine. L’intensité commerciale du pays – addition des exportations et des importations, en pourcentage du PIB total – a bondi de 20 à 55 % entre le début des années 1990 et aujourd’hui, et l’on s’attend à ce qu’elle passe à 70 % pendant la reprise. Cependant, les échanges demeurent déprimés, et le seront probablement jusqu’à ce que l’activité américaine commence à remonter la pente au milieu de 2010. Si les exportateurs mexicains peuvent attendre jusque-là, ils tireront de nouveau d’excellents dividendes du commerce. La croissance est maintenant prête à repartir en flèche aux États-Unis, et à entraîner le reste du monde avec elle, ce qui donnera un coup de pouce à la reprise tant au Mexique qu’au Canada.

Les exportateurs mexicains s’en sortiront-ils? Seul le temps nous le dira. Le retour à la rhétorique protectionniste est un obstacle majeur. À la suite de l’adoption du slogan législatif « Achetez américain » aux États-Unis, une vague de mesures et de contre-mesures a commencé à déferler, et le Mexique s’est senti obligé d’introduire ses propres mesures de représailles. Ces actions devraient en rester au stade de la rhétorique visant à apaiser les électeurs, car un plus grand nombre d’emplois – tant au Mexique que dans le monde entier – dépend du libre-échange et de l’ouverture du marché. C’est ce que suggère le mouvement de la politique mexicaine : depuis 1994, le pays a signé 10 accords de libre-échange, des négociations sont en cours pour un 11e, et des rumeurs circulent sur un accord possible avec le Brésil. Le Mexique demeure donc engagé sur la voie de la mondialisation.

Conclusion? Les récessions ont toujours menacé de défaire les progrès du commerce international. L’investissement et l’engagement du Mexique à cet égard sont mis à l’épreuve en ce moment, mais les gains que le pays a réalisés jusqu’à maintenant grâce au libre-échange élargi, et les accords qu’il envisage, permettent de croire qu’il s’en tirera.

Par Peter G. Hall,
Vice-président et économiste en chef,
Exportation et développement Canada (EDC)
Le 14 octobre 2009

*Les vues exprimées dans ce propos sont celles de l'auteur. Elles ne reflètent pas nécessairement le point de vue d'EDC.

miércoles, 14 de octubre de 2009

***Cité des Dieux visuel de l'affiche Teotihuacan... en PARIS***


***Cité des Dieux

visuel de l'affiche Teotihuacan

Galerie Jardin

billet exposition temporaire ou billet jumelé
du mardi 6 octobre 2009 au dimanche 24 janvier 2010
commissaire : Felipe Solís †

L’exposition rassemble environ 450 pièces exceptionnelles de la culture de Teotihuacan, grande cité de l’Ancien Mexique que de récentes découvertes ont permis de mieux connaître.

Les objets sont présentés par thématiques successives permettant aux visiteurs de découvrir cette cité antique, et de comprendre son fonctionnement, le rôle et l’influence qu’elle a eue dans le monde méso-américain.

Cette exposition unique présente des pièces qui, pour la plupart, n’ont jamais été présentées en Europe, et dont certaines étaient encore inédites au Mexique jusqu’à leur présentation à Monterrey de septembre 2008 à janvier 2009. Les objets sont issus à 95% des collections mexicaines et à 5% des collections européennes (collections des musées ethnographiques allemands et du musée du quai Branly à Paris).

*Cette exposition a été conçue par le Consejo Nacional para la Cultura y las Artes et l'Instituto Nacional de Antropologia e Historia, Mexico, avec le soutien de la Fundacion Televisa A.C.

Elle est coproduite par le musée du quai Branly, Paris, le museum Rietberg, Zürich et le Martin Gropius Bau, Berlin.