« La vérité, l’âpre vérité » comme disait Danton, c’est que les entreprises françaises ne sont pas assez présentes au Mexique. Pire, elles ne tiennent même pas leur rang dans les activités Agrotech. Secteur où, pourtant, nous jouissons d’une très bonne réputation. Rageant ! D’autant plus que pendant ce temps-là, la demande mexicaine en machine agricole de pointe explose. Conséquence des ambitions à l’exportation de l’industrie agroalimentaire qui ne cesse de grandir. Or pour les atteindre, les Mexicains doivent renouveler leur matériel. Mais les entreprises françaises, elles, ne sont pas assez présentes….
Le cercle vicieux par excellence. Pourtant, le Mexique regorge d’opportunités d’affaires. En particulier, comme vous l’avez lu plus haut, dans le secteur de l’Agrotech. Que ce soit les tracteurs, les moissonneuses-batteuses, et toutes les machines qui travaillent le sol, les produits français trouveront des débouchés à l’export au Mexique. Idem pour tous les produits qui amèneront de grandes innovations, tant dans les activités d’irrigation que dans la gestion environnementale du sol.
En revanche, les entreprises françaises sont N°1 sur le marché des serres agricole. Une performance qui sera illustrée par l’aventure d’EDAMS, PME française, qui vit une très belle aventure à l’export au Mexique. Même chose pour les marchés de la préparation alimentaire pour animaux, où la France se trouve être le 2ème fournisseur. Deux marchés qui laissent encore beaucoup de place à nos entreprises qui souhaiteraient amplifier la présence française à l’export.
Quant aux PME françaises innovantes de l’Agrotech, toutes les solutions qui répondent aux problématiques de risques sanitaires, de la gestion des déchets animaux et de la traçabilité des produits, ont également des atouts à faire valoir à l’export au Mexique. Enfin, marché de niche mais promis à un bel avenir : les semences potagères se développent très rapidement au Mexique. Ne reste plus qu’à établir une stratégie de pénétration du marché mexicain. Mais, vous savez qui appeler, en cas de besoin. » UBIFRANCE
*UBIFRANCE « Agrotech : le Mexique n’est pas un petit joueur à l’export » ...*
Bien à vous,
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