***Les autorités du Mexique, dont les mesures draconiennes ont réussi à contenir le virus A H1N1, n'apprécient pas du tout l'expression de "grippe mexicaine" en Europe et encore moins les actes "vexatoires" infligés à leurs compatriotes de l'étranger.
"Nous exprimons notre opposition la plus énergique aux mesures vexatoires ou discriminatoires prises par différents pays à l'encontre des Mexicains", a clamé à plusieurs reprises le président Felipe Calderon.
Dans son collimateur : les quelques dizaines de Mexicains soumis à l'isolement à leur arrivée en Chine, alors qu'ils ne présentaient pas de symptômes du virus. Un vol spécial mexicain les a ramenés au pays mercredi matin.
En sens inverse, le Mexique a mis un point d'honneur, mardi à l'aéroport de Tijuana (nord), à réserver un traitement de "VIP à 98 Chinois bloqués jusqu'alors dans le pays par la suspension des vols décidée par la Chine, avant le départ de leur avion affrété par Pékin.
L'épisode chinois était le dernier en date. Après d'autres suspensions de liaisons aériennes, Mexico avait déjà vu ses exportations refusées à l'étranger, des compatriotes suspectés dans des aéroports, une de ses équipes de football placée en isolement à son arrivée au Chili, ou encore le drapeau national affublé d'un cochon sur des tee-shirts.
C'est à Paris que l'ambassade du Mexique a protesté contre l'utilisation de l'expression "grippe mexicaine" pour ce que l'OMS a décidé de qualifier de "grippe A (H1N1)".
"Discriminatoire", a-t-elle fait remarquer.
Avant celle du président Calderon, la réaction la plus énergique était venue du maire de Mexico, Marcelo Ebrard, qui a employé le terme de "racisme".
"Quand il y a de la peur, le racisme affleure, tout comme l'agression ou l'exclusion, et rien n'est pire. Quand la grippe aviaire s'est propagée en Asie, nous n'avons pas fait la chasse aux personnes d'origine asiatique", a-t-il déclaré.
La ministre mexicaine des affaires étrangères, Patricia Espinosa, a exprimé la "surprise" du gouvernement mexicain devant la suppression des liaisons aériennes avec Mexico décidée par plusieurs pays latino-américains, à commencer par l'Argentine et Cuba.
"La stigmatisation que nous constatons dans d'autres parties du monde est lamentable", a renchéri le ministre de la Santé, José Angel Cordova.
"On regarde ceux qui arrivent de Mexico comme s'ils allaient transmettre une maladie hautement contagieuse, alors qu'on sait que nous ne sommes pas tous contagieux", a-t-il martelé.
Plus officiellement encore, le Mexique a annoncé qu'il allait demander des "explications", devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC), aux pays qui ont stoppé ou restreint leurs importations de produits mexicains, comme les produits dérivés du porc. Ils sont une quinzaine, dont la Chine et la Russie, énormes marchés mondiaux.
Pourtant, l'OMS, l'Organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) soulignent que "les virus grippaux ne sont pas connus pour se transmettre à l'homme par l'ingestion de viande de porc transformée ou d'autres produits alimentaires élaborés à partir de viande de porc".
http://www.romandie.com/ats/news/090507151024.oiz6768z.asp
MEXICO
Romandie News
Indépendant et A but non lucratif «Think Tank» Europe-Mexique, @MorganeBravo Présidente & Fondatrice, (Association française Loi 1901). Le Mexique, qui a présidé le G20 2012, est un pays important. 3fois la France en superficie, + de 131 millions d’habitants, membre de l’OCDE, c’est le premier pays hispanophone au monde et la première puissance commerciale d’Amérique latine. Ce sera l’une des premières économies du monde dans les années à venir! AVANT LO❗️#DigitalDiplomacy #Diplomatie
«Think Tank» Europe-Mexique.

*2008 Création, par Morgane BRAVO France Alumni 🇲🇽🇫🇷(IIAP/ENA), President I Founder of «Think Tank» Europe-Mexico. (Binational) *Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... 2002 en France, Candidate (Titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16ème arrondissement. « Euroblogger » UE, Commission Européenne, Conseil Européen, Parlement Européen, Conseil de l'Europe, CoR, EuroPcom... *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.
jueves, 7 de mayo de 2009
*Dans les airs aux frais du peuple, par Jean-Pierre Langellier*
***Les parlementaires brésiliens passent beaucoup de temps dans les airs. C'est un impératif géographique. Dans un pays grand comme seize fois la France, ils prennent souvent l'avion entre Brasilia et leur circonscription.
Mais il y a voyage et voyage, comme il y a devoir et plaisir. Ce que les députés et sénateurs aiment par-dessus tout, ce sont les excursions au long cours, de préférence vers l'Europe ou les Etats-Unis.
En attirant l'attention il y a quelques semaines sur le goût prononcé des élus du peuple pour les escapades lointaines, un site Internet a déclenché un scandale qui tarde à s'apaiser. Pour une raison toute simple : ces agréables périples ont été accomplis grâce à l'argent public.
Soyons précis. En vingt-deux mois - de janvier 2007 à octobre 2008 -, 1 881 billets internationaux ont été émis au profit de 261 des 513 députés. Destinations favorites : Miami, Paris, New York, Londres, Madrid, Buenos Aires, et Bariloche, célèbre station de ski argentine. Le président de la Chambre lui-même, Michel Temer, s'est rendu en France avec sa femme aux frais de la princesse.
En allant savourer les joies du tourisme loin de leur pays, à la santé du contribuable brésilien, les parlementaires ne font rien d'illégal, et c'est bien là le noeud du scandale. Car tout député ou sénateur dispose chaque mois pour ses billets d'avion d'une somme pouvant aller jusqu'à 8 000 dollars, et qu'il utilise à sa guise. Coût annuel pour le Congrès : 35 millions de dollars.
Faute de pouvoir, ou de vouloir, dépenser eux-mêmes leur quota, qui est cumulable, les parlementaires se retrouvent vite à la tête d'un stock de billets dont ils font généreusement profiter, sans violer aucun texte, conjoints, parents, enfants, amis et maîtresses.
L'affaire a pris de l'ampleur lorsqu'un jeune député, familier des pages people, a avoué avoir "invité", à Miami et au carnaval de Natal, son amoureuse de l'époque et ancienne compagne du défunt pilote de F1 Ayrton Senna, la présentatrice de télévision Adriane Galisteu, en compagnie de la mère de celle-ci, et de quelques mannequins. D'autres ont fait mieux. Le plus prodigue a financé 40 voyages sur son quota. Le plus convivial a alloué 77 billets aux joueurs du club de football Ceara Sporting, dont il était le président. La veuve d'un sénateur a obtenu 50 000 dollars, somme équivalente à la valeur des billets non utilisés par son mari disparu. Un député connu, Fernando Gabeira, d'ordinaire professeur de vertu, et qui faillit être élu maire de Rio en octobre 2008, a reconnu avoir offert à sa fille un voyage vers Hawaï.
Les largesses de l'Etat envers les élus ont parfois alimenté un véritable marché parallèle dans certaines agences de voyage de Brasilia. De l'aveu même des autorités législatives, 18 députés sont soupçonnés d'avoir revendu leur quota de billets à des professionnels du tourisme, une pratique évidemment illégale.
Loin de battre leur coulpe, la majorité des parlementaires estiment avoir seulement bénéficié d'un système bienveillant, en place depuis quarante ans. Les députés de base, qu'on appelle au Brésil "le bas clergé", invoquent pour leur défense, avec une superbe mauvaise foi, des arguments-massues, comme la sauvegarde de la paix conjugale.
L'un dit : "Je suis du Pernambouc (dans le Nordeste). Vous voudriez que ma femme reste là-bas quand je suis à Brasilia. Vous voulez nous séparer !" Un autre ajoute : "La famille, c'est sacré. Les anniversaires, on doit les célébrer ensemble." Un troisième renchérit : "Bientôt, on va nous demander de nous déplacer à dos d'âne, d'habiter dans une masure et de confier notre courrier à des pigeons voyageurs." En vérité, les élus accumulent les privilèges. Outre un honorable salaire (5 000 euros sur quinze mois pour deux jours et demi de présence par semaine), tous leurs frais sont pris en charge par le Congrès : logement de fonction, restauration, secrétariat, voiture avec chauffeur, soins médicaux. Il suffit d'avoir été sénateur six mois pour être soigné gratuitement à vie. Selon un calcul de la revue Epoca, un parlementaire gagne par an au Brésil l'équivalent de 532 salaires minimums, contre "seulement" 112 pour un congressiste américain.
Dans un pays où quatre habitants sur cinq n'ont jamais mis les pieds dans un avion, la "nouba des voyages", comme l'a baptisée la presse, est un cas d'école sur les rapports entre politique et éthique. Elle rappelle que la confusion entre bien public et intérêts privés et ses corollaires - la corruption, le népotisme, le clientélisme - restent ancrés dans la culture nationale. L'absence de transparence et la faiblesse des contrôles permettent aux hommes publics de maintenir leurs privilèges de caste. En l'espèce, le Parlement a réduit de 20 % les quotas d'avion et les a réservés désormais aux parlementaires et à leurs épouses et descendants.
Le plus surprenant, dans cette affaire, aura été la complaisance envers les élus manifestée par le président Luiz Inacio Lula da Silva. Manquant l'occasion de rappeler la classe politique à ses devoirs moraux, Lula a jugé que "ce n'était pas un crime" pour un député de "donner des billets d'avion". Et il a reproché aux journalistes "d'avoir présenté comme une nouveauté quelque chose de plus ancien que la découverte du Brésil".
Jean-Pierre Langellier
Le Monde
06.05.09
Mais il y a voyage et voyage, comme il y a devoir et plaisir. Ce que les députés et sénateurs aiment par-dessus tout, ce sont les excursions au long cours, de préférence vers l'Europe ou les Etats-Unis.
En attirant l'attention il y a quelques semaines sur le goût prononcé des élus du peuple pour les escapades lointaines, un site Internet a déclenché un scandale qui tarde à s'apaiser. Pour une raison toute simple : ces agréables périples ont été accomplis grâce à l'argent public.
Soyons précis. En vingt-deux mois - de janvier 2007 à octobre 2008 -, 1 881 billets internationaux ont été émis au profit de 261 des 513 députés. Destinations favorites : Miami, Paris, New York, Londres, Madrid, Buenos Aires, et Bariloche, célèbre station de ski argentine. Le président de la Chambre lui-même, Michel Temer, s'est rendu en France avec sa femme aux frais de la princesse.
En allant savourer les joies du tourisme loin de leur pays, à la santé du contribuable brésilien, les parlementaires ne font rien d'illégal, et c'est bien là le noeud du scandale. Car tout député ou sénateur dispose chaque mois pour ses billets d'avion d'une somme pouvant aller jusqu'à 8 000 dollars, et qu'il utilise à sa guise. Coût annuel pour le Congrès : 35 millions de dollars.
Faute de pouvoir, ou de vouloir, dépenser eux-mêmes leur quota, qui est cumulable, les parlementaires se retrouvent vite à la tête d'un stock de billets dont ils font généreusement profiter, sans violer aucun texte, conjoints, parents, enfants, amis et maîtresses.
L'affaire a pris de l'ampleur lorsqu'un jeune député, familier des pages people, a avoué avoir "invité", à Miami et au carnaval de Natal, son amoureuse de l'époque et ancienne compagne du défunt pilote de F1 Ayrton Senna, la présentatrice de télévision Adriane Galisteu, en compagnie de la mère de celle-ci, et de quelques mannequins. D'autres ont fait mieux. Le plus prodigue a financé 40 voyages sur son quota. Le plus convivial a alloué 77 billets aux joueurs du club de football Ceara Sporting, dont il était le président. La veuve d'un sénateur a obtenu 50 000 dollars, somme équivalente à la valeur des billets non utilisés par son mari disparu. Un député connu, Fernando Gabeira, d'ordinaire professeur de vertu, et qui faillit être élu maire de Rio en octobre 2008, a reconnu avoir offert à sa fille un voyage vers Hawaï.
Les largesses de l'Etat envers les élus ont parfois alimenté un véritable marché parallèle dans certaines agences de voyage de Brasilia. De l'aveu même des autorités législatives, 18 députés sont soupçonnés d'avoir revendu leur quota de billets à des professionnels du tourisme, une pratique évidemment illégale.
Loin de battre leur coulpe, la majorité des parlementaires estiment avoir seulement bénéficié d'un système bienveillant, en place depuis quarante ans. Les députés de base, qu'on appelle au Brésil "le bas clergé", invoquent pour leur défense, avec une superbe mauvaise foi, des arguments-massues, comme la sauvegarde de la paix conjugale.
L'un dit : "Je suis du Pernambouc (dans le Nordeste). Vous voudriez que ma femme reste là-bas quand je suis à Brasilia. Vous voulez nous séparer !" Un autre ajoute : "La famille, c'est sacré. Les anniversaires, on doit les célébrer ensemble." Un troisième renchérit : "Bientôt, on va nous demander de nous déplacer à dos d'âne, d'habiter dans une masure et de confier notre courrier à des pigeons voyageurs." En vérité, les élus accumulent les privilèges. Outre un honorable salaire (5 000 euros sur quinze mois pour deux jours et demi de présence par semaine), tous leurs frais sont pris en charge par le Congrès : logement de fonction, restauration, secrétariat, voiture avec chauffeur, soins médicaux. Il suffit d'avoir été sénateur six mois pour être soigné gratuitement à vie. Selon un calcul de la revue Epoca, un parlementaire gagne par an au Brésil l'équivalent de 532 salaires minimums, contre "seulement" 112 pour un congressiste américain.
Dans un pays où quatre habitants sur cinq n'ont jamais mis les pieds dans un avion, la "nouba des voyages", comme l'a baptisée la presse, est un cas d'école sur les rapports entre politique et éthique. Elle rappelle que la confusion entre bien public et intérêts privés et ses corollaires - la corruption, le népotisme, le clientélisme - restent ancrés dans la culture nationale. L'absence de transparence et la faiblesse des contrôles permettent aux hommes publics de maintenir leurs privilèges de caste. En l'espèce, le Parlement a réduit de 20 % les quotas d'avion et les a réservés désormais aux parlementaires et à leurs épouses et descendants.
Le plus surprenant, dans cette affaire, aura été la complaisance envers les élus manifestée par le président Luiz Inacio Lula da Silva. Manquant l'occasion de rappeler la classe politique à ses devoirs moraux, Lula a jugé que "ce n'était pas un crime" pour un député de "donner des billets d'avion". Et il a reproché aux journalistes "d'avoir présenté comme une nouveauté quelque chose de plus ancien que la découverte du Brésil".
Jean-Pierre Langellier
Le Monde
06.05.09
viernes, 1 de mayo de 2009
***Ne l'appelez plus «grippe porcine» mais... A (H1N1)***
***L'OMS a tranché : la grippe qui se propage dans le monde portera désormais son nom scientifique au grand soulagement des producteurs de porcs et du Mexique.
La guerre des noms a pris fin. Une semaine après son apparition sur le devant de la scène sanitaire, la «grippe porcine», qui s'est répandue au Mexique, a été rebaptisée jeudi «grippe A (H1N1)», par l'Organisation mondiale de la santé. Avec ce nouveau patronyme très politiquement correct, qui reprend la dénomination médicale du virus, l'agence onusienne espère faire taire toutes les polémiques autour du nom de la maladie.
Le terme «grippe porcine» avait été très décrié, à la fois par les producteurs de cochons et par l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE). Plusieurs organisations de producteurs de porcs, notamment celles du Canada et du Brésil, avaient protesté par écrit à l'OMS. Elles estimaient que la dénomination grippe porcine «portait préjudice aux producteurs de porc du monde entier et pouvait entraîner de sérieuses pertes» pour le secteur dont les cours ont commencé à baisser. Surtout, soulignaient les producteurs, la dénomination «grippe porcine» est inexacte, scientifiquement parlant. «Ce virus a à la fois des caractéristiques porcines, aviaires et humaines. Mais à ce jour il n'a pas été isolé sur des animaux», avait en effet critiqué l'OIE, en début de semaine. «Il n'est donc pas justifié d'appeler cette maladie grippe porcine», s'était plainte l'organisation, qui proposait de rebaptiser le virus «grippe nord-américaine».
«Grippe mexicaine» un terme jugé discriminatoire
La dénomination «grippe porcine» gênait également Israël. En hébreu, la "grippe porcine" se traduit par «la grippe des porcs», or dans la religion juive le cochon est considéré comme un animal impur. Pour ne pas avoir à prononcer le nom de la bête, le vice-ministre israélien de la Santé, l'utra-orthodoxe Yaakov Litzman, avait retenu lundi le terme de «grippe du Mexique». Cette appellation n'avait pas fait long feu, l'ambassadeur du Mexique en Israël ayant présenté une protestation officielle.
Le Mexique s'est d'ailleurs montré très sourcilleux à ce sujet. Alors que nombre de journalistes français reprenaient à leur compte le terme «grippe mexicaine», l'ambassade du Mexique en France a pris jeudi contact avec les médias concernés pour tenter de contrer le phénomène. «L'utilisation de ce type de dénomination est discriminatoire et nuit à l'image d'un pays qui lutte de façon rapide et efficace pour éviter la propagation de ce virus et dont la stratégie a été reconnue par plusieurs Etats et organismes tels que l'OMS et l'Organisation panaméricaine de la santé», déclarait un communiqué de l'ambassade. «P ourquoi cibler le Mexique? Je ne l'accepte pas. Ce n'est pas le seul foyer. Ca a commencé en Amérique du Nord, pas seulement au Mexique», dénonçait l'ambassadeur du Mexique à Paris, Carlos de Icaza.
Soucieuse de ménager les intérêts économiques de ses producteurs et la susceptibilité de ses partenaires étrangers, la Commission européenne avait elle préconisé un troisième patronyme : «nouvelle grippe» («novel flu» en anglais).
Constance Jamet
Le Figaro.fr avec AFP
01/05/2009
***Ambassade du Mexique en France :
http://portal.sre.gob.mx/francia/index.php?option=displaypage&Itemid=115&op=page&SubMenu=
La guerre des noms a pris fin. Une semaine après son apparition sur le devant de la scène sanitaire, la «grippe porcine», qui s'est répandue au Mexique, a été rebaptisée jeudi «grippe A (H1N1)», par l'Organisation mondiale de la santé. Avec ce nouveau patronyme très politiquement correct, qui reprend la dénomination médicale du virus, l'agence onusienne espère faire taire toutes les polémiques autour du nom de la maladie.
Le terme «grippe porcine» avait été très décrié, à la fois par les producteurs de cochons et par l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE). Plusieurs organisations de producteurs de porcs, notamment celles du Canada et du Brésil, avaient protesté par écrit à l'OMS. Elles estimaient que la dénomination grippe porcine «portait préjudice aux producteurs de porc du monde entier et pouvait entraîner de sérieuses pertes» pour le secteur dont les cours ont commencé à baisser. Surtout, soulignaient les producteurs, la dénomination «grippe porcine» est inexacte, scientifiquement parlant. «Ce virus a à la fois des caractéristiques porcines, aviaires et humaines. Mais à ce jour il n'a pas été isolé sur des animaux», avait en effet critiqué l'OIE, en début de semaine. «Il n'est donc pas justifié d'appeler cette maladie grippe porcine», s'était plainte l'organisation, qui proposait de rebaptiser le virus «grippe nord-américaine».
«Grippe mexicaine» un terme jugé discriminatoire
La dénomination «grippe porcine» gênait également Israël. En hébreu, la "grippe porcine" se traduit par «la grippe des porcs», or dans la religion juive le cochon est considéré comme un animal impur. Pour ne pas avoir à prononcer le nom de la bête, le vice-ministre israélien de la Santé, l'utra-orthodoxe Yaakov Litzman, avait retenu lundi le terme de «grippe du Mexique». Cette appellation n'avait pas fait long feu, l'ambassadeur du Mexique en Israël ayant présenté une protestation officielle.
Le Mexique s'est d'ailleurs montré très sourcilleux à ce sujet. Alors que nombre de journalistes français reprenaient à leur compte le terme «grippe mexicaine», l'ambassade du Mexique en France a pris jeudi contact avec les médias concernés pour tenter de contrer le phénomène. «L'utilisation de ce type de dénomination est discriminatoire et nuit à l'image d'un pays qui lutte de façon rapide et efficace pour éviter la propagation de ce virus et dont la stratégie a été reconnue par plusieurs Etats et organismes tels que l'OMS et l'Organisation panaméricaine de la santé», déclarait un communiqué de l'ambassade. «P ourquoi cibler le Mexique? Je ne l'accepte pas. Ce n'est pas le seul foyer. Ca a commencé en Amérique du Nord, pas seulement au Mexique», dénonçait l'ambassadeur du Mexique à Paris, Carlos de Icaza.
Soucieuse de ménager les intérêts économiques de ses producteurs et la susceptibilité de ses partenaires étrangers, la Commission européenne avait elle préconisé un troisième patronyme : «nouvelle grippe» («novel flu» en anglais).
Constance Jamet
Le Figaro.fr avec AFP
01/05/2009
***Ambassade du Mexique en France :
http://portal.sre.gob.mx/francia/index.php?option=displaypage&Itemid=115&op=page&SubMenu=
miércoles, 22 de abril de 2009
***Festi'Lux : Développement durable les 16 et 17 mai...***

***Un grand week-end sur le développement durable est organisé à Lux les 16 et 17 mai par la Municipalité et les associations.
Le programme définitif est à venir mais vous trouverez ces jours là toutes les réponses à vos questions en matière d'habitat et de matériaux naturels, de jardinage respectueux de la nature et de la biodiversité, un marché bio et un marché terroir, beaucoup d'associations, des films sur les OGM, les pesticides etc...,
Des tables rondes et conférences, de quoi amuser les enfants, les Totor'sRobert et la Fanfarrosoir, de quoi boire et manger enfin quoi un village disposé à faire progresser les idées d'actions pour la planète.
http://www.vivre-a-chalon.com/lire_Festi_Lux-_-week-end-developpement-durable-les-16-et-17-mai,2303198c5b0ac7cee98097ae86b00dec0ceef066.html
viernes, 17 de abril de 2009
*Washington à la recherche d'un nouvel élan avec l'Amérique latine...*
***Lors du sommet des Amériques qui se tient jusqu'à dimanche à Trinidad et Tobago, Barack Obama proposera aux dirigeants d'une trentaine de pays latino-américains un nouveau partenariat. Avec un objectif majeur : combattre la crise mondiale.
Les Etats-Unis se tournent de nouveau vers ce qu'ils ont longtemps considéré comme leur arrière-cour attitrée. Les dirigeants de 33 pays latino-américains rencontrent aujourd'hui et jusqu'à dimanche, à Trinidad et Tobago, le nouveau président américain Barack Obama pour le cinquième sommet des Amériques. Un sommet censé faire prendre un nouveau départ aux relations entre les deux Amériques. Fini la condescendance, l'arrogance ou, pire encore, l'indifférence qui a caractérisé l'attitude des Etats-Unis à l'égard du sous-continent sous George Bush. Comme il l'a expliqué dans une tribune parue hier dans de nombreux journaux locaux, Barack Obama veut proposer à une région qu'il ne connaît guère « un nouveau partenariat au nom de notre prospérité et de notre sécurité communes ». Autour de deux grands thèmes : l'énergie et le climat, sources d'investissements potentiels et de développement pour l'Amérique latine, en particulier le Brésil, champion des énergies renouvelables. Un sujet majeur alors que la région se juge injustement frappée par une crise mondiale déclenchée par les Etats-Unis, notamment par les « banquiers aux yeux bleus », selon les propos controversés du président brésilien Lula.
Déminer le dossier cubain
La majorité des participants souhaitent faire de la crise mondiale et des moyens d'en sortir ensemble le thème essentiel du sommet. Mais pour cela, il fallait d'abord déminer le sujet ultrasensible de Cuba, pays absent de la réunion et principale épine dans les relations entre les deux Amériques. Barack Obama s'est employé à le faire en annonçant, quelques jours avant le sommet, la levée de toutes les restrictions sur les voyages et les transferts d'argent des Américano-Cubains vers leur pays d'origine. Une mesure unilatérale qui appelle désormais un geste de La Havane. « C'est un signe de notre bonne foi, qui montre que nous voulions dépasser la mentalité de la guerre froide de ces cinquante dernières années. Et avec un peu de chance, nous verrons des signes que Cuba veut faire de même », a déclaré hier le président américain sur CNN, évoquant la libération des prisonniers politiques et la liberté d'expression. Tous les pays latino-américains ont normalisé leurs relations avec Cuba et attendent de Washington la levée de l'embargo sur l'île. Mais la plupart, dont Lula, tablent sur un processus progressif. En revanche, le président socialiste du Venezuela Hugo Chavez, allié étroit de Cuba, ne faillira pas à sa réputation : il a déjà annoncé qu'il opposerait son veto à la déclaration finale de la réunion car elle ne dénonce pas formellement l'exclusion de Cuba du sommet.
Malgré tout, hors Cuba, les sujets ne manqueront pas. Pour Alfredo Valladao, directeur de la chaire Mercosur à Sciences po, « les relations Etats-Unis-Amérique latine peuvent se définir par l'équation d'Einstein E = mc2 : Energie, migration et cocaïne au carré (consommation et trafic) ». L'énergie est plus que jamais au centre des préoccupations de Washington, soucieux de s'affranchir du pétrole du Moyen-Orient, et intéressé par les ressources latinos. L'immigration est au coeur des discussions, notamment avec le Mexique, de même qu'une lutte coordonnée contre la violence et le trafic de drogue.
Garantir le libre-échange
« Mais la principale revendication de la région, c'est la lutte contre le protectionnisme », estime Alfredo Valladao. Obama va devoir rassurer ses partenaires à ce sujet et évoquer les accords de libre-échange (notamment avec la Colombie) en souffrance au Congrès. C'est aussi son intérêt. Durant l'ère Bush, la Chine a profité de la défection américaine pour nouer des relations étroites dans toute la région et y investir massivement. Big Sam n'a plus de temps à perdre.
ANNE DENIS,
Les Echos
17/04/09
Les Etats-Unis se tournent de nouveau vers ce qu'ils ont longtemps considéré comme leur arrière-cour attitrée. Les dirigeants de 33 pays latino-américains rencontrent aujourd'hui et jusqu'à dimanche, à Trinidad et Tobago, le nouveau président américain Barack Obama pour le cinquième sommet des Amériques. Un sommet censé faire prendre un nouveau départ aux relations entre les deux Amériques. Fini la condescendance, l'arrogance ou, pire encore, l'indifférence qui a caractérisé l'attitude des Etats-Unis à l'égard du sous-continent sous George Bush. Comme il l'a expliqué dans une tribune parue hier dans de nombreux journaux locaux, Barack Obama veut proposer à une région qu'il ne connaît guère « un nouveau partenariat au nom de notre prospérité et de notre sécurité communes ». Autour de deux grands thèmes : l'énergie et le climat, sources d'investissements potentiels et de développement pour l'Amérique latine, en particulier le Brésil, champion des énergies renouvelables. Un sujet majeur alors que la région se juge injustement frappée par une crise mondiale déclenchée par les Etats-Unis, notamment par les « banquiers aux yeux bleus », selon les propos controversés du président brésilien Lula.
Déminer le dossier cubain
La majorité des participants souhaitent faire de la crise mondiale et des moyens d'en sortir ensemble le thème essentiel du sommet. Mais pour cela, il fallait d'abord déminer le sujet ultrasensible de Cuba, pays absent de la réunion et principale épine dans les relations entre les deux Amériques. Barack Obama s'est employé à le faire en annonçant, quelques jours avant le sommet, la levée de toutes les restrictions sur les voyages et les transferts d'argent des Américano-Cubains vers leur pays d'origine. Une mesure unilatérale qui appelle désormais un geste de La Havane. « C'est un signe de notre bonne foi, qui montre que nous voulions dépasser la mentalité de la guerre froide de ces cinquante dernières années. Et avec un peu de chance, nous verrons des signes que Cuba veut faire de même », a déclaré hier le président américain sur CNN, évoquant la libération des prisonniers politiques et la liberté d'expression. Tous les pays latino-américains ont normalisé leurs relations avec Cuba et attendent de Washington la levée de l'embargo sur l'île. Mais la plupart, dont Lula, tablent sur un processus progressif. En revanche, le président socialiste du Venezuela Hugo Chavez, allié étroit de Cuba, ne faillira pas à sa réputation : il a déjà annoncé qu'il opposerait son veto à la déclaration finale de la réunion car elle ne dénonce pas formellement l'exclusion de Cuba du sommet.
Malgré tout, hors Cuba, les sujets ne manqueront pas. Pour Alfredo Valladao, directeur de la chaire Mercosur à Sciences po, « les relations Etats-Unis-Amérique latine peuvent se définir par l'équation d'Einstein E = mc2 : Energie, migration et cocaïne au carré (consommation et trafic) ». L'énergie est plus que jamais au centre des préoccupations de Washington, soucieux de s'affranchir du pétrole du Moyen-Orient, et intéressé par les ressources latinos. L'immigration est au coeur des discussions, notamment avec le Mexique, de même qu'une lutte coordonnée contre la violence et le trafic de drogue.
Garantir le libre-échange
« Mais la principale revendication de la région, c'est la lutte contre le protectionnisme », estime Alfredo Valladao. Obama va devoir rassurer ses partenaires à ce sujet et évoquer les accords de libre-échange (notamment avec la Colombie) en souffrance au Congrès. C'est aussi son intérêt. Durant l'ère Bush, la Chine a profité de la défection américaine pour nouer des relations étroites dans toute la région et y investir massivement. Big Sam n'a plus de temps à perdre.
ANNE DENIS,
Les Echos
17/04/09
jueves, 16 de abril de 2009
***(13) BREF APERCU "À la découverte du Parlement européen : Comment le Parlement fonctionne...Le Parlement et Vous!..."***

***Pour que l'Europe, en tant qu’acteur mondial, ne soit pas lointaine des européens..."! :
Rubrique du BLOG : ***UNION EUROPEENNE* EUROPEAN UNION* UNION EUROPEA...L'Actualité***
"CONNAITRE & COMPRENDRE LE FONCTIONNEMENT...DE L'UNION EUROPEENNE"!
*(13 )BREF APERCU "À la découverte du Parlement européen : Comment le Parlement fonctionne...Le Parlement et Vous!..."*
***"Le Débat : qui vote pour qui et pourquoi ?
Plusieurs dirigeants de groupes politiques européens ont été réunis dans les studios d'EuroparlTV pour mettre en avant ce qui les divise pour l'imminente élection européenne.
Date: 23/3/09
*Débat : Une faible participation au scrutin européen menace la légitimité du Parlement européen :
La crise économique actuelle pourrait contribuer à une participation encore plus faible au scrutin européen de juin 2009. Que faire pour inciter les Européens à voter ? Trois Députés européens débattent.
Date: 18/3/09
*L’Interview : "On a besoin de plus d’Europe"
A moins de six mois des élections européennes, Europarltv donne la parole à Joseph Daul (PPE-DE). Le président du premier groupe politique du Parlement livre les grands thèmes de la campagne électorale que mènera son parti.
Date: 20/1/09
***BREF APERCU :
*"Altiero Spinelli et la naissance de l'Union Européenne"
Céder aux eurosceptiques et abandonner de plus en plus d'Europe commune ou travailler pour une intégration toujours plus en profondeur des Etats européens ? En 1984, un discours émouvant du Député européen italien Altiero Spinelli en faveur du Traité de l'Union Européenne a aidé à préparer un grand pas en avant pour l'Europe commune.
Date: 12/9/08
*"Simone Veil Première Présidente du premier Parlement européen"
Elue en 1979, Simone Veil représente beaucoup de "premières" : la rescapée française d'Auschwitz a été élue première Présidente du premier Parlement européen au suffrage universel par les citoyens et malgré le fait qu'elle ne fut alors que la 16ème Présidente de la Chambre, elle fut la première femme à présider le Parlement, un choix "emblématique" de la part du Président français de l'époque Valéry Giscard d'Estaing, comme elle le raconte elle-même.
Date: 15/9/08
*"Comment se passe la session plénière du Parlement européen?"
Le Député européen français Verts Gérard Onesta et l'huissier du Parlement européen Pascal Feuilloy expliquent à des collégiens de 14 ans, Eileen et Pedro comment se déroule la session plénière du seul Parlement au monde élu internationalement.
Date: 17/9/08
*Action : Les retombées sociales de la crise économique"
La Commission prévoit 6 millions de chômeurs d'ici 2010 à moins de prendre des mesures immédiates. Mais que font au juste les gouvernements européens ? L'eurodéputée Anne Van Lancker appelle à la mise en place d'outils européens pour sauvegarder l'emploi.
Date: 15/4/09
*Action : "L'avenir de l'OTAN"
La politique européenne de sécurité et de défense en attente, l'OTAN ne devrait-elle pas encore avoir un rôle à jouer dans les opérations internationales ? Action examine sur l'évolution de l'OTAN à la lumière de l'influence grandissante de l'Europe en tant qu'entité politique avec une puissance militaire qui se profile.
Date: 10/4/09
*Débat : "Consequences du G-20"*
Les Députés européens Pervenche Berès et Călin Cătălin Chiriţă commentent les conséquences du sommet du G-20 à Londres avec deux experts du commerce. Ils examinent si le sommet a établi des objectifs réalistes ou s'il s'est agi d'un jeu élaboré de fumée et de miroirs.
Date: 8/4/09
*Débat :"Réforme parlementaire"
Les procédures parlementaires sont souvent longues et complexes. Les Députés européens Diana Wallis, Jo Leinen et Elly de Groen-Kouwenhoven débattent avec un universitaire des manières de rendre leur travail plus efficace. Ces réformes vont de la préparation du Traité de Lisbonne à la reconfiguration des commissions.
Date: 8/4/09
*"La rétro de la semaine : du 30 mars au 2 avril 2009"
Réponse du Parlement européen au G-20 et examen des droits des patients au sujet des soins de santé reçus à l'étranger. Réunion d'anciens Présidents du Parlement européen pour un appel lancé aux Européens pour inciter ceux-ci à aller voter en juin et feu vert des Députés européens au logo éco-label.
Date: 8/4/09
*À la Une : "éco-label, le label vert de l'UE"
La "fleur européenne" est le label vert de l'UE pour les produits respectueux de l'environnement. Les Députés européens souhaitent l'étendre à davantage de produits, en prenant certains facteurs en compte, dont la consommation énergétique.
Date: 6/4/09
*À la Une : "Aide alimentaire pour les plus démunis"
Des millions d'Européens dépendent de la distribution de nourriture financée en partie par l'Union européenne. Les Députés européens estiment que cette aide doit être réduite à cause de la crise.
Date: 26/3/09
*L'interview : "Adina Ioana Vălean s'exprime sur la libre circulation"
La Députée européenne roumaine Adina Vălean, rapporteur pour la directive sur la libre circulation, appelle les institutions européennes à ne pas oublier la notion d'Europe sans barrières, pas seulement pour l'économie mais également pour les citoyens.
Date: 6/4/09
*L'interview du jour : "Les télécoms doivent rester fortes et simples pour les usagers"
Le Député européen britannique conservateur Malcolm Harbour s'exprime sur son rapport de révision de la législation européenne sur le service universel et les droits des utilisateurs relativement aux réseaux de communications électroniques.
Date: 2/4/09
*À la Une :"Protection de la vie privée en ligne"
Alors qu'internet joue un rôle de plus en plus important dans la vie quotidienne de pratiquement tous les Européens, les cyber-criminels, les entrepreneurs peu scrupuleux et une police avide sont tous à l'affût de nos données personnelles. Les Députés européens appellent à ce que l'on y réfléchisse à deux fois avant de censurer.
Date: 26/3/09
*Action : Les menaces sur la santé causées par les portables ne doivent pas être prises à la légère
Un rapport de l'UE sur les risques sur la santé provoqués par les ondes électromagnétiques va être publié. De quoi faut-il nous inquiéter et comment l'UE pense éviter les risques sur la santé ?
Date: 17/3/09
*Pêche
"Notre mission est de réconcilier les amis des poissons avec les amis de la pêche", déclare le Président Philippe Morillon lors de notre examen approfondi de la Commission de la Pêche, l'organe du Parlement européen au sein duquel les questions sociales et environnementales sont le plus souvent et le plus vivement confrontées.
Date: 10/10/08
*Droits de l'Homme
La Sous-commission des Droits de l'Homme ne peut faire passer de rapports. Néanmoins, on la consulte régulièrement en prévision de réunions au sommet. Dans ce qui était une importante contribution à la crédibilité de l'UE sur la question des Droits de l'Homme, elle s'exprime sur l'état des Droits de l'Homme et de la démocracie dans les pays tiers.
Date: 15/9/08
Europarltv
***Le Parlement...UE...et Vous : En fait, ses décisions influencent réellement la vie des citoyens!!!
Ancienne stagiaire (entre autres...) à la "Commission européenne au Secrétariat Général". Bruxelles.
Rapport: « La politique des Droits de l’Homme de la communauté européenne dans les pays tiers »
http://unioneuropeenne.blogspot.com/2009/04/le-president-nicolas-sarkozy-tiendra-t.html
Bien à vous,
Morgane BRAVO
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