«Think Tank» Europe-Mexique.

«Think Tank» Europe-Mexique.
*2008 Création, par Morgane BRAVO France Alumni 🇲🇽🇫🇷(IIAP/ENA), President I Founder of «Think Tank» Europe-Mexico. (Binational) *Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... 2002 en France, Candidate (Titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16ème arrondissement. « Euroblogger » UE, Commission Européenne, Conseil Européen, Parlement Européen, Conseil de l'Europe, CoR, EuroPcom... *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

viernes, 13 de julio de 2012

*EDAMS tend les bras au Mexique...*

Exporter, c’est anticiper le marché. Et à ce jeu, la société EDAMS basé à Contes, petite ville située à une dizaine de kilomètres de Nice, n’est surement pas la plus mauvaise. La preuve, bien que déjà présente au Mexique par le portage d’autres clients français et européens, EDAM a senti qu’il se passait quelque chose dans le secteur agricole. Dès lors, un petit voyage d’affaires s’est imposé. Pour voir comment le marché agricole au Mexique fonctionne, mais également pour humer les éventuelles opportunités d’affaires.
Il faut dire que la PME française, spécialisée dans la transmission, la motorisation et tous systèmes d’entraînement pour la ventilation et ombrage des exploitations horticoles, est au cœur des enjeux de l’industrie agroalimentaire mexicaine. La preuve, un seul petit voyage de prospection aura suffi au responsable Production Achat, Julien Boulanger, pour signer les premières commandes. Les signes ne trompent pas. Il était temps, pour la PME française, de se concentrer sur le Mexique.
Rendez-vous fut donc donné au salon ExpoAgro Guanajuato en novembre 2011 à Irapuato, sur le stand UBIFRANCE. Rencontre, échanges, fidélisation échanges, tout le monde semble emballé par les produits EDAMS. Seul hic, peu d’entreprises disposent des capacités financières nécessaires pour allier les actes à la parole. Hormis une seule qui a sauté sur l’occasion pour signer dans la foulée plusieurs commandes pour son exploitation. Résultat, depuis le salon, le client Mexicain passe 5 à 6 nouvelles commandes par semaine. Pas mal en deux aller-retour.
Quel est le secret alors de EDAMS ? Tout d’abord, ses produits qui s’accordent parfaitement aux attentes du marché. Et puis sa connaissance du marché agricole lui donne une vision précise des attentes de ses clients. Quant au Mexique en lui-même, Julien Boulanger donne une vision nuancée : "les Mexicains sont agréables et faciles d’accès mais ils travaillent à l’ancienne. Ils mettent très peu de choses à l’écrit, ce qui nous oblige à suivre davantage les dossiers". Un paramètre à ne pas négliger à l’export.
Dernier conseil ? "Ayez quelqu’un avec vous qui sache parler espagnol. Parler la langue locale reste le meilleure moyen d’accélérer les choses ». Ubifrance

Pour en savoir plus sur la filière agrotech au Mexique :
                                                                           Actualités de marchés mexicains

Bien à vous,
Morgane BRAVO

miércoles, 11 de julio de 2012

*Agrotech : Le Mexique ne demande qu’à utiliser le savoir-faire français...*

« La vérité, l’âpre vérité » comme disait Danton, c’est que les entreprises françaises ne sont pas assez présentes au Mexique. Pire, elles ne tiennent même pas leur rang dans les activités Agrotech. Secteur où, pourtant, nous jouissons d’une très bonne réputation. Rageant ! D’autant plus que pendant ce temps-là, la demande mexicaine en machine agricole de pointe explose. Conséquence des ambitions à l’exportation de l’industrie agroalimentaire qui ne cesse de grandir. Or pour les atteindre, les Mexicains doivent renouveler leur matériel. Mais les entreprises françaises, elles, ne sont pas assez présentes….
Le cercle vicieux par excellence. Pourtant,  le Mexique regorge d’opportunités d’affaires. En particulier, comme vous l’avez lu plus haut, dans le secteur de l’Agrotech. Que ce soit les tracteurs, les moissonneuses-batteuses, et toutes les machines qui travaillent le sol, les produits français trouveront des débouchés à l’export au Mexique. Idem pour tous les produits qui amèneront de grandes innovations, tant dans les activités d’irrigation que dans la gestion environnementale du sol.
En revanche, les entreprises françaises sont N°1 sur le marché des serres agricole. Une performance qui sera illustrée par l’aventure d’EDAMS, PME française, qui vit une très belle aventure à l’export au Mexique. Même chose pour les marchés de la préparation alimentaire pour animaux, où la France se trouve être le 2ème fournisseur. Deux marchés qui laissent encore beaucoup de place à nos entreprises qui souhaiteraient amplifier la présence française à l’export.
Quant aux PME françaises innovantes de l’Agrotech, toutes les solutions qui répondent aux problématiques de risques sanitaires, de la gestion des déchets animaux et de la traçabilité des produits, ont également des atouts à faire valoir à l’export au Mexique. Enfin, marché de niche mais promis à un bel avenir : les semences potagères se développent très rapidement au Mexique. Ne reste plus qu’à établir une stratégie de pénétration du marché mexicain. Mais, vous savez qui appeler, en cas de besoin. » UBIFRANCE
*UBIFRANCE « Agrotech : le Mexique n’est pas un petit joueur à l’export » ...*

*UBIFRANCE « Agrotech : le Mexique n’est pas un petit joueur à l’export » ...*

Les années passent mais les clichés perdurent. Il suffit d’entendre les stéréotypes sur le Mexique pour s’en persuader : farniente, sombrero, agriculture à traction animale. À les entendre, il ne manquerait plus que les troupes de Pancho Villa et Emiliano Zapata en arrière-plan pour compléter la photo. Injuste ! À titre de rappel, le Mexique a été la première économie émergente à intégrer l’OCDE. Qui plus est, la 14ème Économie mondiale, la 2ème au niveau continentale, derrière le Brésil mais loin devant l’Argentine. Ne serait-il pas temps de nous mettre à la page ?
Pour éviter de dire des bêtises, évidemment, mais surtout pour exporter. En particulier dans le domaine de l’Agrotech. Secteur porteur qui recouvre toutes les activités de semences, de conditionnement, d’emballage, machinismes agricoles, et de l’agroalimentaire. Alors bien sûr, la grande pauvreté existe toujours dans le Sud du pays. Il ne faut pas s’en cacher. Mais, passé cet effet loupe, l’agriculture mexicaine joue dans la cour des grands. Plus de 28 millions d’hectares cultivés, 10 millions pour les fruits et 2 millions pour les légumes. Même constat dans l’élevage, le Mexique est un des plus gros producteurs de volailles et de viandes.
Des performances qui l’amènent forcément à exporter. Mais, contrairement à ce qui est souvent répété, pas uniquement vers les États-Unis. Aujourd’hui, plus de 100 pays dans le monde reçoivent des produits mexicains : de la viande de bœuf, de porc, de cheval, mais aussi du café, de la bière, de la tequila, des céréales et autres fruits et légumes. Au final, peu à peu, l’économie agricole mexicaine se diversifie. Une bonne nouvelle, pour eux comme pour les autres acteurs de l’Agrotech qui cherchent de nouveaux débouchés.
Car, pour tenir ses objectifs de rendement, le Mexique doit continuer sa stratégie commerciale, axée sur l’ouverture. Or, pour cela l’agriculture mexicaine doit moderniser son outil de travail. À cela s’ajoute, la classe moyenne mexicaine qui exige des produits de qualité, sans cesse plus proches des standards de la consommation aux USA ou au Canada. Autre façon de dire que le Mexique a besoin de renouveler son parc de machines agricoles. »

lunes, 2 de julio de 2012

*Mensaje Presidente Felipe Calderón Hinojosa : 1 Julio 2012...Nieto (PRI) nouveau président du Mexique*


En un mensaje en Cadena Nacional, desde su oficina en Los Pinos, Calderón dirigió un mensaje de más de 5 minutos, con la imagen de Francisco I Madero de fondo, y la bandera nacional a su lado.
Enrique Peña Nieto remporte l'élection présidentielle au Mexique.

Le Parti révolutionnaire institutionnel (PRI), qui a gouverné le Mexique pendant 71 ans, revient au pouvoir après 12 ans d'opposition. Son candidat, Enrique Peña Nieto, est crédité d'au moins 37,93 % des voix à l'élection présidentielle de dimanche, selon des sondages de sortie des urnes. M. Peña Nieto arriverait plus de 10 points devant le candidat de la gauche, Andres Manuel Lopez Obrador...




Liens :



Points de Repères: 

"Chef de l’État et du gouvernement (sortant): Felipe Calderón Hinojosa - 
Elu pour 6 ans - Mandat non renouvelable
Peine de mort: abolie
Population: 110,6 millions
Espérance de vie: 76,7 ans
Mortalité des moins de cinq ans (M/F): 22 / 18 ‰
Taux d’alphabétisation des adultes: 92,9 %

Elections:
*Quelque 80 millions de Mexicains vont voter dimanche pour le prochain président du pays, avec 500 députés et 128 sénateurs au parlement.


*Les élections de dimanche ont lieu en pleine crise sociale et politique, marquée par des allégations de corruption, la violence croissante, et peu de réalisations dans la lutte contre la pauvreté.


*Tous les citoyens mexicains âgés de plus de 18 ans sont admissibles pour voter. Les Mexicains vivant à l'étranger peuvent voter pour le président aussi longtemps qu'ils ont accompli les procédures légales requises.


*Les élections sur Juillet 1 sont considérées comme les plus importantes dans l'histoire du Mexique, avec 2.127 postes en jeu, y compris celui du président, des sénateurs et des députés du Congrès bicaméral, de six gouverneurs et du maire de la ville de Mexico. 
 
*Selon la constitution du Mexique de 1917, le président est élu pour un mandat de six ans et ne peut pas être réélu. Le nouveau président prendra ses fonctions le 1er décembre.


*Le pouvoir législatif du Mexique est exercé par le Congrès national bicaméral. 
Le Sénat dispose de 128 membres, dont quatre de chaque État et le district fédéral de Mexico. 
Les Sénateurs servent un mandat de six ans.
 
*La Chambre fédérale des députés, élus au suffrage direct tous les trois ans, compte 500 sièges. » 


A SUIVRE...!


Bien à vous,
@Morgane BRAVO
http://twitter.com/#!/MorganeBravo